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Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent sur cette page ( ... Lire plus bas)

Les Titres de MadaVôvô du 01 septembre 2008  

BigNews: Les J.O 2008 à Pekin ...   Les Records du monde battus aux JO Beijing 2008

L'Edito: «  La Peinture à l'aiguille ... un Savoir-faire »

1.Le Vatican s'apprête à construire «une route de la paix» (nouvelles)

2. L’Etat contrôlera 89,5 % du capital d’Air Madagascar (clicanoo)

3. Baccalauréat séries C et D - Un taux de réussite de 47,37 % (laverite)

4. Madagascar : La FAO encourage à planter du riz aussi en août (un.org)

5. Mada en deuil pendant 2 jours pour le président zambien Levy Mwanawasa (jeune afrique)

6. Madagascar: La mairie passe au déballage (allAfrica)

7.Antananarivo : Cinq parkings payants dès septembre (nouvelles)

8. Les écoles catholiques refusent de suivre la réforme de l'éducation (xinhua)

9. Marc Ra8. L’objectif reste toujours d’assurer la réussite des enfants (midi)

*. No Comment.... No Comment...   ... Lire la 2ème Page de MadaVôvô   ( ... )    Cliquez ici >>

10.L'Exposition mensuelle "Ranty Gasy" chez Silhouette à Isoraka (Express)   ( ... )  

11. Affaire BÔLÔ. Ariary deux millions par exécutants  (midi)   ( ... )  

12.Bâtiment : Le ciment chinois à la conquête du marché (express)   ( ... )  

13. CUA-GOUVERNEMENT : Négociations de la dernière chance ! (nouvelles)   ( ... ) 

14. Trésor - Commune de Tana : La CUA tente un recours (allafrica)  ( ... )  

15. Comité olympique malagasy: Image ternie, plus que jamais (laverite)  ( ... )

16. Histoire : Quand le CJD élucide 1948 (nouvelles)   ( ... ) 

... Le précédent MadaVôvô  24 aout 2008 >>   ( ...  )

01/09/2008

COURS DES CHANGES

1 euro = 6.559570FF

cours moyens en Ariary

EURO(cmp) 2.385.84 Ar 
USD 1.618.63 Ar 
GBP 2.958.53 Ar 
CHF 1.474.29 Ar 
JPY 14.90. Ar 
ZAR 210.82 Ar 
HKD 207.33 Ar 
Date Eur/Ar Date Eur/Ar
30/06 2494 31/07 2470
30/08/08 min:2385 28/05/06 max:2771

(Revues de presse plus bas !!! ... patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


 

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Big News...

Spécial JO 2008 à Pekin...     ( ... )                                    Les infos sportives du monde en permanence  >>

*La cérémonie de cloture des JO de Beijing appréciée à Madagascar 

Le gala a commencé par une explosion de feux d'artifice dans le ciel qui a formé un grand cercle symbolisant la réussite des JO de Beijing, le cercle étant symbole de perfection, d'harmonie et de renouveau dans la culture traditionnelle chinoise.  ( ... )

*-JO 2008: Les Records du monde battus aux JO Beijing 2008 ( ... )

- L'Américain Michael Fred Phelpsné le 30 juin 1985 à Baltimore (Maryland), est un nageur américain, quatorze fois champion olympique. Son écrasante domination lui vaut des surnoms tels que « The Baltimore Bullet » (La Balle de Baltimore) ou « Le glouton du Michigan ».  ( ... )

- Le Jamaïcain Usain Bolt,: Bolt et la Jamaïque réécrivent l'histoire
Le plus grand (1m96), le plus précoce, le plus complet, le plus dominateur: Usain Bolt ne se contente pas à Pékin de dépoussiérer les records du monde tous les deux ou trois jours, il y ajoute encore des superlatifs. Dans sa foulée, toute la Jamaïque se retrouve sous les feux de la rampe. ( ... )


 « La Peinture à l'aiguille ... un Savoir-faire  »

    En passant à Antaninarenina, par curiosité je suis rentré dans une Exposition de broderie . Il y a plein de trucs de broderie , C'est tres joli ! Ca doit etre bien long a faire !!! 
    Alors aujourd'hui , pour promouvoir des artisans malgaches a Isoraka, je vais vous parler de la peinture à l'aiguille de L'Exposition 

mensuelle "Ranty Gasy" organisée a la fin de chaque mois chez "Silhouette" 11 rue de Belgique , (en face du pavillon de l'Emyrne) où  on peut aussi trouver une salle de massage ayurvedique, de Yoga et un salon de the, snack pour se restaurer sainement et creativement. Cette fois ci c'est sur la peinture a l'aiguille avec Mme Céline Ramarokoto.
     
La broderie est un art de décoration des tissus qui consiste à ajouter sur un tissu un motif plat ou en relief fait de fils.

       On peut la diviser en trois grandes classes :
               - Manuelle : à l'aiguille ou au crochet ; 
               - Semi-mécanique : à la machine ; 
               - Mécanique : industrielle. 
    
La peinture à l'aiguille est un savoir-faire, où l'on joue avec les couleurs. Il n'est pas nécessaire d'utiliser beaucoup de couleurs, car avec une couleur selon le positionnement du fil et le choix du point employé on obtient des nuances ou valeurs de couleur variées.

 Ainsi à partir d'un même motif, chacun peut composer ses propres créations . On utilise les couleurs de son choix. Puis la dextérité de 

chacun fera également un ouvrage différent. 

        C'est une une technique remarquable et intéressante de broderie.         

       La peinture à l’aiguille s’adapte à toutes sortes de formes et permet de nuancer finement les coloris.   

L'Exposition "Ranty Gasy de peinture à l'aiguille à Isoraka chez Silhouette  Cliquez-ici

       Ce point d’une grande subtilité, l’un des plus beaux de l’art de la broderie, autorise des effets d’un réalisme étonnant, surtout dans le traitement des motifs végétaux. ... Lire la suite Cliquez-ici 

                    Koly Rakotoarisoa d'Ambatomena ( Antananarivo )

Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Koly  a  répondu à notre appel  pour publier des Edito maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women.               Merci d'avance!        ... Pour Envoyer un article ou Pour nous contacter >>         ... Lister  tous les Editos     


Les Nouvelles 01/09/2008
COOPERATION : Le Vatican s'apprête à construire «une route de la paix» - Miadana Andriamaro
A l'époque, la fameuse «route du Pape» ou l'actuelle route des hydrocarbures jusqu'à la résidence du Nonce apostolique à Ivandry a été construite par l'Etat en vue de la visite du Pape Jean Paul II à Madagascar.
Mais maintenant, c'est le Vatican lui-même qui annonce la construction d'une route dénommée «route de la paix» reliant Imerimandroso à Vavatenina dans la région d'Analanjirofo. 

