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... le monde entier
a les yeux braqués sur Madagascar ...
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« Le vrai trésor... Aimer vraiment !...
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Moins connue que la fête des mères ou des pères, le premier dimanche de mars est la journée dédiée à nos chères grands mères...
La fête des grands mères a été créée par la marque du café du même nom, le café grand-mère. Cette fête a souvent été considérée comme une fête commerciale. Mais c’est tout de même l’occasion de
faire plaisir à nos mamies et de leur
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dire qu’on lesaime. C’est l’occasion de les remercier de leur tendresse et de leur présence dans notre quotidien.
et pourquoi
pas par une petite histoire...
Une belle petite fille enjouée avec des boucles blondes de presque 5 ans, en attendant avec sa mamanprès de la caisse, aperçoit:
Un collier de perles toutes brillantes en nacre dans une boite en aluminium rose!
'Oh s'il te plait, maman, est-ce que je peux les avoir? Maman je t'en supplie, s'il te plait?'
Un collier de perles toutes brillantes en nacre dans une boite en aluminium rose!
'Oh s'il te plait, maman, est-ce que je peux les avoir? Maman je t'en supplie, s'il te plait?'
Vivement la maman regarda à l'arrière de la boite rose et se tourna vers ces petits yeux bleus qui lui suppliaient avec sa petite frimousse tournée vers le haut.
'$1.85.. C'est presque 2 dollars. Tu sais, si tu les veux vraiment, tu peux faire des choses extra à la maison et en un rien de temps tu auras
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assez d'argent pour les acheter toi-même. Et ton anniversaire est seulement dans une semaine, tu auras sûrement des sous
de ta grand-maman aussi.'.
Aussitôt que Jenny retourna à la maison, elle vida sa petite tirelire en forme de
cochon... elle calcule 17 cents. Après le dîner, elle a fait plus que
demander ...Lire la
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Harena Razakarivony de Neuilly-sur-Marne
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Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina",
Harena a répondu à notre appel
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qui le tour? On vous attend edito men et edito women.
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 xinhuanet.com 06/03/2010
Trois compagnies minières quittent Madagascar
- Xinhua
Trois compagnies minières ont définitivement quitté Madagascar en 2009, selon le dernier chiffre de l'Office des mines nationales et de l'industrie stratégique
(OMNIS).
D'après le directeur général de l'OMNIS, Joeli Valérin Lalaharisaina, la plupart des compagnies surtout les petites compagnies minières ne sont plus présentes à leur adresse officielle.
C'est la crise financière mondiale qui a conduit ces compagnies minières à abandonner leurs projets miniers pour Madagascar car cette crise financière a un impact direct sur les investissements de certaines compagnies minières présentes sur des marchés boursiers qui ont été fortement touchés par la crise financière internationale.
L'exploitation de l'uranium dans plusieurs parties de Madagascar, comme dans la ville australe de Taolagnaro, plus de 1.000 kilomètres de la capitale, et dans la partie Ouest de la Grande île, est le secteur le plus touché par la crise financière mondiale car les financements de projet d'uranium provenaient souvent des marchés boursiers, a expliqué le directeur général de
l'OMNIS.
Pourtant, la situation n'est pas grave car tous les projets sont encore en phase d'exploration, la première phase obligatoire effectuée par une compagnie qui désire exploiter un terrain avant d'extraire les mines dans cet endroit.
Une réunion entre l'OMNIS et les sociétés qui sont toujours à Madagascar sera organisée afin de présenter le calendrier des activités pour 2010.
Midi Mada 06/03/2010
Atelier « Teny ifampierana »
: Assemblée constituante mal votée - RAJAOFERA Eugène
912 inscrits, 515 votants, 4 blancs et nuls et 512 suffrages exprimés. Les chiffres parlent d'eux même. La première impression qui se dégage de ce résultat est que l'Assemblée constituante a gagné à l'issue d'un vote sur le référendum constitutionnel, certes, mais, elle a été mal votée. Mal votée car sur les 912 inscrits dont un votant par entité représenté à
Ivato, 515 seulement se sont rendus aux urnes.
