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La Musique et La Danse malgache !
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Comme toutes les civilisations du monde Madagascar possède sa propre musique et ses propres danses . On peut nommer cet ensemble comme étant la Musique Malgache.
Qu'elle est l 'essence de cette musique ?, D'où tient - elle son âme ? Et que déclenche - t- elle en nous ?
La musique a un rôle important dans la vie en société chez les Malgaches. Elle est à la fois un pont entre toutes les ethnies et un refuge de l’identité locale, puisque la plupart des groupes musicaux réunissent des membres de la même famille dans le
Fihavanana.
Le mot « tarika » synonyme de « famille » ou « ethnie »., signifie aussi « groupe » ou « Orchestre » exemple "Njila et GasyMusic Grp " de la prochaine MégaSoirée-ARF qui se tiendra à Tournan-en-Brie (77) le samedi 4 Octobre 2008 (Bloquez vos agendas ! )
A l’instar des aires culturelles d’origine , on retrouve les mêmes origines austronésiennes, africaines, arabe et européenne ainsi que les grandes catégories instrumentales.
De nombreux instruments
traditionnels sont encore utilisés au cours des fêtes
et cérémonies... Ils sont fabriqués à partir de matières
naturelles, peaux d'animaux, bois, bambous.
La valiha originaire d’Indonésie,
fabriquée dans le bambou est le symbole de l’unité
malgache pour le Fihavanana ....
suite cliquez-ici >>
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Ny Fomba malagasy sur rainizafimanga.COM -
Nature et Environnement >>
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Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina",
LaComm' ont répondu à notre appel
pour publier des Edito maintenant à
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Les Nouvelles 22/09/2008
FIMPIMA : Une nouvelle approche pour le Kabary
- Annick Sedson
La rentrée scolaire 2008-2009 de l'enseignement du kabary est marquée par une grande réforme pédagogique. Les responsables de l'association s'appuieront sur l'enseignement de Rado, un de leurs grands ray
aman-dreny.
L'enseignement du kabary a également effectué sa rentrée officielle pour l'année scolaire 2008-2009. Comme d'habitude, la Fimpima ou Fikambanan'ny mpikabary malagasy de la région d'Analamanga réalise cette rentrée toute la journée du 3ème samedi de septembre. Ce samedi 20 donc au Falda Antanimena, il y a eu une rencontre entre les enseignants, les anciennes promotions, quelques nouveaux inscrits et bien sûr, tous les responsables de la Fimpima comme Hanitra Andriambaovonjy la présidente nationale, Raimbemirindra Andriamanalinarivo, le président de la Fimpima Antananarivo et Harilala Ranjatohery, directeur de l'enseignement du kabary à Antananarivo…
Cette première rencontre a été axée sur la réforme de l'enseignement du kabary. Les responsables ont soulevé plusieurs points essentiels. Cette année, ils mettront en valeur les techniques pédagogiques telles la formation des enseignants qui aura lieu le 11 et le 18 octobre. Ces enseignants se diviseront ensuite en différentes catégories, ainsi, chacun d'eux enseignera à des catégories d'élèves selon leur niveau. Ce changement est également marqué par la mise au point d'un programme unique pour toutes les écoles de kabary que se soit dans les entreprises, les églises que dans d'autres organismes. Concernant les élèves, ils seront suivis de près à l'aide d'un carnet de correspondance. A la fin de l'année scolaire, vers le mois de juin, ces derniers subiront un examen collectif.
L'objectif du Fimpima est de faire de son diplôme un titre d'Etat, agréé par le ministère de l'enseignement.
Un message de Rado
Cette réforme est aussi un retour aux sources car il ne s'agit pas d'apporter une grande nouveauté dans le kabary. C'est surtout une amélioration de ce qui a déjà été réalisé. Le président de la Fimpima Antananarivo fait d'ailleurs référence au souhait de Georges Andriamanantena, Rado, une des 14 personnes qui ont fondé le Fimpima. Le grand homme voulait que les membres de l'association retournent aux sources et exploitent le vrai kabary qui n'est sûrement pas un moyen de faire rire ou d'impressionner mais un véritable art ayant une grande place dans la culture malgache. « On suivra cet enseignement de Rado », assure le président de la Fimpima d'Antananarivo.
Si la dernière promotion se nommait Célestin Andriamanantena, la promotion 2008-2009 portera le nom de Jules
Andriamananony.
rfimusique.com
21/09/2008
Jaojoby à l'Olympia
: Un maître à danser à Paris
"Attention, ça va chauffer !" prévient le roi du salegy, Jaojoby. A l’heure où la star malgache sort un album de variétés mélangeant langues et genres, c’est bien le style tonique qui fait sa marque que l’on va danser le 20 septembre, dans un Olympia débarrassé de ses fauteuils pour l’occasion, à la demande du chanteur.
