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PANORAMA
DE LA POESIE MALGACHE CONTEMPORAINE PAR FREDY JAOFERA
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SAMEDI 11 mars 2006
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La Gazette 11/03/06
Nations-Unies :Kofi Annan finalement à Madagascar
Le secrétaire général de l’ONU effectuera une visite à Madagascar prochainement, annonce un communiqué de notre représentation auprès de l’organisation à New York. Aucune date précise n’est cependant donnée sur cette grande première que le communiqué qualifie à juste titre d’historique, aucun secrétaire général de l’ONU n’ayant visité notre pays depuis notre adhésion le 20 septembre 1960. A travers les lignes, le communiqué laisse cependant entendre que Kofi Annan sera à Madagascar au mois de juin prochain.
Cette visite « coïncide avec le 46ème anniversaire de notre indépendance » y lit-on notamment, jugeant que la tournée malgache du SG de l’ONU comme « le triomphe de la diplomatie malgache ».
Après le faux bond de juillet 2005, Kofi Annan
sera donc finalement à Madagascar. L’annulation de sa visite était alors interprétée, à tort ou à raison, par une certaine frange de l’opposition comme l’insuffisance de la crédibilité du régime sinon la déception de l’ONU face au refus d’amnistie et de réconciliation nationale, certains ayant fait l’amalgame avec la situation de la liberté de la presse à Madagascar dont les procès contre « La Gazette » et la fermeture de 3 stations radio à Toamasina ont fait l’objet de protestations officielles de la part des associations internationales de média (Association Mondiale de Journaux, Reporters Sans Fronctières, IFC…) auprès de
l’ONU.
Et d’après les rumeurs entendues ici et là, la récente visite d’un émissaire de Kofi Annan à Madagascar aurait trait à ces sujets. Aussi est-il à dessein que le communiqué de notre représentation auprès de l’ONU souligne que « aucune disposition de la Charte n’autorise l’ONU à intervenir dans les affaires qui relèvent essentiellement de la compétence nationale d’un Etat » ?
Wanadoo.mg 11/03/06
Plus de 4 000 usagers en infraction identifiés par la Jirama
Les efforts d'assainissement engagés par la société d'eau et d'électricité Jirama ont porté ses premiers fruits.
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Les
employés de la Jirama en travaux de réparation d'une ligne électrique
© DTS |
Et la société n'entend pas rester là ! Les premiers bilans dressés par la société ont été des plus foudroyants. Le ratissage engagé au niveau des usagers ont débouché sur des constatations surprenantes.
Sur les 16 000 compteurs vérifiés, plus de 30%, soit approximativement 4500 usagers, sont en infraction. Dans ce même cadre, 78 cas de vol ont été notifiés. Pire, le mal viendrait en partie de l'intérieur même de la société. 40 employés ont été, sans délai, licenciés en raison des infractions qu'ils ont commises au mépris de leur propre entreprise. Ces manquements se sont traduits sous diverses formes. On citera entre autres exemples, les détournements de fonds, les fausses facturations, la corruption... et cette liste est loin d'être exhaustive. Les pertes se sont au total évaluées à plus de 140 millions
ariary.
Après avoir mis la main sur les usagers de la ville d'Antananarivo, abritant plus de 70% de la consommation nationale, la Jirama entend ratisser large. Très récemment, elle a mis le cap sur Antsirabe pour déceler toutes les irrégularités. Mais l'opération se poursuivra en tout temps dans les autres quartiers de la ville des mille, devait affirmer le responsable de la communication de la
Jirama, Dominique Ratsimbazafy. |
Les usagers en infraction ont été sommés à régulariser leur situation et invités dans les plus brefs délais à s'acquitter de tous les arriérés, sous peine d'être traduits en justice.
Certains usagers particuliers ont accusé des arriérés qui pouvaient s'élever jusqu'à quatre millions
ariary. Les descentes réalisées sur le terrain ont par ailleurs permis aux agents de la Jirama de remettre à l'état les compteurs trafiqués et les branchements illicites.