L'annonce a été faite vendredi dernier par le Nonce apostolique Kasuja, lors d'une entrevue avec le président de la République Marc Ravalomanana, au palais d'Iavoloha. La réalisation de ce projet émane d'une instruction expresse du Pape Benoît XVI et dont la lettre y afférente a été remise au chef de l'Etat. 
En tant que doyen actuel du corps diplomatique, le Nonce apostolique est également venu pour une visite de courtoisie. Il s'est félicité de la déclaration de son hôte sur les réformes de l'éducation appliquées prochainement dans une vingtaine de circonscriptions scolaires. Une déclaration selon laquelle les réformes devraient être entamées d'une façon progressive. 
Renforcer la communication avec la Deutsche Welle 
Avant cette rencontre avec le représentant du Vatican, Marc Ravalomanana a reçu le président directeur général de la chaîne de télévision allemande Deutsche Welle, Erik Bettermann. 
Ce dernier effectue une visite de prospection de partenariat dans les secteurs de l'éducation et des médias. 
La rencontre a été une occasion pour le chef de l'Etat de solliciter le soutien de la Deutsche Welle pour le renforcement de la capacité des journalistes et des techniciens de l'Office de la radio et de la télévision de Madagascar (ORTM), et si possible des autres journalistes dans le secteur de l'audiovisuel. Marc Ravalomanana a ainsi souligné la nécessité de renforcer la communication dans le contexte de l'information et de la sensibilisation sur les défis actuels du gouvernement, spécifiés dans le MAP. 
Erik Bettermann s'est prononcé entièrement en faveur de la concrétisation d'un tel projet, tout en faisant part à son hôte de l'existence d'un échange de programmes, actuellement, entre l'ORTM et la Deutsche Welle et dont les produits seront diffusés incessamment sur les antennes nationales. 
Par ailleurs, le visiteur a promis d'identifier avec la partie malgache des volets qui interpellent la contribution de la Deutsche Welle en ce qui concerne la médiatisation du sommet de l'Union africaine de 2009 à Madagascar.


Clicanoo.com 30/082008
L’Etat contrôlera 89,5 % du capital d’Air Madagascar
Alors que dans le monde la tendance serait plutôt à la privatisation dans le transport aérien, l’Etat malgache va augmenter sa participation dans Air Madagascar dont elle contrôlera à terme 89,5 % du capital.
Air Madagascar est plus que jamais une compagnie nationale. L’Etat malgache va y injecter 16,2 milliards d’ariary, entraînant la création de 810 000 nouvelles actions portant sa participation à 89,5 % du capital contre 80 % actuellement. “Ce sera une bonne chose pour l’Etat qui renforcera ainsi sa présence au sein de ce patrimoine national. Il est à souligner que l’Etat n’envisage aucunement de vendre une partie de sa part d’actions dans la compagnie Air Madagascar”, souligne Pierrot Botozaza, ministre des Transports dans les colonnes de L’Express de Madagascar. Obtenir l’accord des actionnaires lors de l’assemblée générale prévue le 8 septembre ne devrait être qu’une formalité. Outre l’État malgache, déjà actionnaire majoritaire, le reste du capital de la compagnie se répartissait de la manière suivante : 10,6 % à la compagnie Aro, 4,85 % à la société nationale de participation (Sonapar), près de 3 % à Air France, 0, 62 % à la compagnie Ny Havana, et 0,77 % au personnel. Mécaniquement, les petits porteurs verront leurs parts respectives diminuer. Celle de la compagnie Aro passera de 10,6 à 5,5 % et la Sonapar de 4, 85 à2,52 % 


laverite.mg 30/08/2008
Baccalauréat séries C et D - Un taux de réussite de 47,37 % - Sandra Rabearisoa 
Les séries scientifiques (C et D) ont eu un avantage par rapport aux séries littéraires. La sortie des résultats pour les candidats de ces séries, au niveau de la région Analamanga, a eu lieu hier après-midi, avec une hausse de 5% du taux de réussite par rapport à l’an dernier. En effet, le taux est passé de 42,39% à 47,37 cette année. Cela s’explique par le nombre de candidats qui a connu une augmentation considérable. Les 6 lycées de la capitale à savoir les lycées Andohalo, Rabearivelo, Nanisana, Ambohimanarina, Itaosy et Andoharanofotsy sont les établissements où les noms des nouveaux bacheliers seront affichés.
Des résultats par vague
D’après les explications du vice président de l’université d’Antananarivo, les autres résultats vont bientôt sortir pour les séries restantes c'est-à-dire les A1 et A2. Celles-ci ont enregistré près de 22 000 candidats, représentant plus de la moitié des effectifs. Ce qui a rendu le dépouillement des notes et autres vérifications plus longs. Par conséquent, la publication des noms devient difficile puisque les résultats sont étalés sur 80 pages pour le baccalauréat technique, et 47 pages pour cette première vague de l’enseignement général. Les résultats ont été diffusés à chaque correction achevée.
Quoi qu’il en soit, les autres candidats espèrent voir les résultats sortir cette semaine pour les séries A1 et A2. 


un.org 29/08/2008
Madagascar : La FAO encourage à planter du riz aussi en août

L'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) encourage à Madagascar l'augmentation de la production de riz grâce aux semis de contre-saison en juillet et août afin de réduire les coûteuses importations alimentaires.

Les semis de juillet et août pourraient donner une production supplémentaire considérable car généralement les agriculteurs de Madagascar ne sèment que durant la saison principale des pluies qui démarre en novembre, explique le Coordonnateur de la FAO pour les urgences à Madagascar, Marco Falcone, dans un communiqué. Dans l'est de Madagascar, une campagne de semis d'un mois est en train de s'achever visant à garantir des approvisionnements vivriers locaux suffisants, en particulier en riz.
En juillet, la FAO a lancé un projet de coopération technique d'urgence d'un montant de 500.000 dollars qui prévoyait la livraison de semences de riz, de haricots et d'engrais à quelque 6.000 familles d'agriculteurs de l'île. Ces ménages, durement frappés par les cyclones qui ces derniers mois ont balayé 80% de la dernière récolte, ont été réduits à consommer les derniers stocks de semences.

