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Obama
44ème Président des USA, "La barrière raciale a littéralement explosé",...
afrik.com
09/11/2008
Barack
Obama : les chiffres et les clés de la victoire
Le succès d’un
symbole mis en lumière par les statistiques
Le
sénateur de l’Illinois peut se targuer d’avoir été plébiscité
par les Américains. Les chiffres montrent qu’il a fait
l’unanimité dans toutes les catégories sociales aussi bien
chez les Blancs, que les Noirs et les autres minorités raciales.
La victoire aux présidentielles du 4 novembre de Barack Obama ressemble à un parcours sans faute. L’accession du premier Africain-Américain à la Maison Blanche s’est accompagnée d’un taux de participation record : 64,1% des Américains se sont rendus aux urnes pour choisir leur président. Selon l’universitaire Michael McDonald, la dernière fois où
l’Amérique a connu une telle mobilisation remonte à 1908.
Les derniers résultats du scrutin présidentiel donnent 364 grands électeurs à Barack Obama (270 sont requis pour avoir la majorité) et 163 à John McCain. Les 538 grands électeurs se réuniront le 15 décembre pour désigner officiellement le président Barack Obama et le vice-président Joseph Biden. Ils prendront fonction le 20 janvier.
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Barack Hussein Obama, né le 4 août 1961 à Honolulu, Hawaii, est un homme politique américain, sénateur démocrate de l'Illinois au Sénat des États-Unis depuis 2005. Le 4 novembre 2008, il s'est assuré la victoire pour l'élection au poste de président des États-Unis en remportant une large majorité de grands électeurs. Une fois élu par ces derniers le 15 décembre 2008, il doit entrer en fonction le 20 janvier 2009, devenant alors le 44e président des États-Unis et le premier afro-américain[2] à accéder à la Maison Blanche
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«Les Besopy de la diaspora ??? ...
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"Besopy" , ça vous dit quelque chose ? A Madagascar, c'est comme ça qu'on surnomme parfois nos amis Anglicans, du nom anglais de leurs évêques, les Bishop.
On utilise pour designer les "Anglicans" , les termes
"Anglicans", "episcopalien" ou "episcopal".
Le terme "episcopalien" est surtout utilisé en Ecosse ou
aux Etats Unis. Au Canada on parle ordinairement de "l'Eglise
Anglicane".
A l'occasion du 20e anniversaire de la communauté anglicane malgache en France,
Les
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" Besopy " en France nous préparent une belle fête.
Pour clôturer cet événement, elle invite tous ses amis et tous les Malgaches à venir assister à une soirée dansante le samedi 15 novembre 2008 prochain, à Vert-Saint-Denis (Seine et Marne).
C’est depuis 1986 que des messes en langue malgache ont eu lieu à une fréquence régulière à l’église anglicane Saint George’s (7, rue Auguste Vacquerie, Paris 16e), marquant le début de la communauté.
Composée seulement d’une poignée de personnes au départ, celle-ci s’est agrandie au fil des années, et compte aujourd’hui plus d’une centaine de membres, essentiellement en région parisienne mais aussi dans des villes de province comme Strasbourg.
Ces Anglicans sont fédérés au sein de l’ACAMA (association de la communauté anglicane malgache), une association loi 1901 dont les responsables actuels sont Gino Ranaivoarisoa et Haja
Rajaona.
A Paris, la communauté se retrouve lors des offices en malgache, qui ont lieu le premier dimanche de chaque du mois à 16h à l’église Saint George’s, et lors des grandes fêtes (Pâques, Pentecôte, Noël).
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A Paris, la communauté se retrouve lors des offices en malgache, qui ont lieu le premier dimanche de chaque du mois à 16h à l’église Saint George’s, et lors des grandes fêtes (Pâques, Pentecôte, Noël).
Parmi les événements marquant le 20e anniversaire, la chorale, dirigée par Stephen
Razafindratsima, a réalisé un album intitulé « Vavaky ny foko ». La soirée du 15 novembre marquera la clôture du
jubilé
Toute la communauté aura le plaisir de vous accueillir à partir de 21h au Pacha.
Des artistes de renom,aux registres variés (Serge et Nivo Rahoerson Quartet,
Macadancecar, Rakotofiringa Band) et le DJ Micka viendront animer la soirée
...
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Nicolas Razafindratsima
de Kremlin-Bicêtre
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Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina",
Nicolas a
répondu à notre appel
pour publier des Edito maintenant à
qui le tour? On vous attend edito men et edito women.
Merci d'avance!
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Mutuelle
de Madagascar 12/11/2008
Communiqué
: appel à la solidarité pour décès d'une Malgache
- Déra RAMANDRAIVONONA
Miarahaba anareo Tompoko,
Indro alefako aty aminareo ny vaovao mampalahelo mikasika an’I Nadia Kamaria Alia, izay maty irery tao antranony niaraka @ zanany 5 taona.