Bref rappel d’"effet". Jaojoby est un phénomène, capable de tenir cinq heures sur une scène, à Madagascar, avec ses musiciens et choristes, pour faire danser le
salegy. Remontant au XVe siècle, d'après les affirmations des plus érudits sur la question, le salegy est un rythme infernal pour les danseurs néophytes. Il prend sa source au nord du pays, dans les rites de possession et ceux liés au culte des ancêtres. Electrifié à la fin des années 1960, il est devenu l'emblème musical de tout le pays, porteur d'une danse joyeusement coquine.
A Madagascar, la presse a décidé un jour de surnommer Jaojoby, "roi du
salegy". La scène internationale le connaît sous ce titre honorifique. Beaucoup vont donc être à juste titre quelque peu décontenancés par Donnant Donnant, l’album enregistré à Madagascar (paru en juin sur la Grande Île), que sa Majesté présentera au public de
l’Olympia, sous le titre Le Bal de Jaojoby (négociation de la distribution en cours). "C’est un album exceptionnel, un album de variétés" revendique avec une assurance tranquille le toujours souriant
Jaojoby. "Il y a un funky, des slows, un rock’n’roll, un reggae, un séga, un cha cha
cha". Et deux salegy, tout de même, rajoutés sur les conseils de "ses partenaires français". Notamment Christian
Mousset, directeur du festival Musiques Métisses d’Angoulême et du label
Marabi, sur lequel est signé l’album précédent, Malagasy, sorti en 2004.
Plutôt soul man
"J’aurais très bien pu faire un album sans salegy", mais ce parti pris aurait du mal à passer. Jaojoby se sent un peu prisonnier de l’image qu’on a de lui. "La spécialisation exigée par notre société m a contraint à me concentrer sur le
salegy. Mais moi, je suis un soul man. Je dois dire, d’ailleurs, que le décès
d’Isaac Hayes m’a beaucoup touché et j’avais pleuré quand Ray Charles est parti. Pour mon mentor James Brown aussi." En fait, cet album est comme un flash-back sur son passé, l’époque où il a fait ses premières scènes. "Dans les années 70, à mes débuts, j’animais une boîte de nuit, à Diego Suarez, qui s’appelait le Saïgonnais. Elle était tenue par un ancien légionnaire, marié à une vietnamienne. C’était surtout les militaires qui la fréquentaient. Une clientèle européenne pour laquelle nous jouions des paso
doble, des valses, du cha cha cha, du jerk. Notre groupe s’appelait Los
Matadores. Il y avait plusieurs chanteurs. Chacun avait sa spécialité. Un pour la variété française, un Mauricien pour le séga et la variété anglo-saxonne, une fille pour les chanteuses françaises (Nana
Mouskouri, Mireille Mathieu…). Moi j’étais là pour le rhythm’n’blues et la soul." Il interprétait les Otis
Redding, James Brown, Wilson Pickett...
"On commençait à jouer du salegy, mais ce n’était pas le plat de résistance, juste un met exotique. Je me souviens des Français qui disaient : 'allez, on va faire la danse du zébu !' car le
salegy, on le danse à plusieurs et en tournant dans la salle, un peu à la manière des zébus qui piétinent les rizières." En 1975, quand Madagascar devient une république démocratique d’orientation socialiste, avec à sa tête Didier Ratsiraka, les légionnaires s’en vont. "Nous avions perdu notre clientèle. J’ai continué avec une nouvelle formation et un nouveau répertoire, des rythmes africains et de
l’Océan indien, adaptés aux goûts des Malgaches. On jouait dans des salles ou à la belle étoile dans les rizières, en branchant un groupe électrogène".
Chansons d'hier
Le nouveau disque qui renvoie donc à l’époque où Jaojoby faisait danser les militaires en goguette ne pêche-t-il pas par son manque d’unité, une identité brouillée ? A ces critiques, Jaojoby oppose sa fidélité à ses chansons d’hier, |


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quand il n’avait pas encore accédé au statut de star à Madagascar. "Ce sont des chansons en français, en anglais, en créole et en malgache que j’ai écrites dans les années 70 et 80. J’aime mes chansons. Je ne vais pas les renier. Elles sont toutes dansables. Et faire danser les gens, c’est mon travail !".
Son passage à l’Olympia, "salle prestigieuse s’il en est", Jaojoby sait que cela restera un souvenir fort dans sa mémoire, aussi intense que celui de cette chaîne de solidarité qui s’est constituée en 2006 pour qu’il puise aller se faire soigner à la Réunion, après un accident grave de la circulation sur une route de Madagascar, qui aurait pu lui être fatal. "Je suis un miraculé", lance Jaojoby, jubilant à l’idée de faire trembler les murs de l’Olympia.
Midi
Mada 20/09/2008
Maladies rénales
: Les « tambavy » à prendre avec précaution ! - v.a.