La lutte se poursuivra jusqu'à ce que la totalité des usagers soit en règle vis-à-vis de la société, a expliqué cet interlocuteur. Au niveau du personnel de la société, le principe de la tolérance zéro est également en marche. Les employés en infraction seront immédiatement mis à la porte. A propos des services offerts par la société, les délestages se poursuivent dans certaines provinces, devait reconnaître cet interlocuteur. |
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La société, dans le moyen terme, se fixe pour objectif d'augmenter sa capacité de production dans le souci de répondre à la demande. Mais pour l'heure, elle se doit de réduire au maximum ses charges d'exploitation. Pour ce faire, elle se voit contrainte d'ajuster à nouveau ses tarifs au mois d'avril prochain. Les fonds promis par les bailleurs ne seront en effet disponibles que vers le second semestre. Le processus de redressement est en marche !
Fatratra Andriamasinoro ©Le Quotidien
Jeune
Afrique 08/03/06
Des cas sporadiques de chikungunya signalés
à MADAGASCAR- par XINHUA
Le ministre malgache de la Santé Jean Louis Robinson vient de reconnaître officiellement quelques cas sporadiques de chikungunya à Madagascar, selon la presse malgache parue lundi.
Il a fait cette révélation lors d'une rencontre avec le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Lee Jong Wook, actuellement en visite à Madagascar.
Cherchant à tout prix à éviter les effets catastrophiques qu'entraînerait la présence de l'arbovirus à Madagascar, M. Robinson évite de dramatiser la situation. "Il y a une grave épidémie à La Réunion, un peu moins à Maurice et aux Seychelles, il n'y a que des cas sporadiques à Madagascar", a-t-il expliqué. " On vous mentirait si on disait qu'il n'y a pas de chikungunya chez nous, mais ce sont des cas très sporatiques. Il n'y a pas d'épidémie de chikungunya, il y a une épidémie de dengue classique dont un cas a été confirmé", a-t-il continué.
Aucun chiffre n'a toutefois été révélé, ni sur les cas sporadiques de chikungunya, ni sur l'épidémie de dengue classique.
"Toutes les maladies présentant les signes cliniques des maladies virales qui se sont révélées négatives au test de recherche du paludisme sont toutes considérées comme des arboviroses", a-t-il indiqué.
Faute de moyens financiers pour procéder aux analyses de tous les cas suspects, le gouvernement malgache procède au décompte par sustraction pour avoir une estimation du nombre de cas. La dengue et le chikungunya présentant presque les mêmes symptômes, M. Robinson a dit préférer parler d'arbovirose que de dengue ou de chikungunya. Les deux maladies appartiennent à la même famille et sont véhiculées par le même moustique,
l'aedes.
"Le problème n'est pas de compter le nombre de cas", avance Pierre Formenty, médecin chef de la mission envoyée par l'OMS dans les îles de l'océan Indien. "Le plus important maintenant, c'est la mobilisation sociale dans la lutte contre le moustique vecteur", poursuit-il: "inciter les gens à détruire les gîtes larvaires et à tuer les moustiques".
Jusqu'à samedi dernier, les autorités sanitaires malgaches ont soigneusement évité de parler de l'existence ou non du chikungunya à Madagascar.
La
Gazette 08/03/2006
Nouveau classement de la Banque mondiale : Madagascar parmi les 10 derniers au monde
Sa
En dépit des félicitations des bailleurs de fonds et de l’autosatisfaction de nos dirigeants, Madagascar se trouve toujours au bas du tableau, en termes de pauvreté.Une étude de la Banque mondiale dont les résultats ont été présentés officiellement à Washington, la semaine dernière, classe en effet la Grande Ile parmi les 10 derniers au monde avec l’Ethiopie, la Burundi, le Mozambique, la Guinée-Bissau, le Niger, le Tchad et le Népal qui est le seul pays d’Asie figurant dans le Top Ten des pays les plus pauvres au
monde.Dans cette étude, dont les résultats sont contenus dans un livre intitulé « Where is the Wealth of Nations ? Measuring Capital for the 21st Century » (Où sont les richesses des Nations ? Mesure du capital pour le 21ème siècle), les experts de la Banque mondiale évaluent la richesse totale de 120 pays, évaluation qui ne se base plus sur le seul produit intérieur brut mais comptabilise la production proprement dite, les ressources naturelles et la valeur des capacités et des possibilités du capital humain.Appelé capital immatériel, cette dernière composante intègre, en fait, tout le système d’éducation et d’organisation d’un pays. Ainsi, les systèmes éducatifs et judiciaires tout comme le fonctionnement de l’Administration sont évalués monétairement. Il en est également de même des ressources naturelles, les forêts comme le potentiel du sous-sol ou encore la superficie des terres arables. Enfin, l’autre composante du calcul qu’est le capital proprement dit intègre à la fois les infrastructures, les bâtiments, la proportion des zones urbaines par rapport à la superficie totale du pays.D’après l’étude, la Suisse est la plus riche au monde, selon les évaluations établies. Elle est suivie du Danemark et de la Suède, le Top Ten de la richesse étant occupé par les pays européens avec les Etats-Unis et le Japon.Le livre n’étant pas encore en notre possession, nous rapportons ci-après l’exemple finlandais (qui est classé 12ème pays riche au monde) que nous avons recueilli sur le Web. Ainsi, chaque Finlandais serait riche de 419 346 dollars dont 61 064 de capital produit et 11 445 de ressources naturelles consistant surtout en ressources forestières. « Même si les ressources forestières finlandaises sont estimées à 8 464 dollars par personne, parmi les plus élevés au monde, la proportion du capital immatériel dans la richesse totale est de 82 % », note l’article de notre confrère.En fait, cette proportion de 82 % des richesses totales d’un pays est valable pour les 120 pays ayant fait l’objet de l’étude. Autrement dit, Madagascar n’est pas seulement pauvre matériellement, nous le sommes aussi et surtout en termes d’organisation dont la faiblesse limite gravement les capacités et possibilités de la population.