“Chaque année, Madagascar importe environ 200.000 tonnes de riz destinées à la consommation. Cette année, le déficit est estimé à 270.000 tonnes, ce qui posera des problèmes”, indique Marco Falcone. “Importer du riz aux cours mondiaux signifie payer 70% de plus que les prix locaux actuels, et cette situation risque de durer”, ajoute-t-il.
A moyen terme, les partenaires de développement, dont la Banque mondiale, soutiennent le gouvernement malgache dans ses objectifs d'accroître la production annuelle de riz paddy de 500.000 tonnes par an en l'espace de trois ans. La production nationale s'établissant actuellement à environ 3,5 millions de tonnes par an, cela permettrait de satisfaire les besoins du pays et de vendre les excédents.
Il faudrait pour cela mettre en exploitation les terres arables actuellement inutilisées en développant les périmètres d'irrigation et en garantissant un recours régulier aux engrais, ce qui permettrait également d'étendre la production au-delà de la campagne principale. 
Il faudrait aussi améliorer le transport vers les marchés: les régions rizicoles de Madagascar affichent souvent des excédents de production, tandis que d'autres régions du pays subissent des hausses de prix, tout cela à cause d'infrastructures médiocres.
L'accroissement de la production rizicole ne serait, toutefois, pas la seule mesure nécessaire pour résoudre une situation chronique de pauvreté et de malnutrition à Madagascar. “La sous-alimentation à Madagascar est aggravée par la dépendance des habitants vis-à-vis d'un seul aliment (le riz) qui fournit des calories mais pas beaucoup de nutriments ni de protéines”, explique M. Falcone. Par ailleurs, le sud du pays, plus sec, ne produit pas de riz du tout. Et le transport vers les régions du sud est un obstacle supplémentaire.
Parallèlement aux semis de riz et de haricots dans les régions frappées par les cyclones, le Sud rentre ses premières récoltes de sorgho, grâce au soutien de la FAO, de l'USAID et de l'ICRISAT (l'Institut International de recherche sur les cultures des zones tropicales semi-arides). Il s'agit de restituer à cette zone une culture traditionnelle qui peut continuer à prospérer malgré les périodes de sécheresse brutale dont est victime la région.
“C'est la première véritable récolte de sorgho au sud en près de 20 ans”, fait remarquer Tom Osborn, fonctionnaire agricole du Service des semences et des ressources phytogénétiques de la FAO. “A Madagascar, le sorgho a disparu de l'alimentation où il occupait la place centrale au milieu des années 90, lorsque les années de famine ont contraint la population à consommer les récoltes et les semences pour survivre. Les semences de sorgho de qualité n'étaient plus disponibles au sud de l'île, de sorte que le sorgho a fini par être remplacé en grande partie par le maïs”, explique M. Osborn.
Mais le maïs ne peut plus garantir de rendements élevés dans le sud de l'île, qui devient de plus en plus aride chaque année. Afin d'accroître les approvisionnements locaux, la FAO a réintroduit le sorgho et le maïs à cycle court, moins vulnérable aux vagues de sécheresse en raison de la brièveté de son cycle de croissance.


Jeune Afrique.com 27/08/2008
Madagascar en deuil pendant 2 jours pour le président zambien Levy Mwanawasa -xinhua 
Le gouvernement malgache a décidé que tout le territoire de Madagascar porte un deuil de deux jours pour le président Zambien Levy Mwanawasa à partir de lundi. 
Le gouvernement malgache a ordonné tous ses habitants par un communiqué de presse lundi que tous les drapeaux dans le territoire de Madagascar doivent être en berne pour l'hommage au président Levy Mwanawasa. 
Selon le communiqué, en tant que membre de la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC) et du fait que le feu Levy Patrick Mwanawasa a déjà visité Madagascar le 12 février dernier, Madagascar a le devoir de porter un deuil pour lui. 
Le président Zambien Levy Mwana-wasa est décédé à Paris mercrédi dernier après plus d'un mois d'hospitalisation suite d'une congestion cérébrale le 29 juin à Charm el-Cheik en Egypte, où il participait à un sommet de l'Union africaine (UA). 
Lors de sa visite de quatre jours à Madagascar, M. Mwanawasa, qui était aussi président de la SADC, a rassuré au président malgache, Marc Ravalomanana, de son soutien pour la préparation du 11ème sommet de l'UA, qui aura lieu à Antananarivo en 2009. 
Concernant les relations bilatérales, la Zambie et Madagascar partagent des aspirations similaires sur les plans politique, économique et social, a indiqué le site web de la présidence, en ajoutant qu'il est indispensable de formuler des règles de commerce caractéristiques aux pays africains et aux pays en développement


allAfrica.com 27/08/2008

Madagascar: La mairie passe au déballage - L'Express de Madagascar - Iloniaina Alain
Le staff de Andry Rajoelina critique le gouvernement en évoquant la gestion de l'ancien maire Hery Rafalimanana. Serge Radert et Michèle Ratsivalaka en conciliabule hier.
La coupe est pleine pour la Commune Urbaine d'Antananarivo (CUA). Le staff du maire Andry Rajoelina, s'insurge contre les initiatives prises par le gouvernement à l'encontre de la mairie. Il lance en même temps une attaque en règle, en pointant du doigt la gestion municipale du prédécesseur du premier magistrat de la ville, désigné à l'époque par l'Exécutif.
« Nous avons décelé des travaux fictifs, des contrats hors budget, des appels d'offres sans provision ou encore des marchés sans appel d'offres », a révélé hier Serge Radert à Mahamasina. « Ce sont les résultats de l'audit effectué par l'Inspection générale de l'Etat (IGE) », poursuit-il.
Serge Radert cite des anomalies dans la gestion municipale du temps de Hery Rafalimanana, président de la délégation spéciale (PDS), le prédécesseur de Andry Rajoelina. Il ne compte pas en rester là. « Nous allons publier demain (ce jour) les détails de tout cela, une fois les dernières opérations bouclées », promet-t-il.
Se sentant poussée dans ses derniers retranchements, l'équipe de Andry Rajoelina s'organise et répond au gouvernement, qui avait désigné Hery Rafalimanana au poste du PDS. Elle pointe du doigt le gouvernement et dénonce ce qu'il considère comme une tentative d'élimination politique du premier magistrat de la ville. « On pousse d'une manière indirecte le maire à la démission », estime Yannick Rabemanantsoa, directeur de cabinet de Andry Rajoelina, hier à Mahamasina.
Promesse électorale
Pendant une heure, les membres du staff se sont relayés pour dénoncer ce qu'ils considèrent comme des coups bas à l'encontre de Andry Rajoelina. La confiscation des recettes municipales et la décision du gouvernement d'ôter la gestion et l'exploitation de la gare routière d'Ampasampito figurent parmi ces griefs.
Serge Radert croit connaître l'origine des problèmes de la commune. « A l'allure où vont les choses, les tenants du pouvoir vont réaliser ce qu'ils ont promis pendant la propagande lors des municipales. Ils avaient annoncé qu'il n'y aurait pas de gestion possible de la commune pour un maire qui ne vient pas du parti au pouvoir », rappelle-t-il.
En parallèle à la dénonciation en série, des « actes unilatéralistes du gouvernement », selon Yannick Rabemanantsoa, l'équipe dirigeante à la mairie promet de relever le défi. « Le maire ne va pas renoncer », garantit-elle, tout en mettant dans la balance la population de la capitale, qu'elle estime être l'otage de la situation actuelle.
Le directeur de cabinet du maire réfute toute idée de défi lancé contre le gouvernement. « Il n'en est pas question. Nous espérons seulement qu'il ne se substitue pas au maire », : « Nous avons le devoir et l'obligation de développer la ville. C'est tout ce qui importe ».
Mais l'intervention de l'équipe dirigeante de la mairie risque de raviver la tension entre la commune et le pouvoir central.
Hier, les membres du bureau politique du parti présidentiel sont injoignables. Interrogé sur la réplique de la mairie, Jean Michel Razafinimanana, doyen du Conseil municipal, issu du Tiako i Madagasikara, évite de se prononcer. « Franchement, je ne sais pas quoi dire », a-t-il répondu. Même réponse de la part du conseiller Mamy Rajohnson, tête de liste du parti présidentiel.