« Les ‘’tambavy’’ malgaches sont à l’origine de la majorité
des cas des maladies rénales. Pourtant, beaucoup d’entre nous ignorent
les effets secondaires à long terme, de certaines de ces infusions », déplore
le Dr Rado Idialisoa, en marge des 12èmes Journées de l’Internat
Qualifiant portant justement sur le thème : « le rein et la vie ». «
Toutefois, ce n’est pas tous les ‘’tambavy’’ qui causent des préjudices
au rein. Chaque infusion a sa propre vertu. Mais pour en tirer bénéfice
et afin d’éviter ses effets nocifs, il ne faut pas en abuser. Au
contraire, il faut la prendre à bon escient suivant l’indication thérapeutique
des vrais spécialistes de la médecine traditionnelle», souligne ce médecin.
Hypertension
et diabète
Outre
l’intoxication par l’abus journalier de ‘‘tambavy’’ et de
‘’mangidy’’, deux autres principales causes sont à l’origine
des maladies rénales, indique toujours ce médecin. Il s’agit notamment
de l’hypertension et du diabète. Les hypertendus et les diabétiques
sont ainsi des patients prédisposés aux maladies rénales.
«Ces affections évoluent très silencieusement. Cette caractéristique
contribue à retarder le diagnostic jusqu’à un stade avancé, en
l’occurrence l’insuffisance rénale. Aussi, dès l’apparition des
certains signes, comme l’éclampsie chez les femmes enceintes ou
l’infection urinaire, il faut tout de suite consulter », recommande le
Dr Rado Idialisoa. Et pour prévenir ces maladies, qui pourraient être
fatales, ce médecin préconise l’adoption d’une bonne hygiène de
vie, à travers entre autres une alimentation saine et équilibrée et des
activités physiques soutenues, tout en évitant de boire comme du thé
certains « tambavy ».
Express
Mada 20/09/2008
Blanchiment
d’argent : Samifin enquête sur sept cas - Lantoniaina
Razafindramiadana
Le service des renseignements financiers ou Samifin
a sous la main sept dossiers suspectés de blanchiment d’argent.
L’identité des auteurs n’a pas été révélée.
Depuis son entrée en
fonction en juillet 2008, sept requêtes sur des cas de blanchiment
d'argent ont été déposées auprès du service de renseignements
financiers (Samifin). Cette déclaration émane de Jean-Claude
Razaranaina, directeur général de la structure. C'était hier au
cours d'une conférence de presse qui s'est tenue dans les locaux du
Samifin, à Faravohitra.
Toujours selon le responsable, la plupart des cas portent sur
l'utilisation de devises. « Pour chaque dossier, le montant de la
somme concernée est estimé à des milliards pour les devises, de même
pour la monnaie locale » estime-t-il sans donner des détails sur
l'identité des personnes morales ou physiques concernées.
Sans
complaisance
Sur ces sept dossiers, deux ont été transmis au niveau du
procureur de la République, qui décidera par la suite si la
personne physique ou morale concernée est passible de poursuite
pour infraction. Pendant l'investigation menée par le service de
renseignements financiers, qui dure en principe dix jours,
l'anonymat du suspect doit être gardé.
Une réforme de la loi s'impose ainsi. « Durant l'investigation, le
Samifin a le droit de procéder à une opposition de compte auprès
de la banque pendant 48 heures et même à un blocage de fonds. Le
concerné est ainsi notifié par la banque, alors qu'il ne doit être
pas informé qu'il est assujetti à une enquête », annonce
Jean-Claude Razaranaina.
Pour rendre les activités de lutte contre le blanchiment d'argent
encore plus fructueuses, des formations seront octroyées à des
responsables des établissements de crédit et de jeux, ainsi que
des institutions financières. Selon la loi portant sur le
blanchiment d'argent, le dépistage, la confiscation et la coopération
internationale en matière de produits de crime, ces derniers ont
l'obligation d'informer le Samifin en cas de doute sur certains
clients.
Mais, bien que la législation en vigueur ne le stipule pas, les déclarations
sur des suspiçions de blanchiment d'argent provenant d'un simple
individu sont recueillis par le Samifin, mais à des conditions précises.
« Le dossier doit comporter la signature et le nom de celui qui émet
la déclaration ainsi que des détails sur la situation », affirme
le directeur général. « Par ailleurs, tout individu qu'il
appartienne au domaine politique ou économique, au pouvoir ou non,
est enquêté si des cas de blanchiment lui sont reprochés. Là-dessus,
il n'y aura aucune complaisance », assure-t-il.
Ce qui n'est pas du tout rassurant pour les membres de l'opposition.
« De mon point de vue, la mise en place de ce service est un
obstacle pour le développement, de la démocratie et de l'économie
du pays », avance Reboza Julien, un |

Le
directeur général du Samifin, Jean-Claude Razaraniaina face à la
presse, hier.

Jean-Claude
Razaranaina expliquant les rôles et attributions du Samifin hier à
Faravohitra. |
ancien
député. « C'est un moyen efficace pour faire reculer les investisseurs,
ainsi que les gens qui veulent aider les membres de l'opposition »,
ajoute-t-il.