397 entités et partis politiques ont boycotté le vote. Et encore, sur les 515 qui se sont prononcés, 203 ont voté pour un référendum constitutionnel, contre 308 qui ont opté pour la mise en place d'une Assemblée constituante qui fera office de l'Assemblée nationale de la transition et qui adoptera la Constitution de la IVe République.
Représentativité et légitimité. Plus d'un s'interroge sur la légitimité du vote qui a été effectué hier au CCI
Ivato. D'abord, l'atelier « Teny ifampierana » est fort critiquable en terme de représentativité. Les trois mouvances et leurs sympathisants ont boudé le rendez-vous. Ensuite, les personnes sélectionnées par les 22 chefs de région pour assister à l'atelier ne peuvent pas représenter toutes les forces vives existant au niveau desdites régions. Et enfin, force est de reconnaître que les partis politiques, les associations et les entités de la société civile qui ont répondu présent à l'invitation épousent de loin ou de près la position de la HAT par rapport au GIC et aux trois mouvances. Pour certains, le vote d'hier a permis de constater les divergences des points de vue au sein de la HAT . Un véritable panier de crabes, confirme un observateur politique.
Et la suite ? Au moment où nous mettons sous presse, les résolutions finales de l'atelier « Teny ifampierana » ne sont pas encore sorties. Ces résolutions devraient contenir les grandes décisions prises durant la réunion comme la mise en place de la
CENI, la formation d'un gouvernement d'ouverture et l'adoption d'un nouveau code électoral, tout ceci au cours du mois en cours; d'une part et d'autre part la création du Conseil de la transition. Lesdites résolutions devraient également confirmer Andry Rajoelina à la présidence de la HAT. Quid de la mise en oeuvre de ces résolutions? Ce qui est sûr, c'est qu'elles ne seront pas prises en compte par le GIC qui a donné à
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Législatives de mai : Vers un taux d'abstention record !
« Ce ne sont pas quelques politiciens ou mouvances qui vont décider du sort des Malgaches », se plaisaient à dire les barons de la HAT, lors de l'ouverture de l'atelier « Teny ifampierana ». Or, les résolutions issues des assises d'Ivato n'ont été votées que par une minorité qui ne peut prétendre représenter les 20 millions de Malgaches. Tout comme les futurs membres de l'Assemblée constituante ne pourront pas adopter, à la place des électeurs, la loi fondamentale de la IVe République qui sera du coup, dépourvue de la légitimité populaire issue du suffrage universel direct. |
la HAT jusqu'au 16 mars pour revenir aux Accords de Maputo et à l'Acte Additionnel d'Addis-Abeba. Joaquim Chissano a réitéré lors de son récent passage en Afrique du Sud qu'il faut appliquer ce que les 4 chefs de file ont signé.
Encadré:
Réserves sur les votes
Mais une partie des dirigeants politiques présents à Ivato, a porté malgré tout, des critiques sur l'organisation des votes. Le président de Tambatra, Pety Rakotoniaina, a dénoncé les critères de sélection par les organisateurs, des participants à l'atelier. Il a estimé malhonnête la présence de nombreux représentants d'associations de quartiers de la capitale au rendez-vous. «Les règles de jeu concernant ces associations ne sont pas claires. Nous avons aussi à Fianarantsoa beaucoup d'associations qui auraient dû participer à cet atelier mais pourquoi ne les a-t-on pas invités», s'est-il adressé aux orgasnisateurs.
Pour le président de commission à la HAT, Alain Ramaroson, qui a mené des tractations pour la tenue d'un référendum, les résultats des votes font refléchir.
