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... le monde entier
a les yeux braqués sur Madagascar ...
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Le salegy à la foire de
Paris....
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Chaque année, au printemps, une drôle de foire vient s'installer aux portes de la capitale. Ce rendez-vous parisien est l'occasion de partir à la découverte d'objets plus ou moins nouveaux.
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La Foire de Paris a accueilli 730 000 visiteurs, 30 hectares de surface d'exposition et 2650 exposants. Des stands malgaches étaient présents dans le hall "Terre des Tropiques" de cette édition 2006. Parmi ces boutiques, nous avons noté la société " La
Ravinala, Hibiscus Madagascar, Robin Zoe..."
La Foire de Paris est un salon grand public, mais c’est aussi un lieu de concrétisation d’échanges commerciaux entre diverses entreprises, qui sont à la recherche de produits issus des îles.
Dimanche après-midi, Fenoamby donnait un exceptionnel concert à la foire de Paris. L'artiste malgache n'a pas manqué à sa réputation et a fait vibrer deux heures durant un immense public avec sa musique empreinte de beauté et de fête.
Fenoamby a emmené immédiatement son auditoire dans un fantastique voyage en direction de l'océan indien.
En effet une étroite communion s’instaure vite entre l'artiste et son public. Des compositions de rêve succèdent à d'autres fracassantes...
L'immense talent de Fenoamby éclate tout au long du concert. Aussi beaucoup de ceux qui étaient venus par curiosité, étaient surpris, découvraient, aimaient et dansaient le
"salegy malagasy" s'il vous plait!
D'ailleurs c'est une véritable ovation qui salua l'artiste tout au long du concert.
( madamaki.com )
Archive des Editos
( ...
)
allAfrica.com
15/05/2006
Madagascar: Présidentielle : les opposants en ordre dispersé-
Midi Madagasikara (Antananarivo)-N.r.
L'unité des opposants commence à craquer. Elle bute sur la participation ou non à la présidentielle du 3 décembre 2006. Le plus récalcitrant reste le Crn de Zafy Albert. Cette aile radicale s'enferme dans son coin. Elle réclame une remise à plat du système par la création d'un régime transitoire.
Des opposants n'épousent plus cette idée. Surtout depuis la publication de la date du scrutin présidentiel. Des membres du Spdun ainsi que des 3fn voudraient tenter l'aventure. Les débats d'hier à Tsimbazaza ont vu se confronter ces deux positions apparemment irréconciliables. C'est ainsi que les deux camps se sont séparés sur ce constat qui laisse présager que les opposants iront en ordre dispersé. Toutefois, les pourparlers ne sont pas rompus. Une autre réunion sur le sujet est convoquée dès mardi prochain.
Casus belli
Mais avant de se déchirer sur ce casus belli, les opposants ont entendu le rapport de Richard Andriamanjato. Lequel a récemment rencontré le représentant du Pnud. Il a fait l'état des lieux du dialogue pouvoir- opposition à Bouri Sanhouidi. Il est ressorti de son exposé que l'opposition s'en tient aux résolutions de sa conférence nationale unique. Elles sont aujourd'hui dans les tiroirs des dirigeants. Les opposants attendent avec impatience leurs annotations. Tout en rejetant tout amendement du texte. Pour leur part, l'exécutif et les Nations Unies ne jurent que par les élections.
Le pasteur Andriamanjato aurait insisté sur le fait que «Kofi Annan a mis un point d'honneur sur la nécessité du dialogue politique entre le pouvoir et l'opposition». En même temps, il n'aurait pas manqué de rappeler à son hôte que «l'unique et seule façon d'accéder au pouvoir acceptable et admissible reste les élections ».
allAfrica.com
13/05/2006
Madagascar:
La date des élections présidentielles fixée -
L'Express (Port Louis) A.
Iloniaina Port Louis
Le président malgache, Marc Ravalomanana,
briguerait un deuxième mandat lors des élections présidentielles de décembre.
L'élection se fera vraisemblablement avec l'actuel code électoral, en dépit
des réclamations de changement ici et là.
Le voile est levé. Le gouvernement vient de trancher sur la date des élections
présidentielles. Il ne reste plus que son officialisation. Mais le
rendez-vous est déjà donné pour les candidats, officiels ou potentiels
pour la consultation populaire anticipée.
Dans sa lettre du 6 mai 2006, le chef du gouvernement a demandé l'avis de
la Haute cour constitutionnelle (HCC) sur la date des élections présidentielles,
prévues pour le 3 décembre 2006.