Mangataka vonjy sy fanampiana ny fianakaviana mba hampodiana ny razana any Diego (tsy ao @ Mutuelle de Madagascar izy)
Voin-kava mahatratra, ny erikerika mahatondra drano fa dia manao antso avo amintsika.
Misaotra indrindra
Bonjour, Tendons leur la main.
Nom : NADIA KAMARIA ALI / Age : 26 ans / Nationalité : Malgache / Originaire de Diego Suarez
/ Adresse : 6 rue Francis carco 76620 Le Havre
- Elle était diabétique grave et morte sous les yeux de sa fille de 5 ans dans
son domicile au Havre le 3 Novembre 2008.
- Son mari est déjà mort, elle vivait toute seule avec sa fille de 5 ans
- Sa seule famille est sa soeur qui habite à Bordeaux, madame BACARI Amina :
0607973332 / 0276810299
- Ainsi cette dernière demande actuellement une aide de la communauté pour rapatrier le corps.
- Pour le rapatriement jusquà Antsiranana, il faut 4700Euros, ils ont déj’à
collecté 2000Euros
Les
Nouvelles 11/11/2008
VISAS POUR LA FRANCE
: Un dispositif pour empêcher les fraudes - Mparany
Se rendre ou s'installer à l'Hexagone continue à faire rêver beaucoup de gens si bien que des petits malins en profitent pour s'enrichir sur leur dos. En effet, des intermédiaires sans scrupule rôdent aux alentours de l'ambassade pour «déplumer» les demandeurs de visas. Ils réunissent leurs dossiers et leur promettent de délivrer les visas dans un bref délai moyennant une certaine somme d'argent. D'après Alain Jouret, consul général de France à Madagascar, il ne s'agit ni plus ni moins que des arnaqueurs.
Le consulat général de France à Madagascar, pour empêcher toute possibilité de fraude, a mis en place un système où toutes personnes étrangères au service ne peuvent avoir accès. Tout est fait pour rendre un meilleur service. Au niveau du personnel de l'ambassade, le principe de rotation des agents a été retenu afin d'éviter toute ambiguïté. Les agents du service des visas changent ainsi de poste de travail toutes les semaines.
Un système aussi complexe qu'aléatoire est également institué à la réception des dossiers. Remise de numéro à l'accueil, numéro inconnu des autres agents, appel à l'aveuglette, sans choix de numéro et sans possibilité d'identification, les vitres de la cabine étant sablées. «La décision de la délivrance relève d'un responsable de service, l'impression de la vignette de visa est faite par un autre. Ce dernier remet le passeport à la signature du demandeur. Ce qui veut dire tout simplement que les dossiers d'un demandeur passent entre les mains de quatre agents différents», a-t-il souligné. Les demandes introduites hors de ce circuit ne recevront donc pas de réponse et toute proposition allant contre ce principe doit être repoussée.
Tribune Mada 10/11/2008
Stationnement dans la capitale
: Des parkings à Analakely et à Antaninarenina -
par Herimanda R.
« La semaine prochaine (Ndlr : cette semaine), les parkings d’automobile à Analakely et à Antaninarenina seront ouverts ». Cette information est du Général Razafindrasata Martin, chef de la police municipale à
Antananarivo-Renivohitra, lors de sa descente à Analakely. Il reste à savoir maintenant si l’entrée aux parkings est désormais payante. En effet, la CUA (Commune urbaine d’Antananarivo) y a installé des dispositifs pour faire payer les automobilistes.
A Analakely, particulièrement à l’Avenue de l’Indépendance, les voitures d’occasions mises en vente, les voitures utilisées comme atelier par les réparateurs de téléphones portables occupent les lieux. « C’est illégal. Nous, la CUA, n’acceptons plus cette anarchie. Cette place est un lieu de promenade. A partir de lundi (ce jour, NDLR), ces vendeurs seront chassés », a fait savoir le chef de la police municipale. Et d’ajouter que « ils ont déjà leurs places à
Masay. Ils doivent ainsi s’y établir ».