L'ancien Premier ministre, Monja Roindefo, quant à lui, n'a pas tardé d'avoir des réactions sur la résolution de l'atelier. C'était en marge de la visite qu'il a effectuée à la jeune Manayia à l'hôpital de Befelatanana . «Ce ne sont pas 500 personnes qui vont décider de l'avenir du pays, déjà très sombre. La décision prise à Ivato n'a pas d'importance», a-t-il soutenu.
(Express Mada)
Jeuneafrique.com 05/03/2010
Le jatropha, nouvel arbre à palabres
Les projets de production de biocarburant à partir de cette plante se multiplient en Afrique subsaharienne... mais sont loin de faire l’unanimité.
Plante miracle ou arbuste maudit? Entre ses partisans acharnés, multinationales et politiciens en tête, et ses détracteurs, ONG et syndicats paysans, la polémique sur le jatropha fait rage. Les premiers voient dans la culture de cette plante oléagineuse un moyen de reverdir le Sahel tout en produisant du biocarburant, les seconds prédisent un désastre pour la petite paysannerie africaine et son environnement.
Depuis cinq ans, les géants verts de l’agrobusiness africain ne jurent que par cette plante. Le pétrolier BP s’est même associé avec la société britannique D1 pour créer un joint-venture dédié spécialement au
jatropha. Celui-ci affiche l’ambition de cultiver 1 million d’hectares d’ici à quatre ans. L’allemand Deutsche Biodiesel ou encore
l’Indian Oil Corporation (IOC) louent et achètent des terres ou des graines de
jatropha.
Madagascar, la Tanzanie, le Mali et le Ghana sont les pays en pointe en Afrique, et la Côte
d’Ivoire songe sérieusement à s’y mettre. L’industriel BPR Afrique, qui organisait un séminaire sur le sujet en novembre dernier, fait du lobbying à Abidjan pour monter une filière dans le pays.
La fin des petits paysans?
Jusqu’à ce que les chercheurs le sortent de son anonymat, à la fin des années 1970, le jatropha poussait tranquillement en Afrique sans embêter personne, planté en haies par les paysans pour délimiter leurs parcelles. Introduites au XVIIe siècle par les Portugais depuis
l’Amérique du Sud, les graines de cette plante, connue aussi sous le nom de pourghère
(tabanani en wolof ou bagani en bambara), étaient utilisées comme purgatif dans la pharmacopée traditionnelle.
Selon les scientifiques, on est loin de tout connaître sur cet arbuste et sur les risques associés à sa culture intensive. « Aucune étude sérieuse n’a été publiée », indique Michel
Partiot, directeur du Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement
(Cirad) en Afrique de l’Ouest. « Les racines plongent à 5 m dans le sol. Une fois engagé dans cette culture, il est difficile pour un petit paysan de revenir en arrière. Il n’a pas les moyens de se payer le bulldozer nécessaire à l’arrachage », ajoute le scientifique.
Des inquiétudes partagées par le collectif d’ONG et d’organisations paysannes Les
Agrocarburants, ça nourrit pas son monde*. « Contrairement à ce qu’on nous dit, ces grandes sociétés ne vont pas s’installer sur les terres les plus arides, explique Ambroise
Mazal, membre du collectif. Le jatropha peut pousser presque partout, mais il ne donne son meilleur rendement que sur les terrains irrigués, qui sont donc privilégiés par les industriels, et il est en concurrence directe avec les cultures pour l’alimentation. »
Autre critique, ce modèle de grande plantation détruit la petite paysannerie, poussant les agriculteurs indépendants à devenir ouvriers agricoles. À Tamale, dans le nord du Ghana, l’agence de presse des Nations unies Irin a fait état d’un conflit entre des paysans qui affirment avoir été expulsés de force au profit de plantations de jatropha par l’entreprise norvégienne Biofuel Africa (laquelle dément). À Madagascar, les paysans de la région de Tuléar ont saboté en 2007 les plantations de la société britannique Green Energy Madagascar (GEM).