Il ne reste donc plus à l'exécutif que l'officialisation de la
convocation des électeurs. Et ce, d'autant plus que le dernier obstacle,
l'avis de la HCC, est déjà levé. La juridiction constitutionnelle a jugé
hier que la date envisagée "n'entre pas en contradiction avec les
dispositions constitutionnelles".
Jusqu'ici, le gouvernement s'est contenté de prévoir la date des présidentielles
vers la fin de cette année ou le début de l'année 2007, selon les
responsables de l'exécutif. Avec la tenue du scrutin le 3 décembre, le
gouvernement a ainsi choisi d'anticiper les élections.
La date est en avance de 20 jours, si l'on tient compte de la Constitution
et de la date de l'élection "qui devrait se situer entre le 22 décembre
2006 et le 22 janvier 2007". Elle l'est également par rapport à la
date d'investiture du chef de l'état, que ce dernier avance même pour le
6 mai 2002.
Dans son explication, le gouvernement évoque le motif climatique pour
justifier la demande d'anticipation de la date. L'exécutif met en avant
la "période de pluie risquant ainsi d'handicaper fortement le déroulement
des opérations électorales". Ceci, afin de "permettre de
limiter les risques inhérents aux aléas climatiques".
Ramandimbilahatra, le conseiller du président de la République, n'a cessé
de clamer la tenue des présidentielles "pendant la période sèche".
En tout cas, l'exécutif a suivi le voeu du parti de l'ancien
porte-paroledu chef de l'état.
Un cocktail
explosif
L'option politique du gouvernement est donc arrêtée, contre vents et marées.
Avec le choix de la date, entérinée par la HCC, le gouvernement veut
ainsi éviter une fois pour toutes l'épineuse question de l'investiture
du 22 février 2002 et ses conséquences incalculables. D'ailleurs,
Manandafy Rakotonirina a déjà "conseillé" au président
Ravalomanana une telle solution, plusieurs mois auparavant.
La décision peut s'expliquer également par le souhait d'un nouveau
mandat, et pour faire taire les critiques et les contestations politiques
ici et là. Cette condition permet au pouvoir d'avoir une marge de
manoeuvre beaucoup plus élargie pour se concentrer dans la réalisation
de son programme renouvelé qu'est le Madagascar Action Plan.
Mais la résolution n'est pas sans revers. Elle va faire monter d'un cran
la tension politique déjà en net accroissement, ces derniers jours, à
cause de l'affaire Lahiniriko. Le contournement de "l'auto-investiture"
et la tenue des élections dans sept mois assureront un cocktail explosif
dangereux.
Par l'intermédiaire de José Rakotomavo, la troïka de l'opposition
rappelle à nouveau aux autorités la nécessité d'une
"transition".
l'express de Madagascar
Communiqué de presse
TSARA Voyages Le 11 mai 2oo6
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Jeune
Afrique 13 mai 2006
Le
président de l'Assemblée nationale débouté par la Cour
constitutionnelle - par XINHUA
Le président de l'Assemblée nationale de
Madagascar, Jean Lahiniriko a été débouté par la Haute Cour
constitutionnelle (HCC) et il doit quitter de manière définitive la tête
de l'Assemblée nationale.
Dans sa lettre, la juridiction constitutionnelle confirme, d'une manière
indirecte, le vote des 119 élus contre M. Lahiniriko.
Le parti présidentiel TIM (Tiako i Madagasikara-J'aime Madagascar), qui
occupe 111 sièges sur 160 à l'Assemblée nationale, a déposé une
motion de destitution de M. Lahiniriko la semaine dernière, qui a été
adoptée lundi dernier et remise toute suite à la HCC pour être confirmée.
La HCC se déclare incompétente pour constater la vacance de poste à la
chambre basse et pour le "motif grave" de la destitution. Elle a
également déclaré irrecevable la demande d'annulation du vote de lundi,
formulée par M. Lahiniriko.
Le TIM a accusé M. Lahiniriko d'avoir exprimé son soutien à la
politique nucléaire iranienne lors de sa visite en Iran en le qualifiant
de "haute trahison".
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|
Les
Nouvelles 13/05/2006
Le nouvel homme au perchoir est Samuel Mahafaritsy Razakanirina, député élu à Toliara II
Les résultats du scrutin sont tombés hier soir à Tsimbazaza, concernant la candidature à la présidence de l’Assemblée nationale. Un seul candidat s’est présenté en la personne du député Tim Samuel Mahafaritsy Razakanirina, de la circonscription de Toliara II. Au début de la séance, 109 députés étaient présents, avant le vote 112, et après le vote 118. 91 députés ont voté pour le député de Toliara II, 24 blancs et 3 nuls.