Interrogé par un de nos confrères, un marchand de voiture d’occasion a affirmé que le parking à Masay qui leur est réservé est un peu étroit et ne peut pas accueillir tous les vendeurs. Toutefois, il s’est dit prêt à suivre cette recommandation de la
CUA. |

Le parking à Analakely (Photo
Herimanda) |
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Communiqué
du Consulat de Madagascar à Bordeaux 09/11/2008
Ami(e)s
Malgaches, Ami(e)s de Madagascar,
A
l'occasion de la 90ème commémoration de l'Armistice du 11 novembre
1918, le Consulat de Madagascar rendra hommage aux Soldats Malgaches
morts lors de la 1ère Guerre Mondiale et enterrés à Bordeaux.
|
A
savoir :
·
RABEMANANTSOA (14/02/1919) - Matricule : 19696 - Né vers 1895 à
Lehouby -
Madagascar
- Grade : 2ème Classe – Régiment des Tirailleurs Malgaches
·
RABEMOLALY (27/01/1919) - Matricule : 2574 - Né vers 1896 à Anteza
-
Madagascar
- Grade
: 1ère Classe
·
RAKOTO (22/03/1918) - Matricule : 33490 - Né à Ambohipetraka -
Madagascar
- Grade :
2ème Classe - Régiment des Tirailleurs Malgaches
·
RALAINGILO Jean-Baptiste (05/07/1919) – Matricule : 1454 – Né vers
1886 à Sahamamy
–
Madagascar – Grade : Soldat – Régiment des Tirailleurs Malgaches
·
RAMAMONJY Marcel (25/04/1919) - Matricule : 1222 - Né vers 1899 à
Ambanidia -
Madagascar
- Grade : Soldat - Régiment des Tirailleurs Malgaches
·
RAMAROMANANA (22/02/1919) - Matricule : 19702 - Né vers 1885 à
Ambohimandroso -
Madagascar
- Grade : 2ème Classe - Régiment des Tirailleurs Malgaches
·
RANDIAPATSA (16/04/1919) - Matricule : 1413 - Né vers 1892 à
Amboniloha -
Madagascar
- Grade : 2ème Classe - Régiment des Tirailleurs Malgaches
Nous
vous invitons donc à venir nombreux honorer leurs mémoires au Carré
Militaire du Cimetière des Pins-Francs (32, rue de Soubiras - Bordeaux
Caudéran ) : le mardi 11 novembre 2008 à 12H00
Cérémonie
à laquelle les autorités civiles et militaires Françaises seront représentées.
Enfin,
j'ai souhaité mettre l'accent sur la transmission du devoir de mémoire
aux jeunes
générations.
C'est pourquoi, des enfants malgaches participeront au dépôt de gerbes
et liront des poèmes.
En
comptant sur votre participation.
Recevez,
Cher(e)s Ami(e)s, mes salutations respectueuses.
Mme
Huguette VÉRIN - Consul
de Madagascar
CONSULAT
DE LA REPUBLIQUE DE MADAGASCAR
19,
rue Thiac 33000 BORDEAUX / Tél
- Fax : 05 56 44 78 81 / http://www.consulatmadagascar.fr
- consulatmadagascar@orange.fr
businesstravel.fr 08/11/2008
Air Madagascar pense aux retraités
La compagnie malgache vient de lancer un tarif spécial senior à partir du 27 octobre 2008 au départ de Paris ou de Marseille. La seule condition pour bénéficier de ces tarifs est d'avoir au moins 60 ans.
Vous pourrez alors vous envoler pour Antananarivo en classe économie à partir de 1111 euros depuis Paris ou 1100 euros depuis Marseille.
Ces tarifs sont intéressants car les billets sont modifiables et de plus il est possible de séjourner jusqu'à un an sur place... de quoi profiter de votre retraite sous le soleil!
Plus d'informations sur le site d'Air Madagascar
Les
Nouvelles 07/11/2008
DIPLOMATIE
: Ravalomanana félicite Obama
Le président Ravalomanana a adressé hier, d'Indonésie, au nom du peuple et du gouvernement malgaches, une lettre de félicitations à Barack Obama. A cette occasion, il a également félicité le peuple américain et lui a adressé ses meilleurs voeux ainsi qu'au président nouvellement élu.
«Votre victoire historique est importante pour nous tous», relate la lettre dans laquelle le chef de l'Etat salue l'avènement d'un changement aux Etats-Unis. Ainsi formule-t-il le voeu qu'un changement identique puisse également intervenir dans le monde. Puisque aucun pays ne peut se suffire à lui-même, Ravalomanana appelle à la solidarité entre toutes les nations pour venir à bout des défis majeurs globaux, avec compréhension, détermination, courage et optimisme.
Le chef de l'Etat n'a pas manqué d'évoquer l'accueil du sommet de l'union africaine en 2009. «Nous sommes confiants que l'Amérique et l'Afrique vont entamer un nouveau chapitre de coopération pour ouvrir de nouvelles portes faites d'opportunités pour nos peuples», a-t-il conclu.
Recueillis par Mialivololona
Tribune
Mada 08/11/2008
Acupuncture : Asthme et Sinusite, les plus traités
par Nivo T. A.
La médecine traditionnelle chinoise est devenue monnaie courante à Madagascar, depuis ces dernières années. A preuve, nombreux sont les médecins nationaux qui se lancent dans la pratique de l’acupuncture en faveur de leurs patients.