Mais la culture du jatropha n’est pas totalement rejetée par les paysans et les ONG : « Si l’on évite l’écueil de la monoculture et si le paysan reste maître sur ses terres, le
jatropha, associé au maïs et au mil, est intéressant à la fois pour l’agriculteur comme pour l’industriel », explique |
Une
plante qui permet de fabriquer du biocarburant
Une pépinière à Dimbokro (Côte d'Ivoire)
© AFP
Connu
sous différentes appellations à Madagascar, tanatanampotsy, vavavelona,
kinanampotsy, kinanana ou voanongo, le Jatropha curcas "pousse à l'état
sauvage à Madagascar. la
plante dénommée " Jatropha" pousse à l'état sauvage
dans le nord de Madagascar, elle permet de fabriquer du biocarburant
pour les moteurs diesels L...Savoir+ |
Victor Tiendrébéogo, député burkinabè et chef traditionnel connu et respecté.
Bon rendement
« Un petit paysan peut produire chaque année entre 5 et 10 t de graines et gagner de 240 000 à 600 000 F CFA (entre 365 et 914 euros), un complément de revenu appréciable à ce qu’il tire de ses céréales », explique le député, qui a monté une petite usine de pressage à 60 km de Ouagadougou. Selon M. Tiendrébéogo, depuis 2007, ce sont pas moins de 62 000 producteurs burkinabè qui ont adopté le jatropha pour une surface cultivée d’environ 70 000 ha.
La production de carburant n’est pas destinée à l’export mais aux 300 plates-formes villageoises d’électrification, capables de fonctionner à la fois au jatropha et au diesel classique. Ce modèle en « circuit court » se déploie aussi au Mali, appuyé par le Cirad et l’entreprise française
Agrofuel. « L’huile nous permet aussi de fabriquer des savons, de l’huile pour les cheveux. Nous compostons les résidus pour fabriquer de l’engrais. Associé à des céréales, le jatropha fertilise les sols et favorise une meilleure irrigation », énumère Victor Tiendrébéogo. Dans le jatropha, tout (ou presque) serait bon… à condition de le cultiver à une échelle raisonnable.
* Membres du collectif Les Agrocarburants, ça nourrit pas son monde : Comité catholique contre la faim et pour le développement (CCFD), Oxfam, Synergie paysanne (Bénin), Fase (Brésil), Cinep (Colombie), Les Amis de la Terre.
peopledaily.com 04/03/2010
Madagascar : La politique ne se mélange pas au sport (président de
FIFA) - xinhua
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La politique ne se mélange pas au sport qui est une voie à la fraternité, a dit le président de la Fédération internationale de Football Association (FIFA), Joseph Sepp Blatter, mercredi.
Lors de l'inauguration d'un centre de formation de Football à
Carion, 28 kilomètres à l'est d'Antananarivo, capitale malgache, mercredi matin, le numéro un de FIFA a souligné que les jeunes malgaches sont talentueux en football mais la plupart des gens à Madagascar sont trop impatients de récolter des meilleurs résultats.
Le président de FIFA a indiqué lors de l'inauguration du centre de formation de football à Carion mercredi matin que si Madagascar veut avoir des bons résultats en football, il faut d'abord former les jeunes d'où la nécessité d'un tel centre.
Le Premier ministre de la Haute Autorité de Transition (HAT), Camille Vital, a mentionné que le développement de Madagascar devrait se faire également par la contribution des jeunes dans la préparation des leurs futures.
Ce centre de formation de football à Carion, valeur de 700,000 dollars américains, a été inauguré conjointement par le président de FIFA, Joseph Sepp Blatter, le Premier ministre de la HAT, Camille Vital, et le président de la Fédération Malgache de Football
(FMF) Ahmad.
Contenant des salles de cours, dortoirs, et un terrain suivant la norme internationale, le centre peut recevoir des entraînements pour les équipes nationales de toute catégories ainsi que des formations pour les entraîneurs.