Depuis toujours, pourquoi les organisations internationales et les investisseurs n’ont-ils pas d’ailleurs soulevé la très faible qualification de la main-d’œuvre malgache ? Comment jouer dans la mondialisation et espérer être le pont reliant l’Asie et l’Afrique en tant que dragon de l’Océan Indien, si la qualification n’y est pas ? Le chef de l’Etat lui-même le reconnaît sans doute en s’entourant d’une kyrielle de conseillers étrangers. La réforme du système éducatif demeure cependant très floue. En tout cas, aucune politique claire n’existe faute sans doute de l’existence d’un quelconque modèle de société.
Par ailleurs, comment attirer les investisseurs quand les formalités pour l’acquisition d’un terrain demeurent un véritable parcours du combattant ? Quand une étude menée par le BIANCO lui-même révèle que d’après la perception populaire, les forces de l’ordre et la Justice figurent parmi les plus corrompus au pays ?
Bref, ce n’est pas avec les espoirs encore sous terre de pétrole ou de diamant que les grandes compagnies internationales vont venir à Madagascar, qu’on va espérer enrichir pour de bon le pays. Qui plus est, l’étude note que pour les pays au bas du tableau, le capital produit est très faible, moins de 25 % du total.
En effet, la note de présentation du livre sur le site d’achat en ligne de la Banque mondiale, souligne que cette étude est « une opportunité unique de voir la gestion économique dans une large et complète perspective ».
« Le principe de base du livre est que la gestion économique peut être conçu comme une gestion de portefeuille de sorte qu’on intègre la notion de durabilité lors de la confection d’une politique économique ». En outre, le livre ne traite pas que l’évaluation de la richesse des pays. Il analyse également les changements de richesses et les impacts sur la politique économique ainsi que les liens à la croissance et à l’inégalité.
En somme, nos dirigeants devraient se procurer ce livre pour y puiser les enseignements qui puissent enrichir les Malgaches. Ils ont bien 25 dollars pour l’acheter. Sinon, on peut bien faire la commande sur le budget de l’IPPTE (initiative en faveur des pays pauvres très endettés qui a conduit à l’annulation de la majorité de nos dettes) pour qu’on ne figure plus dans le hit parade des pays pauvres.
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allAfrica 11/03/06
Riz : hausse considérable des importations en janvier 2006
Midi Madagasikara (Antananarivo)- R.e.
L'autonomie en riz annoncée par les responsables est encore loin d'être une réalité. L'insuffisance de la production locale de cette denrée la plus consommée à Madagascar est prouvée par la montée en flèche, ces derniers temps, de son importation.
Les statistiques tirées sur les inspections effectuées par la SGS montrent que de 3 millions d'euros au cours du mois de décembre 2005, la valeur FOB du riz importé a atteint plus de 6 millions d'euros en janvier 2006, soit une importante hausse de près de 97%.
Certes, cette hausse considérable des importations de riz s'explique par le fait que nous sommes en pleine période de soudure, mais son volume trop important est aussi significatif du fait que les statistiques officielles de la production locale ne sont pas nécessairement fiables.