L’Ecole de médecine de Befelatanana abrite depuis le mois de juin 2008, une petite clinique d’acupuncture. Selon le Dr Rabarijaona
Holy, ce cabinet médical reçoit environ une vingtaine de patients par semaine. L’asthme et la sinusite sont les plus traités par l’équipe médicale spécialiste en acupuncture, cette piqûre renommée pour sa simplicité de traitement ainsi que son coût modeste, 2000Ar par séance. A part ces deux maladies, les séquelles d’ accident vasculo-cérébral
(AVC), la lombalgie, la paralysie faciale sont également d’autres pathologies soignées à la clinique d’acupuncture de
Befelatanana. L’acupuncture s’applique à toute catégorie de malades sans tenir compte de leur âge. Des patients âgés de 11 à 80 ans suivent le traitement en acupuncture à
Befelatanana.
Pour sa part, une autre spécialiste en acupuncture, en l’occurrence Dr Razafimbelo Norosoa a fait savoir que le traitement de ses maladies dure généralement entre 3 jours et 1 mois, selon la gravité de l’état du patient. |

La médecine traditionnelle chinoise est
devenue monnaie courante à Madagascar |
Normalement, le patient devrait suivre une cure d’une quinzaine de jours mais il y a toutefois certains malades qui passent outre aux prescriptions médicales en arrêtant précocement
le traitement après s’être soulagés de leur douleur suite à l’acupuncture. 24 docteurs malgaches en acupuncture exercent déjà dans cette spécialité.
Les Nouvelles 07/11/2008
COOPÉRATION : Un accord de transport aérien avec les Pays-Bas
- Loïc Henintsoa
Les relations commerciales entre les Pays-bas et Madagascar seront dorénavant renforcées à travers des actions bilatérales selon l'ambassadeur des Pays-bas hier à Anosy lors de la signature de l'accord aérien reliant nos deux pays.
En effet, la signature de cet accord n'est que le début de la coopération bilatérale de ce pays avec Madagascar puisque divers projets de partenariat sont également en gestation, a expliqué le ministre du Transport Pierrot
Botozaza.
Cet accord aérien ouvre le service du transport aérien entre les deux pays. Cette signature a été précédée d'une première réunion des directions de l'aviation civile des deux pays en 2006.
Pour l'heure il n'y a pas encore de ligne directe reliant les Pays-bas à Madagascar. Une compagnie aérienne néerlandaise, la KLM , dessert actuellement la destination Antananarivo à travers un partenariat avec Air France pour le transport de passagers depuis la France jusqu'à Madagascar.
Le tourisme sera le premier secteur à bénéficier des bienfaits de cet accord, cependant les relations économiques entre les deux pays ne se limiteront pas seulement à ce secteur.
Une mission économique composée d'une dizaine d'opérateurs néerlandais sera en prospection dans la Grande île la semaine prochaine pendant 3 jours. Cette mission évaluera le climat des investissements dans le pays et se déplacera également dans les régions, notamment dans l'Atsinanana qui abrite le port principal du pays.
Les Pays-bas abritent en effet le plus grand port d'Europe à Rotterdam et apportent des appuis au port de Toamasina tant sur le plan technique que matériel.
Les Pays-bas sont également la plaque tournante de l'Occident en matière de commerce de fleur et des opérateurs néerlandais prennent périodiquement de grosses commandes de fleurs dans plusieurs pays d'Afrique comme le Kenya ou la Tanzanie qui exporte 100 000 roses par jour aux Pays-bas.
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Les Nouvelles 12/11/2008
ORDRE DES MÉDECINS
: 5.249 médecins illégaux recensés - Noro Niaina
Seuls 1 611 médecins sur 6 860 recensés se sont inscrits au tableau de l'Ordre des médecins avec le paiement de la cotisation ordinale. Ainsi, 5. 249 exercent une profession illégale. L'inscription est régie par le code de la santé et de la déontologie médicale et l'Ordre national des médecins a pris des dispositions pour ceux qui n'ont pas encore rempli cette formalité.
L'inscription au tableau de l'Ordre est obligatoire tous les ans pour tout médecin en exercice sur tout le territoire national avec le paiement de la cotisation à raison de 15.000 ariary. Or, la plupart des médecins n'ont pas suivi cette directive stipulée dans le code de la santé et de la déontologie médicale. «Ils sont ainsi considérés comme en exercice illégal. Tous services de soins offerts par ces médecins ne sont pas valables comme la prescription des ordonnances et des médicaments ou la délivrance du certificat médical», a bien souligné la présidente de l'ONM, le Dr Kalory
Rakotovao-Ravahatra.