Du côté des opérateurs économiques, la mise en place d'un tel service
est bénéfique s'il est équitable. « La lutte contre le blanchiment
d'argent doit être menée. Presque tous les pays ont instauré ce
service, mais cette mise en place peut être dangereuse pour le développement
économique si les enquêtes ne sont pas bien fondées », annonce un opérateur
économique. « Les investisseurs étrangers autant que les opérateurs
locaux doivent être concernés » poursuit-il.Encadré
Transfert de fonds
Tout transfert vers l'étranger ou en provenance de l'étranger, de fonds,
titres ou valeurs pour une somme dont le montant cumulé est supérieur à
6 millions d'ariary, doit être effectué par un établissement de crédit
ou une institution financière, ou par son intermédiaire.
Lorsqu'une opération portant sur une somme supérieure à 50 millions d'ariary
est effectuée dans des conditions de complexité inhabituelle ou
injustifiée, l'établissement de crédit est tenu de se renseigner sur
l'origine et la destination des fonds.
voyage.youvox.fr 19/09/2008
Fram choisit Air madagascar
Dans le cadre du lancement de son offre sur Madagascar, FRAM a choisi Air Madagascar comme transporteur, tant pour les liaisons internationales que pour les vols domestiques. Madagascar est en effet une des nouvelles destinations programmées par le Tour Opérateur en cette saison Automne / Hiver 2008/09. Comme le précise Georges Vialard, Directeur de la Programmation de
FRAM, « Il n’est jamais facile "d’ouvrir" de nouvelles destinations. Le choix doit correspondre à des critères bien définis. Outre le fait de répondre aux souhaits émis par notre clientèle, ce doit aussi être un coup de cœur pour un pays et sa population. » « De plus, la concrétisation d’une nouvelle destination ne peut naître que d’une confiance mutuelle qui s’établit avec des partenaires dans les domaines du transport et du réceptif. C’est ce qui s’est passé pour Madagascar avec la compagnie nationale malgache et notre réceptif sur place. »
Pour cette première approche de la « Grande Ile », FRAM a fait le choix d’un itinéraire de 13 jours, « Paysages malgaches », avec une possibilité d’extension vers les Tsingy, ces incroyables formations géologiques, et de séjour balnéaire à l’hôtel Anjimarango Beach Resort de Nosy Bé.
temoignages.re 19/09/2008
Sur 2 millions d’hectares
: Un programme d’exploration de diamants à Madagascar
Cette année, Majescor, compagnie canadienne d’exploration, a conclu un accord avec une compagnie malgache par lequel elle a pu acquérir un intérêt de 97% dans la compagnie, en contrepartie d’un paiement au montant de 2.000 dollars canadiens (soit environ 3.300
euros) à la signature, et du versement de 100.000 dollars canadiens (165.000 euros) en exploration, acquisition de propriété et frais d’administration.
Selon l’accord, environ 2 millions d’hectares (20.000 kilomètres carrés) de terrain ont été sécurisés avec des titres miniers à court et à long terme sur deux zones. Ceux-ci ont été identifiés comme étant intéressants pour l’exploration du diamant, basée sur la découverte des minéraux indicateurs de kimberlite (grenat pyrope, picroilménite et diopside chromifère) dans des sédiments de rivière par des organismes de recherche (le bureau de Recherches géologiques et minières et l’Organisation des Nations unies) dans les années 60.
Une campagne régionale de sondage de ruisseaux a été entreprise par Majescor en avril. En tout, 20 échantillons ont été prélevés. Ils sont actuellement traités pour détecter des minéraux indicateurs dans un laboratoire sud-africain. Des résultats sont attendus à la fin du mois.
Madagascar constitue un secteur d’exploration émergent pour le diamant. Il y a environ 200 millions d’années, le pays faisait partie du continent de Gondwana, qui était attaché à la partie orientale de
l’Afrique, à l’Ouest, et en Inde, à l’Est. Les deux régions sont connues pour contenir des kimberlites/lamproites diamantifères.
L’Inde est actuellement un secteur fertile pour l’exploration du diamant dans le monde, comme le démontre la présence active des compagnies diamantifères majeures dans ce pays.
Jusqu’à très récemment, Madagascar avait fait l’objet de très peu de travaux d’exploration systématique. Mais depuis l’avènement de Marc Ravalomanana, des accords ont été signés avec le FMI et les règlements miniers ont été révisés. Ces changements ont attiré un certain nombre de compagnies d’exploration dans ce pays qui est riche en ressources minérales. D’ailleurs, un certain nombre de diamants, jusqu’à 23 carats, ont été récupérés par des mineurs de saphir dans des opérations de minage alluvial artisanal.
Communication
Radio Gasik'Arts 12/09/2008
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Gasik'Arts
change de station radio pour gagner une heure de plus et surtout pour répondre aux attentes de nos fidèles auditeurs.