Il faut cependant reconnaître que la situation joue en faveur des consommateurs qui ont assisté ces derniers temps à une stabilisation, voire une baisse du prix du riz sur le marché. Par ailleurs, quand on sait que l'importation de riz, étant entièrement libéralisée et que les importateurs vont encore importer au maximum, l'on peut s'attendre encore à d'autres baisses des prix du riz, à cause de l'augmentation des offres. Mais l'inconvénient, c'est que cette envolée des importations de riz peut également expliquer la dévaluation de l'ariary ces derniers temps.
Notons que d'autres produits de première nécessité ont fait également l'objet d'importations assez importantes. La valeur FOB des importations de sucre était, par exemple, de 544.000 euros en janvier 2006 ; 900.000 euros pour la farine de blé ; 500.000 euros pour l'huile alimentaire ; et enfin près de 2 millions d'euros pour le blé. Dans tous les cas, ces importations massives de PPN sont significatives de la carence de la production locale et montrent que l'industrie locale rencontre encore des problèmes de taille.
Midi
Mada 08/03/2006
FEMMES MALGACHES DU 20-21 ème siècle :
UNE EVOLUTION A DEUX VITESSES
« La situation des femmes malgaches est un leurre. On fait toujours croire que l’égalité entre hommes et femmes est atteinte, et que notre situation n’a rien à voir avec celle de l’ Afrique, mais il s’agit d’une émancipation à deux vitesses. Dans les zones reculées, le traitement des femmes n’a guère évolué, et dans les zones urbaines, certains stéréotypes demeurent toujours d’actualité. D’ailleurs, combien avons-nous de femmes ministres et de femmes ayant des responsabilités dans les postes de décision ? ».
Hanitra R.
La réflexion émane d’une sociologue malgache. Selon des études menées par l’association Focus dans tout Madagascar, nous sommes actuellement dans une société en mutation dans l’égalité du genre, c’est-à-dire que les comportements ont changé vis-à-vis des femmes, mais il y a encore des relents de discrimination, qui dépendent des milieux et des sphères dans lesquels les femmes vivent. D’un côté, il y a également des phénomènes qui témoignent de l’émancipation des femmes, émancipation qui passe par l’autonomisation financière de ces dernières. Mais certains clichés ont la vie dure. A titre d’exemple, même en ayant réussi dans la vie, la femme n’est pas reconnue en société si elle n’est pas mariée. Le rôle de procréatrice attribué à la femme demeure, d’un côté, d’actualité, ce qui fait que beaucoup de femmes mariées usent du planning familial à l’insu de leurs partenaires. Même à un niveau de connaissance et professionnel égal, la femme passe pour une dominatrice si elle ne laisse pas l’homme lui donner quelques idées ou des conseils « bien éclairés ». Une enquête menée sur des jeunes hommes de notre époque a aussi révélé que l’idéal féminin pour eux reste encore la femme au foyer ! Les reflets du changement du regard de la société vis-à-vis des femmes peuvent se ressentir dans la participation plus active dans le milieu du travail, de la politique et social et un choix de vie plus libre. D’un côté, il y a un danger dans l’intérêt que l’on a porté aux femmes durant les dernières décennies, car les hommes ont été en quelque sorte délaissés, c’est-à-dire que les informations sur eux n’abondent pas. Pour qu’il y ait pourtant une réelle égalité, il faut aussi réfléchir sur les hommes, sinon, on n’avance pas, estiment les spécialistes du genre.
La
Gazette 08/03/2006
Chikungunya : La nouvelle fait le tour du monde
Après le film « Madagascar », la Grande Ile est de nouveau à la une de l’actualité mondiale.
Cette fois-ci, la publicité est plutôt négative car presque l’ensemble de la presse dans le monde a repris la reconnaissance par les autorités malgaches de l’existence de la maladie du Chikungunya.
Il est vrai que les dégâts enregistrés à la Réunion sont tels en dépit du système de santé publique jugé performant dans ce département français qu’on craint à juste titre que la maladie causera des ravages monstres dans un pays aussi pauvre que le nôtre et d’une superficie mille plus grande que l’île sœur où l’on a du mal à contrôler l’épidémie.
Il faut désormais que l’Etat agisse au plus vite et surtout sensibilise la population afin de contenir le mal mais aussi éviter la panique. Et qu’il ne joue plus la comédie.