Des démarches de sensibilisation ont déjà été entamées par l'équipe de l'ONM depuis la fin du mois de juin, date de l'expiration de l'inscription avant la soumission de la liste au tribunal. «L'inscription signifie une autorisation d' exercer la profession médicale. Des approches de sensibilisation pour inciter les médecins à s'inscrire et les avertir ont été effectuées dans des cabinets médicaux mais en vain. D'où la nécessité de lancer un avertissement à l'endroit des médecins qui, en ne remplissant pas cette formalité, subiront une sanction pénale», a poursuivi le Dr Kalory Rakotovao-Ravahatra. Selon le code de la santé, la sanction à un degré moindre correspond à un avertissement ou à une suspension temporaire et à la radiation ou à la procédure pénale en étant plus sévère. |

Ordre
des Médecins: 5249 médecins illégaux recensés |
Chaque année, environ 6 à 8 cas de poursuite judiciaire ont été notifiés pour usurpation de fonction de médecin et risquent l'emprisonnement.
La rencontre d'hier avec la presse à Antaninandro fut une occasion pour l'ONM et le conseil régional de l'Ordre de rapporter ce qui a été dit lors de la réunion du Cnom et des Crom à Toliara les 18 et 19 septembre derniers. Divers thèmes ont été discutés par les participants venant des 19 régions.
Une maison de l'Ordre à Tsimbazaza
L'ONM dispose désormais d'un local qui lui sert de siège à
Andoharano-Tsimbazaza. Le bâtiment fait actuellement l'objet de travaux de réhabilitation qui ont nécessité une mobilisation financière. Pour le moment, les moyens semblent encore insuffisants et l'Ordre sollicite la contribution de chacun des médecins d'un montant de 15.000 à 20.000
ariary.
Contact : Ordre national des médecins
Lot III Q 57 Andoharano-Tsimbazaza / Tél : 22 207 57 – 033 15 650 62/ Fax : 22 379 86
Email : HYPERLINK
"mailto:ONMMada@simicro.mg" ONMMada@simicro.mg
/ Site Web : http://www.ordre-medecins.net
Les
Nouvelles 11/11/2008
MARAIS MASAY
: Un site de loisirs et d'attractions - Noro Niaina
Les travaux d'aménagement sur le lac Masay et ses environs, s'étalant sur une superficie de 5.000m2, sont prévus s'achever vers la fin de ce mois de novembre. L'endroit a été aménagé en site d'attractions, de loisirs et d'activités sportives, un projet réalisé par la commune urbaine d'Antananarivo, en collaboration avec la région Ile de France (Rif). Dans le cadre de la réalisation du Plan vert - Plan Bleu qui est une vision du modèle d'urbanisme paysager de la capitale, la CUA entreprend d'importants travaux d'aménagement pour offrir aux Tananariviens un cadre de vie sain, des lieux culturels et économiques plus attractifs dont le lac
Masay. «Il deviendra un modèle paysager où des activités génératrices de revenus seront mises en place en vue de le pérenniser dans un environnement sain et viable», a expliqué le maire Andry
Rajoelina, car «le développement de la pêche figure parmi les activités socio-économiques prévues sur ce site». Pour avoir des produits de qualité, il est nécessaire d'assainir en amont et en aval le lac
Masay.
À partir de 2009, des contrôles de la qualité des eaux seront effectués sur des points de prélèvement pour définir la toxicité et la pollution du lac. S'y ajoute l'application des dispositions techniques et réglementaires pour développer les potentialités du lac : activités de plaisance, maraîchage, pisciculture. Objectifs ? Réduire la charge polluante et les risques sanitaires et environnementaux liés à la pollution. C'est donc un assainissement pour mettre en valeur le site
Masay.
lexpress.mu
10/11/2008
Le traité de Paris, Madagascar et le gouverneur Farquhar
Dernière partie de la conférence de Norbert
Benoit, à l’occasion des 40 ans de liens diplomatiques entre Maurice et la Grande île.
● Un héros lors de l’incendie et un agent hors pair
Selon le naturaliste Wenceslas Bojer, dont nous avons la tombe au cimetière des Salines, James Hastie introduisit la pomme de terre, de la volaille et des dindons en Imerina. Il fut le précepteur des jeunes frères du roi Radama 1er, Rahovy et Ratafika qui furent amenés à Maurice pour être instruits. C’est de leurs noms que l’ambassade malgache a baptisé, lors d’un passage du président malgache, Marc
Ravalomanana, son bureau commercial à Floréal. Hastie fut désigné à ce poste de précepteur le 19 novembre 1816, et y demeura jusqu’au 29 juin 1817.