Nous sommes en direct sur Canalsud 92.2 FM de 12h à 14h tous les dimanches. Nous sommes aussi en direct sur www.canalsud.net ou www.tv-radio.com ou sur la webradio gasy DRS radio
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Et nous sommes toujours aussi en différé toute la semaine sur www.gasikarts.com et www.gasykamanja.com |
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Les
Voeux Rainizafimanga
2008
2008
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Midi Mada 22/09/2008
Une route à trois voies
d’Ivato à Talatamaty - Navalona R.
SOMMET DE L’UA. L’étude de la construction d’une autoroute reliant Ivato jusqu’à Ivaloha est en cours, mais ce n’est pas prévu pour cet événement.
La préparation du Sommet de l’Union Africaine à Madagascar va bon train. Les travaux d’extension de l’aéroport international d’Ivato, de construction de l’hôtel 5 étoiles ainsi que de création d’un village présidentiel continuent. Et voilà maintenant que la route reliant l’aéroport, ou précisément le portail de la Base Aéronavale d’Ivato (BANI) jusqu’au rond-point de
Talatamaty, d’une longueur totale de 5,5km, sera élargie pour qu’elle soit circulable à trois voies. Ce projet exécuté par la société SOGEA et coûtant la bagatelle de Ar 10 milliards, devra être réalisé avant le 1er avril 2009, a annoncé le ministre des Travaux Publics, Roland
Randriamampionona, lors de la constatation de son avancement sur le chantier samedi dernier.
Aucune démolition
Sur ce financement, environ Ar 2 milliards seront alloués pour déplacer les câbles téléphoniques et les réseaux électriques de la Jirama en dehors de l’emprise de la route d’une largeur roulable de 10,5m contre 7,5m à l’état actuel, sans oublier l’enlèvement des panneaux publicitaires tout au long de la route. « Nous avons quelques problèmes techniques de reconnaissance de ces réseaux pour pouvoir accélérer les travaux dans le délai imparti, mais nous espérons que la Météo va nous aider », lance Bruno Ochs, le DG de la
SOGEA. Dans la foulée, le Maire de la commune d’Ivato Firaisana, Rasoloarisata Yves, tient à rassurer la population riveraine qui était venue profiter de l’arrivée des membres du gouvernement pour exprimer leur inquiétude, qu’il n’y aura aucune démolition de maison en dur durant ces travaux. Par contre, des petites constructions en bois illicites et certaines murailles intégrant les poteaux de la Jirama seront détruites. A l’arrivée des étrangers à l’aéroport d’Ivato, la porte d’entrée de Madagascar, il faut qu’ils aient une bonne impression sur la Grande
Ile, a souligné le ministre de l’Environnement et du Tourisme, Harison
Randriarimanana, qui était également sur place.
Délégation de l’UA
Notons que ces membres du gouvernement ont été envoyés par le Premier ministre sur le chantier pour observer l’état d’avancement des projets relatifs à la préparation du Sommet de l’Union Africaine et effectuer un compte rendu auprès de la commission préparatoire. La population riveraine à Ivato et
Talatamaty, de son côté, après avoir été rassurée, a exprimé qu’il faut s’habituer au changement si l’on veut se développer. Par ailleurs, une délégation de l’Union Africaine viendra la semaine prochaine pour évaluer la préparation de ce Sommet par Madagascar, a-t-on conclu.
Tribune Mada 21/09/08
Sommet de l’Union Africaine
: Formation des services de renseignements malgaches - par Manjaka Hery
Les Américains s’impliquent dans la préparation de la tenue du sommet de
l’Union Africaine à Madagascar en 2009. Une intervention dans le service des renseignements. En effet, une équipe de formation mobile ou Mobile Training Team
(MTT) a dispensé une formation sur l’« Intelligence Préparation for the Battlefield »
(IPB) ou l’exploitation des renseignements pour le champ de bataille. L’équipe formatrice comprend deux militaires américains, le Capitaine Amy Nash et le Chief Warrant Officer Alan
Morano, en provenance du 304ème Intelligence Bataillon Arizona. Quant aux bénéficiaires des formations, ils sont composés de 40 officiers
Malagasy. Parmi les 40 officiers, 15 proviennent de l’Etat major de l’armée, 15 de
l’Etat major de la gendarmerie nationale, et 10 de la primature. La formation s’est tenue du 15 au 19 septembre 2008, dans la salle de conférence du Centre Culturel Américain.
Durant ces cinq jours, Les participants ont appris les arcanes des travaux des unités de renseignement dans la lutte contre le terrorisme à travers la nouvelle configuration du champ de bataille et les nouvelles formes de combat. La venue de cette équipe fait suite à la visite du Commandant David Haugh de
l’US Army au mois de septembre 2007 à Madagascar et entrant dans le cadre de la coopération bilatérale militaire entre les Etats-Unis
d’Amérique et Madagascar.
Cette formation est la troisième du genre, conduite par le MTT après Antsiranana deux semaines auparavant |

Photo de famille des participants. |
et celle
d’Iavoloha au NLIM au profit de la Sécurité Présidentielle du 11 au 12 septembre 2008. La formation a porté essentiellement sur les opérations contre les insurgés ou Counter Insurgency Operations entrant dans le cadre de la lutte contre le terrorisme dans le monde.
