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Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent sur cette page ( ... Lire plus bas)

Les Titres de MadaVôvô du 25 octobre 2008  

BigNews: L'ARF & TANKAFATRA ... 

L'Edito: « Comment j'ai échappé à la rue... »

1. Le co-développement entre Madagascar et La Réunion en action (temoignage.re)

2. Un accord-cadre sur les échanges entre Réunion-Madagascar (clicanoo)

3. Nomination incessante du nouvel ambassadeur de France (midi)

4. Air Madagascar va desservir Guangzhou (aerocontact)

5. L'Arabie Saoudite coopère avec notre pays (nouvelles)

6. Madagascar va élaborer une stratégie pour promouvoir ses exportations (xinhua)

7.Dans le monde : Madagascar : le pillage par Rio Tinto (lutteouvierejournal)

8. Lutte contre la pauvreté: Le Pnud se focalise sur l'Atsimo Andrefana (nouvelles)

9. Crise financière : Le secteur privé s’inquiète (express)

*. No Comment.... No Comment... 

10. Crise financière : Ravalomanana répond à Radavidson (tribune)

11. Deux femmes malgaches meurent au Liban (midi)

12. Montreuil : Le Père Pedro est venu parler de ce qu'il a entrepris à Madagascar (lavoixdunord)  

13. Francophonie –Après le Québec, Madagascar (lepetitjournal)

14. Les Gambas Bio de Mada élu meilleur « crustacé » de l’année en France (tribune)

15. Crise financière : Une menace sur nos réserves en devises (midi)

16. Madagascar: La RN6 désenclave quatre régions (allafrica)

17. Marc Ravalomanana : « Si Madagascar avance, la France est fière »(tribune)

18. Felaniary interview (moov) 

... Le précédent MadaVôvô 21 oct 08  >>   ( ...  )

25/10/2008

COURS DES CHANGES

1 euro = 6.559570FF

cours moyens en Ariary

EURO(cmp) 2.332.16 Ar 
USD 1.837.42 Ar 
GBP 2.839.91 Ar 
CHF 1.598.10. Ar 
JPY 20.01 Ar 
ZAR 161.53 Ar 
HKD 237.07 Ar   
Date Eur/Ar Date Eur/Ar
30/09 2394 31/07 2470
13/09/08 min:2290 28/05/06 max:2771

(Revues de presse plus bas !!! ... patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


 

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Un Grand Merci de la part de l'ARF de nous avoir fait découvrir un côté pittoresque et charmant de Madagascar par l'intermediaire de TANKANFATRA


*** Ny Fomba malagasy sur  rainizafimanga.COM - Nature et Environnement >>


 « Comment j'ai échappé à la rue...  »

      Les Spiritains sont passés à Madagascar, dans leur reportage , Joe, un jeune rescapé de de la rue, raconte comment il s'en est sorti grâce au centre NRJ. Plusieurs années d'efforts guidés par les accompagnateurs lui ont permis de trouver un job qui, aujourd'hui, le fait vivre. Et qui lui permet de collaborer avec le centre NRJ et d'aider d'autres jeunes à sortir dans la rue.

      Il déplore qu'à Antananarivo comme ailleurs des jeunes de plus en plus nombreux survivent dans la peur, la précarité, la violence de la rue. Laissés à eux mêmes, ils sombrent dans la délinquance et 

remplissent les prisons déjà trop pleines. 

     C'est pour cela que les Spiritains font tout pour que continue le centre NRJ en plein quartier d'Andavamamba à Antananarivo. 

       Madagascar : Il faut sauver les enfants dans la rue.

        « Sans le centre NRJ que j’ai quitté en 2005, je serais certainement passé 5 fois en tôle. Depuis, je suis guide touristique. Des Français qui passaient au centre m’ont mis en relation avec un tour-opérateur. Avec le permis de conduire passé au centre, le Français m’a accepté. Aujourd’hui, avec un CDI, je gagne 48 €. Plus les indemnités venant des clients. Je pars en sport aventure à travers tout le pays. Chef d’expédition, je m’occupe de 5 ou 6 personnes, de la recherche d’un logement ou d’un resto au guidage. Un travail qui me plaît beaucoup. Les touristes ont, la plupart, de l’argent à dépenser, même si certains disent avoir économisé longtemps pour découvrir notre pays en louant, cher, un véhicule pendant 1 mois. Ils sont frappés par l’accueil, la gentillesse des gens, la beauté et la tranquillité du pays.
       