● Le traité du 23 octobre 1817
Mais la tâche la plus importante confiée à James Hastie touchait au trafic d’esclaves , auquel Farquhar voulait mettre un terme. Le 23 octobre 1817, James Hastie veilla à la signature à Tamatave d’un traité en quatre articles. Les signataires étaient, du côté des Anglais, Francis
Stanfell, capitaine du navire le Phaeton et Pye, alors que pour le roi Radama 1er, ils étaient trois signataires :
Ratsalika, Rampoole, Ramanou, Rasihato, Ramalaza, étant témoins.
● L’article 2 spécifie :
Il est convenu qu’à compter de la date du présent traité il y aura une entière cessation et abolition dans tous les territoires du roi Radama de la vente ou du transport des esclaves.
● L’Équivalent pour compenser
Par ce traité, le roi Radama 1er perdait beaucoup sur ce que lui rapportait normalement la vente d’esclaves. Mais le document faisait état de ce qu’il aurait en retour. Notamment :
- Mille piastres en or ;
- Mille piastres en argent ;
- Cent barriques de poudre pesant cent livres chaque ;
- Dix mille pierres à fusil ;
- Quatre cents pièces de toile blanche de l’Inde ;
- Un grand habit rouge de drap avec deux épaulettes, chapeaux et bottes pour le roi ;
- Deux chevaux.
Des présents étaient aussi prévus pour les fils du roi Radama.
Voilà donc, en tout cas, un extrait de ce que l’histoire a retenu de ce qui était connu comme l’Équivalent, promis pour compenser la perte par Radama par son non-engagement dans la trafic négrier, mais ce traité ne fut pas suivi par le successeur de Farquhar, le général Hall, lorsque Farquhar rentra en Angleterre, de sorte que Radama devait se remettre au trafic d’esclaves.
● Le traité pas suivi
Le 19 novembre 1817, sir Robert Townsend Farquhar partit, en effet, pour Londres sur le
Phaeton. Il fut remplacé provisoirement par le général Gage John Hall qui n’avait nulle intention de continuer dans la voie tracée par son prédécesseur. Le gouverneur par intérim rompit unilatéralement le traité en mars 1818. Hall, en effet, n’était pas disposé à cautionner la politique de Farquhar par rapport à ce traité. Il le fit officiellement savoir aux autorités britanniques, se plaignant que Farquhar avait ses raisons quant au traité de cessation de la traite négrière avec Madagascar. Farquhar devait toutefois revenir avec l’approbation du traité par le monarque anglais lui-même, mais nous ne pouvons repousser d’une main les opinions négatives de Hall par rapport au traité signé avec Farquhar, le 23 octobre 1817. Cela a été écrit, et bien démontré, mais on l’a laissé tant soit peu dans l’oubli. Il faudra bien le montrer un jour.
● Ratsitantanina
Disons pour finir que ce fut à James Hastie que fut confiée la tâche de conduire à Maurice le prince
Ratsitantanina, fils d’Andrianambavola. C’est une des pages tristes de notre histoire. Ratsitantanina arriva en janvier 1822 et fut exécuté en avril de la même année. Ce fut un déni de justice, un crime d’État. Il nous reste à le montrer, en nous fondant sur des documents irréfutables.
Norbert BENOIT / Docteur ès lettres (Études Africaines)
/ Chevalier de l’Ordre des Palmes Académiques
allAfrica.com 08/11/2008
Madagascar: HJRA,
Hôpital à réhabiliter - L'Express de Madagascar
- Noro Haingo Rakotoseheno
Le centre hospitalier universitaire Joseph Ravoahangy Andrianavalona est dans un état déplorable.Le ministère manque d'argent.
La vétusté de certaines salles de cet établissement pose problème.
Rendre visite à des patients à l'Hopital Joseph Ravoahangy Andrianavalona pourrait rendre malade. Le long corridor à partir de la morgue et aboutissant au premier étage de la salle de réanimation est plongé dans l'obscurité. « Cela me fait peur d'emprunter ce couloir où je ne me sens pas en sécurité, surtout pour mes va-et-vient nocturnes. Les installations électriques y sont défectueuses », se plaint un garde-malade.
La vétusté atteint non seulement les couloirs mais également les diverses salles comme celles du service de réanimation ou encore de l'oncologie. Au délabrement des infrastrucutres s'ajoute un environnement insalubre. « On séjourne ici depuis des mois. La vue de ces murs écaillés est accablant, sans compter l'odeur dégagée par certains malades », déplore le garde d'un patient du service d'oncologie.
Part de responsabilité
Le directeur de l'établissement, le Dr Bruno Andriamiarana, évalue entre 30 et 40% la défection de cet hôpital public. Pour le ministère, les travaux de réfection ne relèvent pas de sa responsabilité. « L'entretien, ainsi que les petites réparations dépendent du budget de fonctionnement propre à chaque hôpital », déclare Solofoson Bien-Aimé, directeur de la logistique et des infrastrucutres sanitaires auprès du ministère de la Santé et du planning familial. Il ajoute que l'enveloppe de réhabilitation est uniquement réservée aux grands travaux.