Arrivé à l'aéroport international d'Ivato, mardi soir, Le numéro un de FIFA, accompagné du président de la HAT, Andry Rajoelina, sont attendus à Mahajanga, une ville portuaire de la partie occidentale du pays mercredi après-midi. |
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Midi Mada 04/03/2010
Affaire 2,5 milliards
: La FIGN lance un ultimatum de 24 heures - Davis R
Les éléments de la Force d’Intervention de la Gendarmerie Nationale (FIGN) basée au Fort Duchesne ont réinstallé les barrages aux alentours de ladite caserne, hier.
En effet, la Force
d’Intervention donne un ultimatum de 24 heures aux autorités actuelles afin de publier les résultats de l’enquête concernant l’affaire de la somme de 2,500 milliards offerte par l’ancien président Ravalomanana pour les Gendarmes au cours de la crise 2009. Joint par téléphone hier, le Lieutenant-colonel Randrianjafy Raymond, porte-parole des troupes de la FIGN a notamment déclaré qu’ « à la fin de cet ultimatum, le risque d’affrontement entre Gendarmes n’est pas à exclure car il est fort possible que les éléments de la FIGN fassent une descente au Toby Ratsimandrava pour concrétiser cette revendication ». Faut-il rappeler que mis à part les résultats de cette enquête, la FIGN réclame également la démission du numéro Un de la Gendarmerie actuelle, le Général Bruno Razafindrakoto et l’arrestation des deux éléments des Forces de l’ordre, accusés d’avoir reçu cette somme de la part de l’intermédiaire de l’ancien président.
Mise en garde. A la fin de cet ultimatum, les troupes de Fort Duchesne prévoient de lancer des actions sévères afin d’exprimer leur mécontentement. Par ailleurs, le Lieutenant-colonel sus-mentionné a lancé une mise en garde contre toutes personnes ou entités étrangères à la Gendarmerie qui essayent de s’immiscer dans cette |
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affaire. « Cette affaire ne concerne que la Gendarmerie », a-t-il soutenu. Et de laisser entendre que « d’après les informations qui nous sont parvenues, les résultats de l’enquête ont confirmé l’existence de cette somme ». Une déclaration qui contredit l’annonce des leaders des Forces armées qui ont nié catégoriquement son existence. A noter qu’une réunion a eu lieu hier soir à Fort Duchesne. L’occasion pour les éléments de la FIGN de prendre des décisions sur la suite de leur revendication. En tout cas, le porte-parole de cette force d’intervention a annoncé que « les barrages installés aux alentours de la caserne seront maintenus jusqu’à l’obtention de réponses favorables à ces revendications ».
Les Nouvelles 03/03/2010
TELECOMMUNICATION
: Life crie au scandale - Loïc Henintsoa
La lettre du ministre des Télécommunications obligeant la société Madamobil à payer les dettes d'Intercel n'a pas été au goût des dirigeants de ce 4è opérateur mobile de la Grande île qui a décidé de répliquer en faisant appel au tribunal administratif et s'apprête même à porter l'affaire devant les instances internationales si la situation se dégrade.
Le domaine des télécommunications est une fois de plus en pleine effervescence après que le ministre des Télecommunication ait envoyé une lettre sommant Madamobil de payer les dettes
d'Intercel sous peine de se voir la licence retirée.
La colère gagne le 4è opérateur mobile de la Grande île. En effet, Patrick
Pertegnazza, président directeur général de Madamobil, s'est indigné, hier au siège de la société à
Ampefiloha, face à la menace du ministre des Télécommunications, des postes et des nouvelles technologies de réquisitionner l'Office malgache d'études et de régulation des télécommunications
(Omert) pour l'annulation du transfert et la révocation de la licence de
Madamobil.
Cette annulation sera effective si la société Madamobil ne paie pas les dettes de la société Intercel d'après la lettre du ministre adressée à
Madamobil.
Madamobil de son côté réfute toute idée de payer les dettes d'une autre société qui a déposé le bilan en 2005 et demande à ce que les créanciers
d'Intercel réclament leurs dus aux responsables d'Intercel.