La cérémonie de clôture de cette formation s’est tenue hier au Centre Culturel Américain. Cette cérémonie a été honorée de la présence du Général de Brigade RANJATOMANANA Basile, Directeur Général des Organismes de Défense du Ministère de la Défense Nationale et du Capitaine de Frégate John RIES, Attaché de Défense auprès de l’Ambassade des Etats-Unis à Madagascar.
Les Nouvelles 20/09/2008
Au courrier : La malgachisation, une contribution à l'esclavage
- ARJ
L'Ere est à la Mondialisation. Le néo-libéralisme triomphant domine et gouverne le monde.
Une obligation vitale pour tous les peuples est de s'ouvrir sur le monde, pour les besoins de la communication et de la lutte pour le développement.
Obliger les enfants malgaches à tout apprendre dans la langue malgache est un orgueil mal placé. 90% sinon plus des parents malgaches envoient leurs enfants dans des écoles publiques ou des écoles privées qui se voient obligées d'appliquer la nouvelle mesure.
Or la grande majorité de ces enfants ne pourront jamais dépasser le stade du primaire, une petite quantité pourra continuer au collège, et une infime partie jusqu'au baccalauréat.
Ce qui veut dire que les futures générations de Madagascar seront tout juste bonnes à devenir de la main d'œuvre bon marché pour les multinationales qui se ruent sur les richesses du pays : les mines, l'agriculture, les ressources halieutiques, le tourisme etc.
Comme cette situation arrange les multinationales et autres gros bonnets de l'économie mondiale qui veulent des réservoirs de consommateurs de leurs produits et de main d'œuvre bon marché, il n'est pas étonnant que les bailleurs de fonds (Banque mondiale, FMI etc.) ont donné leur bénédiction à la
« réforme » et allouent généreusement 27 millions de dollars par an pour la mise en œuvre de celle-ci. Le Président Ravalomanana n'a-t-il pas dit que cette «réforme» avait été préparée pendant 2 ans par «des techniciens étrangers» (sic !) (alors que les forces vives du pays – corps enseignants, sociétés civiles souhaitaient une véritable concertation nationale-).
Cette «chance paradoxale» que la colonisation a léguée au peuple malgache, et qui est la langue française, un instrument d'ouverture et de maîtrise des communications avec l'extérieur, déjà malmenée après 1972 par la malgachisation à outrance, cette «chance» donc se voit mise définitivement au placard au moment de la mondialisation, de la régionalisation, et de la lutte pour la survie.
Bref, Madagascar reste et restera un «réservoir humain bon marché» pour les requins de l'
«Ere Nouvelle».
Express
Mada 20/09/2008
Pazzapa
6 : Le compte à rebours pour Ruth et Anthony
Dix candidats seront retenus après le 8è prime
de ce soir au Dôme de la RTA. La fin de l'aventure se rapproche pour
Ruth ou Anthony.
Les
aventures télévisuelles sur la RTA se trouvent à mi-chemin. Le huitième
prime de la sixième édition de Pazzapa demarre ce soir avec l'élimination
d'un autre candidat.
Désormais, le public doit choisir l' un des deux nominés de la
semaine. Qui d'entre Ruth et Anthony quittera leurs camarades ?
Les deux candidats issus de la capitale n'ont pas su séduire le jury
lors du septième prime. Déjà deux mois passés aux côtés de leurs
amis, l' émotion va être plus dure à dominer.
«Si seulement on pouvait rester à la villa même si on est éliminé
de la course ce serait bien», lance Ruth pendant un petit bavardage
avec Anthony et Onjatiana. Un peu timide, la danse n'est pas son point
fort, tout comme Troya qui a déjà quitté le bateau Pazzapa 6. «Elle
a un peu de difficulté pour la danse », déclare Elie, l’un des
candidats.
« Mais c'est cela qui fait aussi sa particularité. Quand elle le veut,
Ruth peut sortir ce qu’elle a de meilleur», précise-t-il.
Un peu confiant quant à son sort, Anthony mise sur la confiance du
public. « Il ne faut pas dépenser de l’argent dans l’envoi de SMS,
laisses le public décider », lance t-il à sa mère au téléphone.
Danse latino
Pour ce huitième prime, la chorégraphie va changer de registre. Dans
un autre décor, la danse latino sera orchestrée avec plus de sensualité
grâce à la participation des danseuses professionnelles du groupe N'jampela.
Nataly Andria, Ambondrona, Francis Turbo seront les invités de la soirée
au Dôme de la RTA Ankorondrano. A l’occasion, Anthony chantera avec
le groupe Ambondrona. Ce dernier présentera de même deux morceaux
extraits de son nouvel album.
Quant à Ruth, elle soutiendra Nataly Andria, la chanteuse malgache
venue de l’Hexagone. Celle-ci présentera deux morceaux extraits de
son nouvel album « Out of stage ».