Le directeur de l'établissement n'abonde pas tout à fait dans ce sens. « Il nous est impossible de tout faire d'un seul coup puisqu'il nous faut gérer les recettes selon les priorités. Les ampoules brûlées ont déjà été inventoriées afin d'être remplacées... incessamment », assure-t-il. Il soutient également que les occupants des salles ont aussi leur part de responsabilité dans l'état actuel de l'intérieur du bâtiment. « Les murs, ainsi que les couloirs repeints il y a quatre ans sont déjà dans un état de délabrement total », conclut le Dr Bruno
Andriamiarana.
moov.mg 08/11/2008
Patrimoine: 60% des travaux de réhabilitation du Rova effectués
- © MATERA
13 ans après l'incendie criminel qui a réduit en cendre le palais de la Reine d'Antananarivo, les journalistes de la capitale ont été conviés sur place par le Comité national du patrimoine qui a fait savoir à l'occasion que 60% des travaux de réhabilitation ont été jusqu'à présent réalisés.
La toiture du palais devrait être entièrement terminée dans les cinq prochains mois, a-t-on affirmé. Les toits en ardoise, importés de France, sont déjà sur place depuis deux mois mais il fallait attendre que le bois de charpente soit mieux séché avant d'entamer leur installation.
Incendié le soir du 6 novembre 1995, le palais de la Reine était depuis des années laissé dans un piètre état. Une première tentative de réhabilitation a été amorcée vers 1997 mais en vain. Les véritables travaux de réhabilitation ont été ainsi lancés en début 2006. Une collecte de fonds a permis d'engranger une somme importante pour lancer les travaux. Le Comité national du patrimoine a été ainsi créé pour remplacer la Direction nationale de l'opération Rova dont un responsable a été écroué pour détournement de fonds |
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Nosintsika 07/11/2008
La malédiction des matières premières
? - par Goeril Havro et Javier
Santiso (1)
*La malédiction des matières premières est loin d’être une fatalité, comme le démontrent la Norvège etle
Chili.
*Leurs deux exemples offrent de précieuses leçons aux pays en développement en matière de gestion vertueuse des richesses minières et pétrolières.
*À l’instar de la Norvège, le Chili pourrait construire sur son expérience pour devenir un acteur
À court terme, l’envolée des cours des matières premières est une aubaine pour de nombreux pays en développement qui en sont largement tributaires. Cependant, à plus long terme, cette dépendance à l’égard de produits à faible valeur ajoutée devient problématique, comme le relèvent avec insistance économistes et experts politiques quipointent du doigt une myriade effets pervers induits par ces mannes
soudaines ( 2.1)
La « malédiction » des matières premières n’est néanmoins pas inéluctable. De fait, nombre de pays OCDE regorgent de pétrole et de minéraux, à l’instar de la Norvège, de l’Australie ou encore du Canada. Aucun d’entre eux n’en pâtit : tous ont réussi à capitaliser cette « bénédiction », aussi bien d’un point de vue commercial et industriel que budgétaire. Ces économies sont par ailleurs des démocraties florissantes, preuve s’il le fallait que l’abondance en pétrole et en minéraux n’est pas systématiquement synonyme de ploutocratie et d’autocratie. Dans un pays comme la Norvège, le PIB par habitant, au cours des trois dernières décennies, s’est considérabelement accru, passant de 90 pour cent de la moyenne OCDE à plus de 150 pour cent aujourd’hui, démontrant que pétrole et développement peuvent aller de pair.
Dans les pays en développement, de tels cas sont plus exceptionnels. En Amérique latine, par exemple, l’histoire de pays riches en pétrole et en gaz, comme le Venezuela ou la Bolivie, illustre les difficulés à naviguer entre les écueils populistes et les tentations liées aux rentes. Au Venezuela le pétrole est devenu quasiment le seul produit d’exportation (85 pour cent du total en 2007) et l’or noir génère désormais plus du tiers des revenus de l’État. Cette manne, ces dernières années, n’a pas pour autant permis d’améliorer la plupart des indicateurs de développement, induisant en prime une dérive populiste du régime en place, dirigé désormais par un ancien militaire, Hugo
Chávez.