Ce 4è opérateur a également décidé de porter l'affaire en justice auprès du tribunal administratif concernant cette lettre du ministre qui, d'après le responsable de
Madamobil, «a pris le rôle d'agent de recouvrement des créanciers
d'intercel».
Une société a déjà proposé un plan de sauvetage d'Intercel en 2006, un an après la faillite
d'Intercel, et a présenté |
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un plan de redressement incluant les remboursements mais cette proposition a été rejetée par le tribunal d'après Patrick Pertegnazza qui clame haut et fort que Life n'a rien à voir avec
Intercel.
Un million de dollars
Juridiquement Life ne doit rien au titre d'Intercel et a acquis sa licence au prix d'un million de dollars contrairement aux bruits qui courent affirmant qu'elle l'a eue gratuitement toujours selon le président directeur général de cette société qui a annoncé que le jugement de cette affaire de créance, déjà au tribunal, aura lieu le 18 mars prochain.
La situation actuelle donne une mauvaise image du pays pour les investisseurs dans le genre de Life qui a déjà mis 40 millions de dollars dans cet investissement et compte encore apporter plus pour les prochaines années. Ainsi, cet investisseur envisage de mener cette affaire devant les instances internationales si la situation se dégrade notamment auprès du centre international de règlement des différends aux
Etas-Unis.
En effet, cet opérateur a signé avec l'Etat malgache qui s'est engagé et devrait faire montre de continuité malgré les changements de régime selon le responsable de cet opérateur mobile.
En attendant, cette société continue ses activités et emploie environ 80 personnes sans encore se lancer dans l'exploitation commerciale.
Les produits de cet opérateur sont déjà prêts à entrer sur le marché et peuvent aisément concurrencer avec les autres produits déjà présents tant sur les services que les prix d'après les responsables.
xinhuanet.com 02/03/2010
Madagascar : les paramédicaux reprennent leur grève générale
- Xinhua
Les paramédicaux malgaches ont décidé de reprendre la grève générale ce lundi 1er mars suite à l'échec des négociations entre leurs représentants et les autorités de la Haute Autorité de la Transition
(HAT).
Pour marquer la grève générale de ce jour, les paramédicaux tiennent un sit-in devant la porte de l'hôpital Joseph Ravoahangy Andrianavalona, situé au centre-ville d'Antananarivo, capitale de Madagascar, et projettent de ne pas donner de service minimum dans cet hôpital public.
Selon le vice-président du syndicat du personnel médical, Marcellin Razafimahefa, la décision prise en conseil des ministres la semaine dernière, est décevante pour les paramédicaux car elle ne prend pas en compte leurs revendications.
En effet, durant le conseil des ministres, les autorités de la HAT n'ont accordé qu'une indemnité de 20.000 Ar (environ 10 dollars américains), qui ne figurait même pas dans les négociations, pour les paramédicaux.
M. Razafimahefa a affirmé que le gouvernement n'a pas pris en compte les cas des personnels administratifs et d'appui, qui ont lutté avec les paramédicaux.
Cette décision est une forme de sous-estimation envers les paramédicaux et le personnel administratif et d'appui, a souligné M. Razafimahefa en ajoutant que les autorités ont promis les trois indemnités réclamées dont les indemnités de risque, de sujétion et de logement, avant de tenir le conseil des ministres la
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MadaVôvô du 02
mars 10 >>
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moov.mg 02/03/2010
PAM: Les cantines scolaires pour lutter contre l’insécurité alimentaire
- Anjara Rasoanaivo - midi mada
Plusieurs programmes sont mis en place par le PAM pour répondre aux besoins, voire aux problèmes d’insécurité alimentaire à Madagascar, particulièrement à l’endroit des enfants. Un appui à l’éducation de base à travers les cantines scolaires profite à 170 000 élèves dans 883 écoles dans les régions les plus touchées :
Anosy, Androy et Atsimo Andrefana.