J’ai passé 15 années de ma vie dans la rue. Des animateurs m’ont invité à venir au centre. J’ai réfléchi et décidé d’apprendre le français et la menuiserie. À 20 ans, j’ai rencontré ce patron. Aujourd’hui, personne ne peut dire que j’ai été un enfant de la rue.

        Quand je vois que le nombre d’enfants des rues a augmenté, je me rends compte que l’État ne s’occupe pas des plus pauvres. Il fait des routes qui ne servent à rien pour les jeunes paumés. 

      Il faudrait plus d’écoles, d’aide pour les familles en difficulté. Pour limiter le nombre d’enfants laissés à la rue.

De mon côté, 2 fois la semaine, je rencontre des enfants et les invite à aller au centre pour qu’ils s’en sortent, comme moi. Malheureusement, la plupart penser trouver du fric le plus vite possible par d’autres moyens.   

      Je me dis que j’ai eu de la chance d’être passé au centre. Je me suis drogué, je l’avoue. De la trentaine de copains d’autrefois, plus de 20 sont en prison aujourd’hui pour vols et autres délits. J’insiste beaucoup auprès des jeunes pour qu’ils m’écoutent et évitent ces malheurs eux aussi. Le seul  

« Aller chercher des gosses perdus et tout faire pour les remettre debout demande beaucoup d’humilité, de compréhension, de pardon quelquefois. Sans cela, pas d’avenir pour la plupart des jeunes. » Ces propos du P. Éloi Rasolofoson, Joe les signe des 2 mains. Abandonné à 2 ans, il a échappé à la rue à l’âge de 15 ans. Grâce au centre NRJ, ouvert en 1987 par le P. Vincent Chopart, en plein quartier d’Andavamamba à Antananarivo.       centrenrj@moov.mg

Spiritains à Madagascar. Impliqués dans la vie 

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souci qui me reste, je n’ai pas connu ma mère. Mes parents m’ont abandonné dans la rue quand j’avais 2 ans.   
    
Quand les jeunes viennent au centre, ce qu’ils veulent d’abord, c’est manger à leur faim et être protégé. Dans la rue, t’as faim, t’as peur, y a des gangs, des bagarres.   ... Lire la suite Cliquez-ici 

Père Lucien Heitz - Communication des Spiritains (www.spiritains.org)

Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Père Lucien  a  répondu à notre appel  pour publier des Edito maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women.               Merci d'avance!        ... Pour Envoyer un article ou Pour nous contacter >>         ... Lister  tous les Editos    


temoignages.re 25/10/2008

Le co-développement entre Madagascar et La Réunion en action  -  Manuel MARCHAL
Co-développement : Inauguration du premier centre de formation du SMAD aux métiers urbains 
Mardi matin, la Direction des matériels techniques de l’armée malgache à Antananarivo accueillait la cérémonie d’inauguration du premier centre de formation aux métiers urbains du Service militaire d’action au développement. Co-financé par la Région dans le cadre d’un partenariat avec l’Etat malgache, ce centre est une illustration concrète du co-développement entre Madagascar et La Réunion.

Partie prenante du Plan d’action pour Madagascar (MAP), document définissant la stratégie de nos voisins pour faire face aux défis du développement, le Service militaire d’action au développement (SMAD) a été créé en septembre 2006. Comme le RSMA à La Réunion, le SMAD accueille des jeunes qui veulent se former dans différents métiers tout en servant dans l’armée.
Etant donné qu’à Madagascar, 85% de la population vit dans des zones rurales, que 80% des travailleurs sont des agriculteurs, que 73,5% des ruraux vivent sous le seuil de pauvreté, et que le pays lutte pour atteindre l’autosuffisance alimentaire, l’agriculture constitue le plus grand chantier du développement à Madagascar. Pour ces différentes raisons, le SMAD a d’abord une vocation « agro-pastorale », indique le gouvernement malgache. Les deux premiers centres se situent dans les régions de Soavina et de la Sakay. D’ici 2013, 22 centres de formation aux métiers ruraux sont prévus, deux sont déjà en service. 
Valoriser 6.600 hectares par an
Au terme d’une formation de deux ans, les stagiaires des centres ruraux bénéficient gratuitement d’une parcelle de cinq hectares, avec une pré-installation financée par l’armée qui assure ensuite pendant cinq ans un suivi. L’objectif est de valoriser 6.600 hectares par an en s’appuyant sur les compétences de jeunes formés pendant deux ans par le SMAD.