La séance a été dirigée par le doyen des députés, le député RPSD de Befotaka, Jean Noël Malazamanana, et le benjamin, le député Avi Patrice Rakotonandrasana, d’Ikongo. Au début de la séance, le doyen a invité le benjamin à faire l’appel puis il a annoncé la seule candidature reçue, celle de Samuel Mahafaritsy Razakanirina. Ensuite, le benjamin des députés a lu l’article du règlement intérieur relatif au vote. Et le doyen a enfin invité tous les députés à se retirer 15 minutes avant que le candidat ou son représentant aille présenter son caucus, la défense d’un candidat à un poste donné.
Une fois les 15 minutes écoulées, le doyen des députés a rappelé l’assistance à passer à la procédure de vote. Il a convié le représentant du candidat qui n’est autre que le président du groupe parlementaire Tim, Yves Aimé Rakotoarison, à défendre le candidat. Samuel Mahafaritsy Razakanirina est marié, et a des enfants. Il est un pratiquant luthérien. Il est assidu et studieux dans le sens où il a assuré ses études en gestion, en diplomatie internationale et actuellement encore, il est en train de finaliser une étude supérieure de troisième cycle. C’est la raison pour laquelle le groupe parlementaire Tim le présente au poste de président de cette institution, a-t-il plaidé.
Le président du groupe RPSD, Evariste Marson, a renforcé le caucus d’Yves Aimé Rakotoarison. Lors de la première élection au niveau de cette institution, le député Mahafaritsy m’a proposé d’être en tête de la commission population. Une proposition et une coopération de sa part que je juge convenable, sans que mon parti l’eut proposé. De par cette ouverture d’esprit, je ne peux que féliciter cette candidature. Et je l’annonce, je vote pour lui, a-t-il avancé.
Les députés sont, par la suite, passés au vote. Comme convenu dans l’article 13 du règlement intérieur de l’Assemblée nationale, le président entrant a tout de suite pris son poste. Pour cette première séance, ce nouvel homme au perchoir a prononcé un discours où il n’a pas omis de remercier le Seigneur, et a continué par communiquer à ses pairs le prochain programme dont la première conférence des présidents de lundi prochain.
L’élection s’est déroulée sans casse. Toutefois, des bruits ont couru dans les couloirs que lors du Primaire effectué au quartier général du Tim, avant-hier, le député Alfred Jonasy avait gagné 27 voix, le député Samuel Mahafaritsy Razakanirina 23 voix, le député Jean Claude Lamarre 13 voix, le député Gatera Jeantri 8 voix et le député Yves Aimé Rakotoarison 4 voix.
Une situation que certains députés Tim n’ont pas tellement apprécié. Mais puisque discipline de parti oblige, les 75 députés qui étaient présents au Magro, après la décision du bureau politique ont accepté. Les observateurs politiques se demandent tout simplement si les 27 voix blancs et nuls n’ont pas une signification de contestation.
Prisca R.
Tribune
13/05/2006
Infrastructure
: Rocade « Marais masay » Prolongée jusqu’à la RN 2
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Les embouteillages de plus en plus réduits. La Rocade de « Marais Masay » reliant actuellement la Route des hydrocarbures Ankorondrano et Andranobevava sera prolongée jusqu’à Route nationale n° 2, près
d’Ambohimahitsy.
C’est ce qui ressort de la cérémonie d’inauguration de la route « Marais Masay » et le bassin tampon, fruit de la coopération
franco-malagasy, qui s’est tenue hier à Ambatomainty et qui a vu la présence du président Marc Ravalomanana et le Premier ministre Jacques Sylla.
Le maire de la capitale, Patrick Ramiaramanana a demandé au gouvernement français de financer les travaux d’extension de cette rocade et d’autres projets de développement de la Cité des Mille pour un montant total de 15 millions
d’euros soit environ Ar 39 milliards. La réponse de la ministre française déléguée à la Coopération, au Développement et à la Francophonie, Brigitte Girardin ne s’est fait pas attendre. « La poursuite des travaux de construction de cette route jusqu’à la RN 2 constitue un des volets dans le cadre du Document cadre de partenariat que
l’Agence française de développement envisage de financer en 2007 », a-t-elle dit. Elle a rappelé à cette occasion que ce Document cadre de partenariat a misé beaucoup sur le développement des infrastructures notamment dans les villes. Cette extension de la rocade jusqu’à la RN 2 résoudra en grande partie le problème d’embouteillage à
Antananarivo-Renivohitra. |
« Quand cette section sera réalisée, la circulation de la voiture sera beaucoup fluide qu’aujourd’hui. En utilisant cette nouvelle rocade, le centre ville ne sera plus un point de passage obligé pour le trafic », a estimé Patrick
Ramiaramana. Dans le cadre du développement de la ville d’Antananarivo, la CUA engagera d’autres travaux avec ses partenaires, notamment la Région Ile de France. Un programme paysager autour du « marais Masay » ainsi que le Plan vert
d’Antananarivo sera envisagé.Il sera axé sur l’hygiène, la qualité d’eau, l’aménagement des abords en espace verts avec la réhabilitation de la pépinière.