Les Nouvelles 26/08/2009
ANTANANARIVO : Cinq parkings payants dès septembre - Faly Rajaonarison
La Commune urbaine d'Antananarivo (CUA) veut rentabiliser ses investissements. Cinq parkings payants seront mis à disposition des usagers dès le mois prochain.
La CUA mettra à la disposition des usagers d'ici début septembre cinq parkings dans la capitale. Une disposition qui entre dans le cadre de la régularisation de la circulation automobile ainsi que de la résolution du problème de stationnement. Les lieux sont déjà connus : un terrain à proximité de l'immeuble Fiaro à Ampefiloha ; les alentours du lac de Behoririka ; en face de la pharmacie Pergola à Antaninarenina ; en face du cinéma Roxy et enfin sur l'esplanade d'Analakely. 
Liva Ramavozatovo, directeur technique de la mairie explique : « la mise en place de ces parkings payants faisait déjà partie du programme du maire lorsqu'il était encore candidat. Ils vont permettre une régulation efficace des aires de stationnement, en offrant plus de sécurité. » 
Seulement, il y a un petit hic. Si ces parkings ont été prévus être opérationnels d'ici début septembre, tout dépend de l'approvisionnement en énergie électrique de ces lieux. Car la mairie installera des barrières électriques d'entrée et de sortie et sans électricité, tous ces efforts seront vains.
Tarif par tranche horaire
Actuellement, le maire est en train de plancher sur les tarifs du ticket d'autorisation de stationner. Les tarifs se feront par tranche horaire comme c'est le cas pour le parking de l'aéroport d'Ivato. 
La capacité totale de ces cinq parkings est de 430 voitures. Le financement de ce projet est entièrement à la charge de la CUA. Ultérieurement , elle envisage de léguer la gestion de ces parkings à une société privée. 


Xinhuanet.com 25/08/2008

Les écoles catholiques refusent de suivre la réforme de l'éducation préconisée par le gouvernement 
Les écoles privées catholiques à Madagascar ont décidé de ne pas suivre la réforme de l'éducation préconisée par le gouvernement dans son projet " éducation pour tous" lancé en 2003. 
Le chef de l'Eglise Catholique malgache, Mgr. Odon Razanakolona, a déclaré dans un communiqué de presse publié samedi que les évêques catholiques ont décidé, à la fin d'une conférence de 3 jours, qui s'est clôturée vendredi à Antananarivo, que les écoles catholiques n'envisagent pas de procéder à la réforme de l'éducation préconisée par le gouvernement malgache à la rentrée prochaine. 
Selon le programme éducatif du gouvernement, les écoles devriont utiliser le Malagasy comme langue d'enseignement, la durée de l'école primaire serait étendue à 7 ans et la réforme serait effectuée pendant l'année scolaire 2008-2009 dans 20 circonscriptions scolaires pour la première étape. 
Toutefois, les écoles catholiques, qui représentent 40% des écoles privées à Madagascar, ont décidé de maintenir l'ancien système d'éducation dans le pays parce qu'elles n'ont pas été convaincues par la réforme, en particulier l'utilisation de la langue Malagasy comme langue d'enseignement et l'expansion des années scolaire, selon la radio catholique, Radio Don Bosco, samedi. 
Mais elles ont promis de continuer leur coopération avec le Ministère de l'Education et d'appliquer la réforme dans leurs écoles quand elles pouvaient voir l'effet de la réforme après certaines années. 
A Madagascar, l'éducation nationale se divise en 4 étapes, à savoir l'école primaire, le collège, le lycée et l'université. 
En vertu de la loi sur l'éducation modifiée par le Parlement malgache en juin dernier, les années scolaires primaires ont été étendues à 7 ans au lieu de 5 ans, le collège a été raccourci à 3 ans au lieu de 4 ans, alors que le lycée a été mis seulement 2 ans au lieu de 3 ans auparavant. 
Le Parlement a également décidé que le Malagasy est la langue d'enseignement pour les cinq premières années alors que le Français et l'Anglais ont continué à être matières à enseigner. 
La réforme devrait commencer dans 20 circonscriptions scolaires dans l'année scolaire 2008-2009 avec l'aide de la Banque mondiale et 45 autres écoles envisagent de procéder à la réforme l'année suivante. 
Le Président Marc Ravalomanana a dit que la réforme visait à renforcer les compétences des écoles avec un système éducatif répondant aux normes internationales en termes de qualité et d'efficacité afin que Madagascar devienne une nation compétitive à l'économie mondiale. 
La Banque mondiale et le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) ont fourni des subventions de 125,1 millions de dollars américains pour appuyer la réforme de l'éducation dans la grande île de l'Océan Indien. 
ANTANANARIVO, 23 août (Xinhua)