L’objectif est de pouvoir couvrir 2 500 enfants dans 1 200 écoles pour cette année scolaire 2009/2010. En outre, 18 000 orphelins et enfants vulnérables à Antananarivo,
Toamasina, Fianarantsoa et Toliara sont accompagnés dans 128 centres de prise en charge, afin d’accroître le taux d’inscription scolaire et d’assiduité de ces enfants. Le gouvernement malgache a contribué à financer les programmes à hauteur de 3,9 millions $ US grâce au Fonds catalytique du Fast Track Initiative. Une aide qui a été suspendue à cause de la crise politique qui sévit dans le pays depuis 2009. Néanmoins, le Pam a obtenu 1,3
millions d’euros dans le cadre du contrat de désendettement entre la France et Madagascar, afin de poursuivre le programme. Pour l’année 2010, les besoins non couverts pour le
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MadaVôvô du 02
mars 10 >>
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Le PAM est présent à Madagascar depuis 1968. |
Midi Mada 02/03/2010
Mouvances politiques
: Les 4 chefs de file à Addis-Abeba du 08 au 10 mars - RAJAOFERA Eugène
Une réunion urgente des quatre chefs de file est prévue à Addis-Abeba du 08 au 09 mars 2010.
En effet, la Commission de l'Union africaine envisage, en concertation avec la communauté de développement de l'Afrique Australe (SADC) et le chef de son équipe conjointe de médiation, Joaquim Chissano, d'organiser à Addis-Abeba une réunion des chefs de file des mouvances politiques malgaches en vue de leur permettre d'examiner à nouveau les voies et moyens de lancer la Transition consensuelle en vue du retour rapide à l'ordre constitutionnel. Et ce par la mise en oeuvre des Accords de Maputo d'août 2009 et d'Addis-Abeba de novembre 2009.
Présence personnelle requise. Le président du Conseil de Paix et de Sécurité de l'Union africaine, Ramtane Lamamra, exige la présence personnelle de Marc Ravalomanana, de Didier Ratsiraka, de Zafy Albert et de Andry Rajoelina. Ce numéro Trois de
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mars 10 >>
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Les Nouvelles 02/03/2010
TRAFIC D'ARMES :
Des armes à feu vendues au marché noir par des militaires - Ra-Elia
Petit éclaircissement concernant la détention illicite d'armes à feu par des civils. Une opération menée de main de maître par la brigade de sécurité intérieure (BSI) avant-hier à Tanjombato a permis de savoir que des militaires soutirent des armes à feu dans la soute à munitions de leur camp pour les vendre.
Sur la base de renseignements attestant que des individus se livrent à la vente d'armes à feu du côté de Tanjombato, les éléments de la BSI ont concocté un plan subtil pour les appréhender. Les trafiquants ont donc été avisés qu'un ressortissant «karana» est intéressé par leur offre et souhaiterait au plus tôt les rencontrer. C'est ainsi qu'un premier rendez-vous a été fixé dimanche matin du côté
d'Ankadimbahoaka.
Voulant faire une bonne action, le ressortissant karana n'a pas raté l'occasion mais les trafiquants, assurément méfiants, ne se sont pas manifestés et se sont contentés d'«observer» le client, non sans lui avoir proposé un autre rendez-vous quelques heures plus tard du côté de Tanjombato, sur le pont où passe le train. Ne cachant par la suite leur réticence, ils ont proposé que la rencontre se déroule dans un restaurant situé en bordure de la RN 7.
Cette fois-ci, les propositions ont abondé tout de suite après les présentations, comme quoi un pistolet automatique MAT calibre 7,65mm est cédé entre 1,6 et 2 millions d'ariary, en fonction de la quantité désirée. Toute une cargaison serait à la disposition des clients et même qu'ils pouvaient s'acquérir de Bazooka s'ils le souhaitaient....Suite
MadaVôvô du 02
mars 10 >>
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