Herimanda R.
Wanadoo.mg
15/05/2006
Le tourisme aromathérapique pour booster la filière huiles essentielles
Ilménite, vanille, ou encore litchis ! Nombreux sont les produits exportés par la Grande île, et adulés par le marché extérieur. La liste est, d’ailleurs, encore longue.
Le bon opérateur économique se dit alors que la boucle est bouclée, que tout ce qui est exploitable l’est déjà. Et pourtant non. Des produits, aussi insolites qu’utiles, n’attendent qu’à être exploités. C’est le cas, notamment, des huiles essentielles.
Les huiles essentielles sont, pour la plupart, issues de divers produits extrêmement répandus à Madagascar, tels que le géranium, l’Ylang Ylang, ou encore l’Eucalyptus. Et pourtant, le secteur a du mal à décoller.
Malgré tout, il est bon de reconnaître que ces cinq dernières années, le volume et la valeur des exportations des huiles essentielles est en hausse constante. Du coup, le pays fait figure de référence en matière d’exportation des huiles essentielles d'eucalyptus globulus et de
Ravinsara.
Si le secteur a du mal à progresser de manière significative, c’est sans doute dû à une demande plus aussi intéressée qu’auparavant. A titre d’exemple, le marché européen n’affectionne plus tellement les huiles essentielles dans la mesure où le nombre des exportateurs est en constante hausse. Toutefois, cela ne signifie pas que le marché international n’est plus une aubaine, bien au contraire.
Le marché asiatique
L’Europe n’est pas le seul continent demandeur d’huiles essentielles. D’autres marchés potentiels, tel que l’Asie, attendent d’être exploités. Le marché asiatique est des plus intéressants, dans la mesure où sa production n'arrive pas à satisfaire la demande.
Par ailleurs, comme la commercialisation de ces produits présente une opportunité certaine, d’une manière ou d’une autre, la Grande île peut également se permettre de développer le "tourisme aromathérapique". Pourquoi pas. Une formule qui a fait ses preuves en Asie.
Par tourisme aromathérapique, on veut ici parler de la promotion des vertues guérissantes, déstressantes et autres des huiles essentielles malgaches dont le principal avantage concurrentiel se trouve dans les qualités intrinsèques du produits.
100% bio et végétale
En effet, les plantes aromathérapiques de la grande île ne subissent pas encore la pollution des autres pays et sa culture est 100% bio et végétale, c'est-à-dire que les engrais utilisés sont à 100% naturels et non pas chimiques comme pour la culture dans les autres pays.
Malgré tous ces beaux scénarios et opportunités qui s’ouvrent aux huiles essentielles, les facteurs de blocages sont nombreux. Il fallait d’ailleurs s’y attendre. Ainsi, le principal problème de la filière huile essentielle réside, comme la majorité des filières à Madagascar, dans le manque de professionnalisme du secteur.
Il n’y a qu’à voir les plantations qui sont loin d’être industrielles, tout comme les distilleries d’ailleurs. Le secteur des huiles essentielles a de grosses opportunités. Dans la Grande île, différents produits peuvent être trouvés en abondance, pour ne citer que le thym, les différentes variétés d'eucalytptus, le romarin, la verveine, la cannelle, le poivre, le vétiver, ou encore le gingembre. Autant de plantes destinées à la production des huiles essentielles.
Renaud Rianasoa Raharijaona ©Les Nouvelles
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RNS
2006 vu par Sobika.com
15
16 17 Avril : Les RNS 2006 à Vichy
Sobika: Evènement
exceptionnel, reportage exceptionnel ! Sobika vous fait
revivre ou découvrir l'ambiance unique du grand
rassemblement malgache sportif et culturel. Photos
Sobika.com & J.ramanoelina pour Sobika.
Les
RNS ce n'est pas que sport, c'est aussi des rencontres
entre malgaches ! Ambiance, people, insolite, voici le coté
paris match des RNS ! ...
suite
ici
>>
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