Midi Mada 25/08/2008
Marc RAVALOMANANA. L’objectif reste toujours d’assurer la réussite des enfants et de satisfaire les parents. 
« Chaque établissement est libre de choisir son programme d’enseignement »
Le Président Marc Ravalomanana est de retour au pays, avant-hier, après avoir assisté au 28e sommet de la SADC, à Johannesburg et au séminaire international sur l’eau et l’assainissement à Stockholm. Dès son arrivée à l’aéroport d’Ivato, le Chef de l’Etat a livré ses impressions sur son séjour en Afrique du Sud et Suède. Il a également répondu aux questions des journalistes. Concernant la déclaration des évêques de ne pas se conformer à la réforme de l’enseignement actuellement en vigueur, le Président de la République a souligné la marge de liberté laissée à chaque établissement pour le choix de son programme d’enseignement. « L’objectif reste toujours d’assurer la réussite des enfants et de satisfaire les parents », devait soutenir le Président de la République. Par ailleurs, le Chef de l’Etat a aussi fait part de la contribution ultérieure d’éducateurs suédois, par le biais de formations et de soutiens, pour accompagner les jeunes malgaches dans cette réforme. Sur les arriérés de la commune urbaine d’Antananarivo, le président d’indiquer qu’il faut honorer ses dettes. Toutefois, ce dernier de mentionner que l’essentiel reste à déterminer. En répondant à la question de l’ouverture de Madagascar aux marchés de la SADC, le Président de la République a révélé la nécessité d’une entrée encore limitée et progressive de la Grande Ile dans le processus, afin de mieux se préparer au contexte de la zone de libre échange, qui sera généralisé en 2012. 
Lacunes
A propos de son voyage à l’étranger, le Président a insisté sur l’importance de la participation de Madagascar à ces deux événements, pour rehausser la fierté nationale, mais surtout, pour faire connaître aux homologues et interlocuteurs internationaux les réelles difficultés de Madagascar et les lacunes considérables à combler en matière d’alimentation en eau et d’assainissement, en l’occurrence. Pour le Chef de l’Etat, les multiples démarches et interventions entamées dans ce sens au cours de ce voyage relèvent « du devoir et de l’urgence », la situation sanitaire réelle de Madagascar demeurant encore fort préoccupante et loin des objectifs à atteindre, comparativement à d’autres pays comme la Tanzanie ou l’Egypte. Toujours d’après le président, la priorité est aujourd’hui de déployer, sous la responsabilité du ministère de l’Eau, des efforts majeurs pour assurer la gestion de l’eau et son alimentation sur tout le territoire national. 
Recueillis par Dominique R.                                                                                                                              

 

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Les Voeux  Rainizafimanga

2008 2008

Ambohimalaza se prévaut d’une broderie fine.

Express Mada 29/08/2008
Exposition De la broderie à Antaninarenina - Hernan Rivelo

La broderie authentique d'Ambohimalaza dans tous ses aspects. C'est ce que propose la boutique « Aux peintures à l'aiguille » à Antaninarenina, à travers la deuxième édition de l'exposition Ranty Gasy, du 26 au 30 août.
Depuis son existence, « Aux peintures à l'aiguille » forme un véritable label familial honoré de mère en fille et dirigé par Céline Ramarokoto. Aujourd'hui, le lieu est devenu un véritable showroom de la broderie.

  NdE: Exposition mensuelle "Ranty Gasy" organisée a la fin de chaque mois chez "Silhouette" 11 rue de Belgique , (en face du pavillon de l'Emyrne) où on peut aussi trouver une salle de massage ayurvedique, de Yoga et un salon de the, snack pour se restaurer sainement et creativement. Cette fois ci c'est sur la peinture a l'aiguille avec Mme Céline... savoir plus  Cliquez-ici


Midi Mada 30/08/2008
AFFAIRE BÔLÔ. Ariary deux millions par exécutants - par Didi Ratsimbazafy

Même si ce sont les résultats du bac qui ont retenu, hier, toute l’attention, à Anosy c’est plutôt le sort de Bôlô et de sa bande qui a marqué les esprits. 
Les prévenus se sont succédés, hier, devant la nouvelle Procureur de la République (P.R). Et c’était une vraie journée marathon pour ce responsable qui en est à son baptême de feu. Outre les présumés coupables, au nombre de treize rappelons-le, elle avait aussi à entendre une dizaine de témoins. Tard dans la soirée, notamment vers 21 heures, l’on a appris le résultat du déférement. Quatre à Tsiafahy dont le Général de la Police Bôlô, les Colonels Kassimo et Rambelo et le Sergent Appolinaire. Les huit restants sont placés sous mandat de dépôt à Antanimora, en attendant la date de leur procès auquel ils devront faire face pour leur premier chef d’accusation, la tentative de vol d’armes à la caserne du RTS. « Ils auraient été payés deux millions d’ariary par élément pour effectuer le cambriolage du magasin d’armes du RTS. En sus, le commanditaire dont l’identité reste un secret de l’enquête - quand bien même des noms circulent déjà en ce qui concerne son identité - leur a fourni des moyens dont des téléphones portables » avancent les enquêteurs qui, cependant, ne brisent pas l’omerta en ce qui concerne la personne derrière ce manège. 
Imprévu 
Tout allait comme sur des roulettes, sauf que les sentinelles avaient surpris quelques-uns d’entre eux durant le cambriolage. Là aussi, un autre coup de théâtre : le factionnaire accepte de négocier, de cacher les faits, avec une somme de 40 millions d’ariary. Ce qui complique, une fois de plus, le projet. Et ce « petit » imprévu a vite pris une mauvaise tournure pour toute l’équipe dont les membres seront arrêtés l’un après l’autre, par les limiers de la section des recherches. Le factionnaire, lui aussi, entre dans la longue liste des accusés. Outre ces faits, l’absence d’un Colonel de l’armée - lui aussi parmi les prévenus - alors qu’il est bien avisé de son déférement a été remarquée. Face à sa « désertion », le Parquet lui a tout de suite décerné un mandat d’arrêt. « Fait étrange. Son supérieur lui a accordé une permission malgré sa situation judiciaire » s’interroge-t-on dubitativement dans les coulisses du tribunal. 