Dorénavant, un candidat quittera la villa à chaque prime et ce
jusqu’à la finale de Pazzapa 6.
Juliano Randrianja |

Ruth…

…
et Anthony jouent leur place à la villa ce soir. |
Midi
Mada 20/09/2008
600
millions d’ariary à trouver pour le centre pour personnes âgées - Hanitra
R.
MALADIE D’ALZHEIMER. Entre 5% et 10% des
personnes âgées de plus de 65 ans et 20% des plus de 80 ans sont concernées
par cette maladie encore peu connue à Madagascar.
Au début,
c’est un léger trouble de la mémoire, un oubli des événements récents.
Puis, c’est la perte, petit à petit, des aptitudes diverses, pourtant
courantes dans la vie quotidienne ; l’oubli des visages connus et même
ceux de sa propre famille, ses propres conjoints et enfants ; l’oubli des
objets, des lieux, des événements passés ; des propos incohérents, des
vocabulaires inappropriés aux situations… La maladie d’Alzheimer se
manifeste souvent de telle manière que les proches et familles ne
s’alarment pas outre mesure dès les premiers signes, mettant ces
comportements inhabituels, sur le compte de l’âge. Car, en effet, ce ne
sont pas toutes les personnes qui ont des trous de mémoire ou qui
manifestent des troubles similaires, qui sont atteintes de la maladie d’Alzheimer.
La maladie, bien que pouvant concerner des personnes de tous les âges, elle
concerne davantage les personnes âgées. Entre 5% et 10% des plus de 65 ans
et 20% des plus de 80 ans. Actuellement, 24 millions de personnes dans le
monde sont atteintes et on dénombre 4,5 millions de nouveaux cas chaque année,
soit un cas toutes les 7 secondes.
Tranompokonolona
A
Madagascar elle concerne beaucoup plus de personnes qu’on ne le croit, mais
trop peu de malgaches le savent. La maladie d’Alzheimer est en effet une
maladie encore méconnue dans la Grande île. Seule l’unique ONG oeuvrant
dans l’aide aux malades, « Madagascar Alzheimer Masoandro Mody » en parle
régulièrement depuis maintenant 15 ans mais malgré les actions de
sensibilisation et d’information qu’elle a menées, souvent seule, le
grand public n’est pas encore suffisamment informé. Hier, à l’occasion
de l’ouverture des trois jours de manifestation (au Tranompokonolona
Analakely) dans le cadre de la journée mondiale consacrée à la maladie
d’Alzheimer (21 septembre), elle scelle son premier partenariat avec le
ministère de la Santé et du Planning Familial qui s’associe, pour la
première fois à la manifestation. A cette occasion, la présidente de
l’association, Yollande Rason-Andriamaro, mais également les familles de
malades, de reparler du centre de prise en charge des personnes âgées que
l’ONG envisage de construire à Ankadiefajoro où un terrain de 2ha est déjà
disponible. Pour réaliser ce projet concocté depuis plusieurs années, il
faut environ 600 millions d’ariary, soit 3 milliards de nos anciens fmg. Il
est évident qu’à elle seule, elle n’y arrivera pas. En attendant, l’ONG
travaille toujours au même endroit, à Fenomanana, mis gracieusement à sa
disposition bien que le propriétaire ait déjà manifesté son intention de
reprendre son bien. Ce lieu est un centre d’accueil de jour qui prodigue
conseils et orientation pour les malades, et propose diverses activités à
l’ensemble des personnes âgées qui y sont prises en charge.
web-libre.org 19/09/2008
L'ariary : la nouvelle unité monétaire de Madagascar
L'ariary est la nouvelle unité monétaire de Madagascar depuis 2003. Elle a comme code ISO le sigle MGA. Ce code s'emploie particulièrement dans les opérations internationales. Par ailleurs, dans la vie courante, on se sert du symbole « Ar ». Cette nouvelle unité monétaire vient en remplacement de l'ancien FMG ou Franc malgache à qui l'Etat malgache reproche d'être un signe de dépendance à l'égard des anciens colonisateurs. Le passage à
l'Ariary a eu lieu en août 2003 avec l'arrivée au pouvoir du président
Ravalomanana.
Toutefois, le passage effectif n'est survenu qu'à partir de l'année 2005. Entre la période de l'officialisation et l'entrée en vigueur effective, tous les utilisateurs ont été invités à pratiquer ou à s'habituer au double affichage des prix. Le remplacement du FMG par
l'Ariary n'est en aucun cas perçu comme une nouveauté. En fait, l'Ariary a toujours été présente à Madagascar, en particulier dans les zones rurales où les paysans ont l'habitude de faire leur calcul avec cette unité de compte. L'ombre de cette ancienne monnaie, devenue nouvelle, n'a donc jamais cessé de planer sur la vie quotidienne des Malgaches. D'ailleurs, depuis la mise en circulation de l'ancienne unité monétaire,
l'Ariary a toujours eu une équivalence en FMG. Ce dernier, qualifié aussi d'« Iraimbilanja » en malgache, a constamment été l'équivalent de 5
Ariary. Cette valeur est encore valable jusqu'à l'heure actuelle. L'Ariary était également à la base des calculs liés à l'établissement de l'ancien Franc Malgache. Ensuite, il faut rappeler que durant les périodes de Franc Malgache, les pièces de monnaie ont été libellées en
Ariary.