Sobika.com
08/03/2006
Can
2008 - Le tirage au sort jeu 23 fév, 16h15
Le
tirage au sort pour les éliminatoires de la Coupe d'Afrique des
nations 2008 a eu lieu jeudi par la Confédération africaine de
football. Quarante-sept équipes, réparties en douze groupes,
seront en lice à partir de septembre. Seules quinze sélections
(les douze premiers de chaque groupe et les trois meilleurs deuxièmes)
pourront se qualifier et rejoindre le Ghana
, invité d'office en qualité d'organisateur.
Les
groupes
Groupe
1 : Djibouti, Gabon, Côte
d'Ivoire , Madagascar
Groupe
2 : Botswana, Burundi, Egypte
, Mauritanie
Groupe
3 : Lesotho, Niger, Nigeria
, Ouganda
Groupe
4 : Mauritanie, Seychelles, Soudan, Tunisie
Groupe
5 : Cameroun
, Guinée
Equatoriale, Liberia, Rwanda
Groupe
6 : Angola ,
Erythrée, Kenya, Swaziland
Groupe
7 : Burkina Faso, Mozambique, Senegal
, Tanzanie
Groupe
8 : Algérie, Cap Vert, Gambie, Guinée
Groupe
9 : Bénin, Mali, Sierra Leone, Togo
Groupe
10 : RD Congo, Ethiopie, Libye
, Namibie
Groupe
11 : Tchad, Congo, Afrique
du Sud , Zambie
Groupe
12 : Malawi, Maroc
, Zimbabwe
Madagate
08/03/2006
INONDATIONS DANS LE NORD - 1120 SINISTRÉS À ANTSIRANANA
Express Mada
Inondations à Toliara en 2004 : dans certains quartiers de la ville d’Antsiranana aussi, la pirogue est devenue le moyen de locomotion le plus pratique.
Les pluies diluviennes qui se sont abattues dans la commune urbaine d’Antsiranana ont fait des sinistrés qui sont hebergés par des familles ou logés temporairement dans des écoles ou des églises.
Dame pluie a encore fait des dégâts. Les fortes précipitations qui se sont abattues dans la partie septentrionale de l'île se sont soldées par l'inondation de certains quartiers de la commune urbaine
d'Antsiranana.
"Près de 274 maisons pataugent actuellement dans l'eau. Ce qui fait 1120 sinistrés", note Gordon Andrianirina, adjoint au maire de la ville d'Antsiranana. "Certes aucun décès n'a été déploré, mais les dégâts matériels s'élèvent à plus de 30 millions ariary", révèle-t-il.
Notons que plusieurs fokontany sont touchés par ce phénomène. Parmi ces derniers figurent la cité ouvrière, Morafeno, Ambohimitsinjo, Scama, Soafeno, Tsaramandroso, Grand Pavois, Mahatsara, Lazaret Nord et Sud...
Les habitants de cette zone sont unanimes à reconnaître que "les pluies diluviennes qui s'y sont abattues depuis mercredi, et qui se sont amplifiées vendredi, sont à l'origine de cette inondation".
Certaines familles sont dans la tourmente dans la mesure où leurs biens ont été endommagés par l'eau qui s'est rapidement infiltrée dans leur demeure.
TRANS-MAD.org
13/02/2006
Les salines de Tuléar touchées par la tempête tropicale Boloetse
La journée du 4 février a été marquée par le passage de la tempête tropicale Boloetse sur la ville de Tuléar. Suite à des pluies importantes pendant 24 heures des vents aux alentours de 150km/h ont soufflés sur « la cité du soleil »
Comptoir Régional du Sel de Tuléar :
Les salines de Tuléar touchées par la tempête tropicale Boloetse
La journée du 4 février a été marquée par le passage de la tempête tropicale Boloetse sur la ville de Tuléar. Suite à des pluies importantes pendant 24 heures, des vents aux alentours de 150km/h ont soufflé sur « la cité du soleil ».
Les zones de production salicole situées au Nord (Ambohitsabo / Besakoa) et au Sud (Motombe / Ankiembe) de la ville ont étés touchées par ces intempéries.
Des dégâts immédiats sont à déplorer suite à ces inondations :
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Destruction des digues de protection, Perte des stocks de sel entreposés sur les salines,
Détérioration des bassins, ...
Felapi et Ernest avaient déjà frappé en 2004 et 2005. Quasiment chaque année, un dégât cyclonique touche les salines de Tuléar.
Cette période de l’année située entre la fin décembre et le mois de mars dite « saison des cyclones » engendre des
conséquences sur la filière sel :
La production est quasiment mise en stand-by, les...
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