Les prévenus
1. Gal (de la Police) Razafindrazaka Emmanuel dit Bôlô
2. Colonel Kassimo
3. Colonel Rambeloson Jean
4. Colonel Solo Kajaly 
5. Colonel Antihehy
6. Commissaire Dilimizany
7. Adjudant Fidèle
8. Sergent Appolinaire
9. Caporal Ratsimandresy Jacky
10. Soldat Robson
11. Daniel Rajaonarivelo (civil)
12. Rasolofotiana Etienne (civil)
Les chefs d’inculpation 
. Atteinte contre la sûreté intérieure de l’Etat 
. Tentative de vol d’armes

Rappel des faits 
Octobre 2007, une équipe installe sur le bout de piste de l'aéroport des armements lourds. Elle a pris pour cible l'avion Présidentiel qui devait se poser à Ivato, ce jour-là. L'intention a tourné court lorsque l'équipage, avisé à temps par les agents de renseignements, prend l'option d'atterrir à Mahajanga. Depuis, les interpellations commencent. Ce qui n'a pas empêché le réseau de concocter une autre opération, un mois plus tard. Là encore, leur tentative échoue. Cinq officiers furent pris en flagrant délit de vol d'armes à la caserne du RTS. Du coup, le dossier prend de l'ampleur, le nombre des interpellés monte en flèche. Sept mois plus tard, un autre coup de théâtre. La gendarmerie de Fiadanana met la main sur le Général de la Police Emmanuel Razafindrazaka. Ce dernier, avec à ses côtés deux officiers supérieurs, dont les Colonels Kassimo et Rambelo, soupçonnés d'être les commanditaires de la tentative d'assassinat contre le Chef de l'Etat, Marc Ravalomanana.


Express Mada 30/08/2008
Bâtiment : Le ciment chinois à la conquête du marché - Lantoniaina Razafindramiadana
Le ciment produit par l'usine Maloci à Ambohimanambola débarque sur le marché. Le coût du sac affiche 1 000 ariary moins cher que le prix moyen.
Le produit de la cimenterie chinoise Maloci entre dans le circuit de distribution, depuis le début de la semaine. Comme prévu, le sac de 50 kg se vend à un prix inférieur à celui des autres marques. Ainsi, le ciment de type 32.5 N s'achète à 18 000 ariary un prix d’usine, le prix conseillé aux distributeurs oscillant entre 19 000 et 19 200 ariary. Quant au B22.5N qui sera bientôt sur le marché, il se vendra à moins de 17 600 ariary. 
« Ces prix restent tributaires notamment du coût du transport, facteur qui peut avoir un important impact sur le coût d'un sac de ciment. A titre d'exemple, le coût de transport d'un sac d'Ambohimanambola vers les localités voisines, atteint 600 ariary », explique Joseph Rémi, un quincailler d'Ampasampito. 
Des contraintes
Le ciment Maloci est finalement sur le marché. Son arrivée aurait dû se faire avant le mois d'août. Plusieurs contraintes expliquent ce retard. Selon les informations recueillies auprès du ministère de l'Economie, du commerce et de l'industrie, les analyses sur les échantillons réalisées au Laboratoire national des travaux et bâtiments publics (LNTPB), pour confirmer le respect des normes, ont nécessité un certain délai.
« Il a fallu attendre plusieurs jours après leur dépôt avant de procéder au test », indique notre source.

Le sac de 50 kg de ciment de Maloci est vendu à un prix inférieur à celui des autres marques. 

Désormais, la société Maloci figure parmi les fournisseurs de ciment à Madagascar et se pose en véritable concurrent des sociétés déjà existantes. Cependant, pour l'instant, les conditions de production demeurent difficiles car elle importe encore la totalité du clinker (concentré de ciment) nécessaire à sa production.
L'extraction des autres matières premières, telles que le gypse dans les régions Boeny et Betsiboka, pose également quelques problèmes. « Nous sommes contraints d'utiliser plusieurs personnes dans les gisements de Mahajanga car l’extraction du gypse se fait à une certaine profondeur », confie le directeur général Li Yao Min, au cours d'une descente sur les lieux.
La société dispose d'un stock de ciment d'environ 2 000 tonnes à l'heure actuelle. En ce qui concerne la deuxième unité de production qui fabriquera le clinker, l'usine est en quête d'un site plus avantageux, permettant d'obtenir un prix davantage compétitif. 
« Il s'agit de trouver un endroit situé à proximité des gisements de matières premières, comme Antsirabe ou Toliara, afin de réduire les frais de transport », explique Denis Raoeliarijaona, directeur en charge de l'industrie auprès du ministère de tutelle.