Les écritures en Ariary figuraient également sur les billets de FMG et étaient situées juste en dessous de la valeur officielle, même si elles étaient en petite taille. A l'heure actuelle, la nouvelle unité monétaire malgache n'enregistre qu'un léger changement par rapport à son prédécesseur. La plupart des billets
d'Ariary mis en circulation sont de simples remplacements des anciennes coupures en Franc Malgache. Il est à noter que la nouvelle monnaie existe en plusieurs billets tels que les 100, 200, 500, 1 000, 2 000, 5 000 et 10 000.
Seul ce dernier, ayant une valeur de 50 000 FMG, est un nouveau billet. Il a un motif composé sur une face par un grand chantier de construction de route et une voie qui mène vers un avenir meilleur et sur
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l'autre, par une grande figure du « Rova » ou palais royal. Les autres billets
d'Ariary sont de simples transformations d'inscriptions et de motifs. Les coupures
d'Ariary 5 000, 2 000, 1 000, 500, 200 et 100 sont respectivement des dérivées des 25 000, 10 000, 5 000, 2 500, 1 000 et 500 francs malgaches.
En ce qui concerne leurs motifs, ils sont composés principalement des attractions de la grande île avec une petite carte. Par exemple, le motif du billet de 5 000 est formé d'une part par une plage de la baie de Fort-Dauphin, et d'autre part, par deux pirogues « vezo ». Par ailleurs, le billet de 100 Ariary arbore d'une part des images de l'arbre des voyageurs avec un arrière-plan de tsingy et d'autre part, le pain de sucre de Diégo-Suarez. A ces billets s'ajoutent aussi des pièces qui n'ont fait que suivre les autres en circulation avant 2003. Elles sont de 1, 2, 4, 5, 10, 20, 50 Ariary.
Pour tout savoir sur l'Ariary, il convient de rappeler que cette unité monétaire est héritée de l'époque des royaumes de Madagascar. Autrement dit, elle était déjà en usage avant la fin du XIXe siècle. Cette appellation était dérivée du mot arabe « al rial ». Elle rappelle cette époque au cours de laquelle les trafiquants arabo-musulmans furent les principaux acteurs de commerce avec les royaumes malgaches. Cette période précède la découverte de l'île par les Européens. Ensuite, l'Ariary a continué de subsister jusqu'à la fin du XIXe siècle. En 1896, avec l'annexion de Madagascar par la France, elle disparut de la circulation. Le pouvoir colonial, pour marquer sa domination, a remplacé l'unité monétaire par le Franc français. L'utilisation de ce dernier s'est arrêtée en 1960. Afin d'utiliser avec efficacité la nouvelle monnaie, il est nécessaire de bien faire attention puisque bon nombre de commerçants malgaches communiquent encore leurs prix en Franc Malgache. La prudence est donc de mise !
Article écrit par Toli
Tribune Mada 19/09/2008
Partenariat: Des opérateurs Allemands bientôt à Madagascar
- par Rianalazo
Quelque 20 Opérateurs allemands seront dans nos murs du 28 Septembre au 5 Octobre 2008 durant les séminaires organisés par le gouvernement malgache, l’EDBM
(Economic Developpement Board of Madagascar), la Fédération des Chambres de Commerce et de l’Industrie ainsi que la New Generation of Malagasy Businessmen. L’objectif de cette initiative est d’établir des partenariats entre les groupements, les sociétés, les porteurs de projets à Madagascar et les investisseurs allemands issus de nombreux secteurs, notamment l’agribusiness, le bâtiment, la communication, les infrastructures, les énergies renouvelables, le tourisme et la pharmacologie. Une réunion préparatoire - annonce du calendrier et des questions-réponses en vue de l’arrivée de ces délégations allemandes - avec les entités concernées s’est déroulée hier à la salle de conférence de l’immeuble Plan à
Anosy.
Accord-cadre
Ces sociétés allemandes, de grandes envergures, sont ici pour conclure un accord-cadre avec des sociétés
Malagasy. De Toamasina à Majunga, en passant par Antanarivo, l’itinéraire de ces délégations allemandes sera long. En effet, des visites seront prévues dans la zone industrielle de
Toamasina, à Ankarafantsika (Majunga), et lors de la manifestation « Business to business », le vendredi 03 octobre. Elles reviendront en plus grand nombre (50) au mois de Décembre avec le ministre allemand de
l’Economie.
D’après les organisateurs, ils essaieront de convaincre ces opérateurs d’installer des usines à Madagascar.

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Communication
Emadex 05/09/2008
3 services disponibles pour la Diaspora Malagasy
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