À ces exemples, nombreux, d’effets pervers et de malédictions en tous genres, peuvent cependant s’opposer d’étonnantes exceptions, y compris en Amérique latine pour rester sur ce continent. Le Chili est l’une d’entre elle. Ce pays est aujourd’hui le principal producteur et exportateur mondial de cuivre. Son taux de croissance a été longtemps comparable à celui de ses pairs asiatiques, atteignant plus de 7 pour cent en moyenne sur les années 86-98, par exemple. Tout en capitalisant sur sa manne, le Chili a réussi à diversifier son économie et réduire les niveaux de pauvreté à des minima historiques. En 1973, le cuivre concentrait près de 90 pour cent des exportations du pays, contre 40 pour cent à peine au début de la décennie 2000. Quant à la pauvreté, elle est passée de près de 40 pour cent au début des années 90 à moins de 13 pour cent en 2008.La clef d’une telle réussite, tout comme celle des pairs du Chili au sein de l’OCDE, tient avant tout à la qualité des institutions et des hommes qui se sont succédés
aux commandes des instances économiques. Comme la Norvège, le Chili s’est doté d’instruments et d’institutions budgétaires exemplaires. Les deux pays disposent ainsi de fonds souverains, ou d’équivalents, qui fonctionnent en toute transparence, avec des règles claires. En 2006, au Chili, une nouvelle loi de responsabilité fiscale a ainsi remplacé le fonds de stabilisation du cuivre existant jusqu’alors par deux fonds équivalents, dont les actifs cumulés totalisent, en 2008, plus de 17 milliards de dollars.
Le Chili ne dispose toutefois pas (encore) d’une politique d’aide et de coopération assise sur cette expertise et ces ressources. La Norvège en a fait pour sa part une pierre angulaire de sa coopération internationale, mettant notamment l’accent sur les thèmes de gouvernance et de la mise en place de capacités institutionnelles dans les pays récipiendaires de son aide. De telles propositions pour des pays en développement peuvent paraître paradoxales. Rappelons cependant que de nombreux pays émergents tels la Chine, l’Inde, l’Afrique du Sud, le Mexique, les États du Moyen Orient ou encore le Brésil, déployent désormais des activités substantielles d’aide et de coopération internationales.
Le Chili dispose, de fait, d’un savoir faire en la matière, expertise qui pourrait être partagée avec d’autant plus de légitimité que ce pays a su gérer avec succès sa manne. L’aide et la coopération internationale chilienne pourraient privilégier une niche comparable à celle de la Norvège. Le pays pourrait créer par exemple un Institut mondial du cuivre, futur lieu d’échange d’expertises, de formations et de recherches visant à induire de la valeur ajoutée à partir de l’industrie cuprique. Un tel Institut aurait ainsi une vocation à la fois nationale et
inernationale. Cette fois encore la Norvège montre à travers sa politique industrielle qu’il est possible de capitaliser et développer des industries de pointe sur la base des matières premières. Elle dispose ainsi aujourd’hui de leaders dans les domaines des explosifs, de l’industrie sysmique ou des tankers pétroliers.
Le cas du Chili reste exceptionnel. Preuve de cettetrajectoire exemplaire, le pays est en voie d’admissionà l’OCDE. Ce pays émergent pourrait agir comme un facteur d’émulation pour d’autres, tout en contribuant à démythifier la malédiction des matières premières pour les pays en développement. Le partage de son expertise et la mise en place d’une politique de coopération internationale ciblée et innovante pourraient elles aussi contribuer à cette recherche d’un monde meilleur dont parlait Karl Popper.
(1). G�eril Havro est économiste à la Banque centrale de Norvège. LorsG�eril Havro est économiste à la Banque centrale de Norvège. Lors de la préparation de cet article, elle était économiste au Centre de développement de l’OCDE, et collaborait à l’unité du Réseau des pays émergents
(EmNet). Javier Santiso est économiste en chef et directeur du Centre de développement de l’OCDE. Il est par ailleurs président de l’EmNet.
(2). On ne reviendra pas ici sur ces effets pervers, aussi bien économiques que politiques, passés en revue dans G�eril Havro et Javier
Santiso, « Tirer parti de la manne: les leçons du Chili et de la Norvège », Cahier de politique économique n° 37 (à paraître), Centre de développement de l’OCDE, 2008.
(
oecd.org repère n°75 )
Les Nouvelles 07/11/2008
TRANSPARENCY INTERNATIONAL:
Un concours du meilleur article sur la corruption
- Mialivololona
Dans le cadre de la célébration de la journée mondiale de lutte contre la corruption qui aura lieu le 9 décembre prochain, la Transparency International-Initiative Madagascar (TI-IM) lance la première édition du concours du meilleur article sur la corruption.
Exclusivement ouvert aux journalistes de la presse écrite, ce concours clos le 1er décembre, récompensera les trois meilleurs articles sur le thème de la corruption.
La TI-IM se veut d'impliquer les médias dans le combat contre les différentes formes de corruption qui gangrènent la société. Malheureusement, en limitant l'accès au concours aux seuls journalistes de la presse écrite, elle risque de réduire sa portée auprès du grand public.
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