Les Nouvelles 26/08/2009
CUA-GOUVERNEMENT : Négociations de la dernière chance ! -Miadana Andriamaro 
Le divorce semble proche entre la commune urbaine d'Antananarivo (CUA) et le pouvoir. Pour l'instant on en est à la phase de « négociations de la dernière chance » d'après les proches collaborateurs du maire d'Antananarivo, Andry Rajoelina, lesquels ont déclaré hier lors d'une conférence de presse que la coupe est pleine et que le pouvoir aurait dépassé les limites de l'entendement… allant jusqu'à enjoindre la commune de payer des dettes qu'elle n'a point contractées. Ces responsables communaux ont tenu surtout à dévoiler toutes les vérités que la population de la capitale a le droit de savoir en ce qui concerne les affaires de la municipalité.
Le torchon continue de brûler entre la commune urbaine d'Antananarivo (CUA) et le pouvoir. Malheureusement, le feu risque de se propager et causer d'importants dégâts au détriment du développement de la capitale malgache. 
En accédant à la tête de la municipalité en décembre, le maire Andry Rajoelina avait annoncé se préoccuper entièrement de ce développement. Mais ses actions se trouvent confrontées à des blocages émanant des pouvoirs publics. A preuve, Andry Rajoelina a dû se plier en ce qui concerne la désignation des chefs de Fokontany bien qu'aucun arrêté n'ait encore été rendu par la préfecture de police pour officialiser cette décision. C'est ce qu'ont affirmé hier les membres du staff de Andry Rajoelina, lors d'une conférence de presse. 
C'était surtout pour les conférenciers l'occasion de dénoncer les «bâtons dans les roues» de la mairie. Le dernier en date est la décision de blocage des fonds de la CUA , constitués des arriérés de paiement. Ces derniers, qui remontent pourtant aux années 1980 se chiffrent à plus de 878 millions d'ariary. Les conférenciers affirment sur ce point que le budget de la commune… même pour deux mandats successifs n'arrivera jamais à apurer la situation. 
Ils espèrent donc une annulation pure et simple de ces dettes qu'ils n'ont point contractées, dans la suite logique de la décision d'annulation ou d'effacement des dettes malgaches par les bailleurs de fonds quand le point d'achèvement a été atteint en 2006. D'autant plus qu'il y aurait eu des travaux fictifs qui ont été relevés dans l'état de ces dettes.
« La population jugera »
La gestion de la gare routière d'Ampasampito a également été évoquée lors de cette conférence. La CUA avance que, conformément à la loi 94-007, la gestion de la municipalité et ses infrastructures est de sa responsabilité exclusive. «L'on s'étonne cependant de la décision d'attribuer la gestion de la gare routière d'Ampasampito à l'Agence des transports terrestres (ATT)», selon les conférenciers. 
«Il faut savoir que le terrain où est implantée cette gare routière appartient à la commune, les travaux ont été entièrement financés par la compagnie Jovenna. Par ailleurs, selon l'article 3 du décret 2006-279 portant création de l'ATT, une telle gestion devrait procéder d'une décision express de concession émanant de la collectivité publique concernée pour que l'ATT puisse prendre les choses en main. Jusqu'ici, la CUA n'a pris une quelconque décision dans ce sens. Si l'Etat veut s'approprier la gare routière, c'est son affaire. Mais nous sommes contre l'appropriation d'un terrain qui nous appartient et qui pourrait nous servir à d'autres constructions pour le développement de la municipalité…». 
Le 3 juillet, une réunion des parties concernées sur la gestion de cette gare routière d'Ampasampito a été organisée. «Malheureusement, on n‘a pas tenu compte de ce qui a été convenu à l'issue de cette réunion. Car, tout semble avoir déjà été préparé et décidé avant… Dans ces conditions, la véritable décentralisation effective risque de n'être que de vains mots…». 
Sans aller jusqu'à une véritable déclaration de guerre contre le pouvoir, la CUA annonce que malgré le «calvaire» qu'on lui fait endurer, «c'est à la population de juger car elle a le droit de savoir tout ce qui a trait aux affaires de sa commune. Et nous pensons que cette population saura prendre ses responsabilités», a-t-on conclu.
L'histoire se répète-t-elle ?
Lorsque Marc Ravalomanana se portait candidat à la mairie d'Antananarivo, il ne s'attendait certainement pas à une intervention de l'Etat pour bloquer le financement qu'il avait pourtant négocié et obtenu de la Banque mondiale pour ses projets de développement de la municipalité. Il s'était alors insurgé contre cette décision, arguant que c'était une mesure qui sacrifiait la population. 
Cette sorte de «dictature» du pouvoir a été à l'origine de sa candidature aux élections présidentielles de décembre 2001. Elections qu'il a remportées et à l'issue desquelles il a prôné à une réorientation du développement dont particulièrement celui d'Antananarivo en tant que capitale. 
Mais cela risque de ne plus être de mise actuellement, au vu de certaines décisions qui dépouillent la CUA de ses éventuels moyens financiers. 


Express Mada 25/08/2008
Trésor - Commune de Tana : La CUA tente un recours - Iloniaina Alain 
La commune urbaine d’Antananarivo (CUA) a fait un recours auprès du ministère des Finances et du budget pour tenter de récupérer ses versements confisqués par le Trésor. Une tentative en désespoir de cause.

La Commune urbaine d'Antananarivo (CUA) contre-attaque. Elle demande au ministère des Finances et du budget d'annuler les dettes qui avaient conduit le trésor public à confisquer ses recettes. 
«Nous avons procédé à un recours gracieux auprès du ministère des Finances et du budget pour annuler nos dettes», a déclaré hier Serge Radert, adjoint au maire. «Le maire Andry Rajoelina avait déjà signé la lettre y afférente et nous l'avons transmise à qui de droit», poursuit-il. 
Serge Radert explique la démarche entreprise par la Mairie d'Antananarivo auprès de l'administration pour récupérer les recettes municipales. La trésorerie municipale avait informé la Commune qu'elle s'est trouvée «astreinte à déduire sur votre (Mairie) fonds libre la somme de 878 776 235,40 ariary (...)». Cet argent est destiné à payer les prêts et reprêts du Fivondronam-pokontany d'Antananarivo renivohitra depuis 1980. 
L'adjoint au maire fonde la demande municipale sur l'origine des dettes elles-mêmes. «Une partie des prêts et reprêts a été contractée auprès de la Banque mondiale pour financer des projets de développement. L'institution de Bretton Woods avait déjà effacé les dettes de l'État dans le cadre de l'Initiative des pays pauvres très endettés (IPPTE). Et il est logique que celles de la Commune soient également touchées par la mesure», explique Serge Radert. Celui-ci exprime en outre son étonnement face à la décision du ministère des Finances et du budget. 
Négociations 
Serge Radert évite pour l'instant d'anticiper les autres possibles recours de la Mairie d'Antananarivo en cas de refus du ministère des Finances et du budget. «Pour l'instant, il n'est pas encore question de recours devant la Chambre administrative», soutient-il. L'une des étapes possibles aprè 
s le recours gracieux est celui devant la Chambre administrative. 
Andry Rajoelina, maire d'Antananarivo, n'a pu être joint pour donner sa version des faits. Mais l'un de ses proches collaborateurs soupçonne une manœuvre visant à «acculer le maire», par cette initiative du ministère des Finances et du budget. nterrogé sur la confiscation des recettes municipales, le président Ravalomanana a touché quelques mots sur l'affaire. «Je ne suis pas tout à fait au courant du dossier. Mais en principe, celui qui est dans une situation 

Le maire d’Antananarivo, Andry Rajoelina (à dr.), désemparé face à la situation.

Andry Rajoelina (à g.), maire d’Antananarivo, lors d’un entretien avec la presse. 

d'endettement doit payer», a-t-il déclaré samedi à Ivato, après ses voyages en Afrique du Sud et en Suède. Il s'est ensuite adressé au Premier ministre pour s'informer de la situation juste après son point de presse. 
Le chef de l'État suggère quand même une solution. «Il faut négocier. C'est ce que j'avais fait pour arriver à effacer nos dettes auprès des bailleurs de fonds», se souvient-il. 
Pour sa part, Haja Nirina Razafinjatovo, ministre des Finances et du budget, se montre évasif sur le sujet. «Je n'ai pas de commentaire à formuler par rapport à cela», esquive le membre du gouvernement dont dépend le Trésor public. 
Encadré : Sur tous les fronts
A part le dossier concernant la confiscation des recettes municipales, la Commune urbaine d'Antananarivo (CUA) compte également réagir dans le dossier «Gare routière d'Ampasampito». «Il n'est pas exclu que nous procédions à un recours devant la Chambre administrative», a fait savoir hier Serge Radert, adjoint au maire. 
La Mairie d'Antananarivo prévoit de réagir contre la décision du gouvernement de confier la mise en concession de la Gare routière d'Ampasampito à l'Agence des transports terrestres (ATT). Elle souhaite revenir à la situation d'avant, c'est-à-dire redevenir l'autorité concédante du site. 
La Commune brandit la situation juridique du terrain d'implantation de la gare pour en revendiquer la propriété. Elle évoque en même temps sa participation à la construction de l'infrastructure, en partenariat avec des opérateurs privés.


La Verite.mg 25/08/2008
Comité olympique malagasy: Image ternie, plus que jamais - F.A.R

A l’heure où les pratiques peu orthodoxes du Comité olympique malagasy (COM) ont fait couler beaucoup d’encres, les observateurs de la vie sportive se sont étonnés de voir le président du COM, Mamy Rakotoarivelo, sortir enfin de son silence et tente de donner des explications qui ne convainquent personne. Un président qui visiblement tente encore de sauver la face et de soigner encore l’image du COM. Une image qui soulignons en passant est littéralement ternie, plus que jamais.
Face aux piques lancées par le ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Culture (MJSC), Jean Louis Robinson, mercredi dernier, le président du COM, Mamy Rakotoarivelo, a réagi hier en apportant dans la presse, quelques précisions. Des précisions insignifiantes car, n’explique pas toutes les aberrations du COM, dans la participation de Madagascar à ces Jeux Olympiques de Beijing.
En effet, pour ne prendre que l’exemple de la boxe, avec la mise à l’écart de l’entraîneur de Soloniaina, un entraîneur qui n’a pas pu accompagner son boxeur, faute de prise en charge par le COM, le président Mamy Rakotoarivelo a donné des explications qualifiées par les mauvaises langues de ridicules. Selon le président du COM hier, « Soloniaina a été encadré par deux experts internationaux à Beijing ». Il est à signaler que personne n’est dupe dans ces Jeux Olympiques.

Le président Mamy Rakotoarivelo (au centre) et le SG, Solofo Andrianavomanana
(à gauche), les deux hommes forts du COM

D’aucuns sont sans savoir que l’entraîneur qui a fait de Soloniaina un boxeur qualifié pour les Jeux Olympiques est resté au pays. Un entraîneur qui l’a connaît mieux que les experts internationaux. 
Sans minimiser les valeurs de ces derniers, psychologiquement et affectivement parlant, le « coaching » de ces deux experts n’ont pas répondu à l’attente de Soloniaina. Un boxeur, la seule chance de médaille malgache dans ces Jeux Olympiques et qui aurait préféré son propre entraîneur à ses côtés pour donner le déclic nécessaire à se surpasser et à réaliser le miracle.
Le plus ridicule dans les explications du président du COM c’est qu’à aucun moment, le président Mamy Rakotoarivelo n’a pas voulu expliquer pourquoi le COM n’a pas pris en charge l’entraîneur de Soloniaina et l’intégrer dans la délégation officielle. Un COM qui pourtant s’est permis le luxe d’intégrer des individus qui n’a rien à voir avec les Jeux Olympiques dans la délégation officielle, comme les deux Malgaches, Razafimahefa Tatamo et Ramiandrasoa Anja, pris en charge par le COM, comme étant des athlètes qualifiés aux JO mais que personne ne connaît même pas les disciplines sportives auxquelles appartiennent ces soi-disant athlètes.
Un autre pris en charge douteuse est celui Chinois, maître Gao, de son nom d’adoption, Ramaherison José, président de la fédération malgache de kung-fu Wushu.
Au lieu de prendre en charge un entraîneur de la boxe pour la course aux médailles, le COM a privilégié dans son choix, un ressortissant chinois qui selon certaines sources est réputé dans le pays comme doué dans le business, plutôt que le développement du sport. Et lorsqu’on sait qu’un membre influent du COM, qui a réussi à siéger dans le bureau exécutif de ce Comité, malgré son statut de sport non olympique, est aussi réputé, selon la même source, dans ses compétences particulières dans le business, au détriment du développement de l’esprit olympique, ceci pourrait expliquer cela.
Le plus perdant dans toute cette histoire c’est la boxe malgache qui avec cette mise à l’écart de son entraîneur a raté l’occasion d’enrichir les expériences de nos techniciens dans des évènements de dimension des Jeux Olympiques. Mais ça, et avec un tel choix, semble constituer le dernier des soucis des responsables du COM.


Les Nouvelles 26/08/2009

HISTOIRE : Quand le CJD élucide 1948 - Faly R.

Le club des journalistes doyens (CJD) a organisé une conférence-débat vendredi au tranompokonolona Analakely pour élucider les faux procès de 1948. Georges Rakotondrasoava et Remi Rahajarizafy, les représentants de CJD ont expliqué que les procès de 1948 qui font suite aux événements de 1947 à Madagascar n'étaient que des mascarades de procès pour couper la rébellion malgache.

«1947 est un génocide organisé par les colons et non un mouvement organisé par le MDRM» affirment-ils. Suite à ces événements, plusieurs têtes et hauts dirigeants de plusieurs mouvements malgaches sont tombés. Ravoahangy, Raserta, Joël Sylvain, Max Tata, Martin Rakotovao et Augustin Rakotoarisoa ont été condamnés à mort. Jacques Rabemananjara, Rabeantoandro, Thomas Razafindralambo et Jérôme Côme Ranaivosoa ont été condamnés à des travaux forcés à vie. Sinon, Rabialahy, Andriantsifahaona, Ratrema, Raherivelo, Ranarivelo ont écopé de peines de travaux forcés. Jules Ranaivo a été condamné en prison pour 10 ans et Jules Rakotomalala a été en résidence surveillée pour 10 ans.

Plusieurs personnes ont été acquittées dont Ranaivo Ramahenina, Venance Ramamonjisoa, Ramaholimihaso, Harrison Razafindramboa, Olafson Rajaonarison, Robert Lapidaire, Stanislas Rakotonirina, Alfred Rabenja, Razafindratandra, Eloi Rakoto et bien d'autres encore…

Heureusement, le président de la République française a été clément envers les condamnés à mort et les peines n'ont pas été exécutées. Vincent Auriol a également été gracié le 15 juillet 1949 et les députés malgaches Raseta Ravoahangy et Rabemananjara ont été transférés le 6 septembre 1950 à Calvi en Corse.

Le but du CJD n'est pas de faire resurgir l'histoire mais plutôt de faire connaître l'histoire à l'actuelle génération. Un livret contenant les détails de toute cette histoire a été distribué durant cette conférence débat et plusieurs entités ont été représentées dont les descendants des MDRM ou encore des représentants de Otrikafo et bien d'autres encore…


Communication Emadex 21/08/2008

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