FORMATEUR et stagiaires lors d’un cours de formation à la mécanique automobile. (Photo MM)

Le SMAD comporte également des centres de formation aux métiers urbains. Huit sont prévus. Le centre pilote du SMAD urbain a été inauguré mardi, en présence de Cécile Dominique Manorohanta, ministre de la Défense nationale de la République de Madagascar, d’une délégation réunionnaise composée notamment de Nassimah Dindar, présidente du Conseil général, de Roland Robert, vice-président du Conseil général délégué à la coopération décentralisé, et de Wilfrid Bertile, vice-président délégué à la Coopération. L’Etat était quant à lui notamment représenté par Marie-Claire Géraldin, chargée d’affaires auprès de l’ambassadeur de France à Madagascar, l’ambassadeur Leycennes, et par Pierre-Henry Maccioni, préfet de La Réunion. 
Un centre pilote inauguré
Situé au Camp Intendant Général Rasolomalala qui abrite la Direction des matériels technique de l’armée malgache à Soanierana, un quartier de la capitale Antananarivo, le SMAD urbain s’organise autour de neuf filières : électricité automobile, peinture automobile, mécanique automobile, électricité du bâtiment, menuiserie bois, soudure-métallurgie, froid et climatisation, bureautique. Il accueille des promotions de 60 jeunes. Au terme de deux ans de formation professionnelle et militaire, ponctué par un stage d’une année en entreprise, les jeunes acquièrent des compétences qu’ils peuvent mettre au service du développement du pays. La partie française a investi 165.100 euros, et souligne « des dons considérables de machines outils provenant de La Réunion ».
Sept autres centres SMAD urbains seront mis en service d’ici 2013, ils permettront au pays de disposer chaque année de 480 personnes formées dans différentes filières des secteurs des services et de l’industrie.
Longue vie au SMAD et gageons qu’il réussira dans sa mission : « faire acquérir une formation professionnelle aux jeunes malgaches pour faciliter leur insertion dans la vie civile ». 


Clicanoo.com 25/10/2008
Un accord-cadre sur les échanges entre Réunion-Madagascar

Pourquoi ne pas proposer plus de produits malgaches dans les cantines scolaires réunionnaises ? C’est l’un des arguments défendus lundi dernier par la présidente du conseil général Nassimah Dindar, lorsqu’elle a signé à Tananarive le premier accord de coopération pour le développement agricole, conclu entre l’Etat malgache (représenté par le ministre de l’Agriculture par intérim Marius Rajolojananary) et La Réunion.
“La Réunion importe beaucoup trop d’aliments de métropole ou d’Australie, pour un total de 250 millions d’euros, alors que nous produisons 230.000 repas dans les collectivités, poursuit Mme Dindar. A terme, nous pourrions augmenter les exportations malgaches de laitues, de tomates ou de volailles vers La Réunion : cet engagement gagnant-gagnant nous permettra de consolider les relations bilatérales.” Ce texte est le premier volet d’un accord-cadre pour la coopération régionale, signé quelques minutes avant par le préfet Pierre-Henry Maccioni et le ministre malgache des Affaires étrangères par intérim, Harison Randriarimanana. Cet accord-cadre fixe une liste de neuf domaines prioritaires, où l’on trouve (outre l’agriculture) l’aménagement du territoire, l’éducation, l’environnement, la culture, la santé, les technologie de communication, la sécurité et la coopération maritime 

Le préfet Paul-Henry Maccioni et Nassimah Dindar, président du conseil général, lundi dernier à Tananarive. A droite, les deux ministres malagasy.

Midi Mada 25/10/2008

Nomination incessante du nouvel ambassadeur de France
DIPLOMATIE. La tenue du sommet de la Francophonie 2010 à Tana et le passage du Président Marc Ravalomanana à Paris constituent un double catalyseur.

Matignon. La dernière visite de Marc Ravalomanana à l’Elysée avait débloqué la présentation des lettres de créance – jusque-là en stand by – de l’ambassadeur de Madagascar en France. Son récent passage à Matignon pourrait, cette fois-ci, accélérer l’arrivée du nouvel ambassadeur de France à Madagascar, quand bien même la diplomatie ferait partie des domaines réservés de Nicolas Sarkozy.
Choix. Hasard du calendrier, la rencontre entre François Fillon et le numéro Un malgache a eu lieu presque au lendemain du départ de Libreville de Jean Marc Simon. Pressenti pour succéder à Gildas Le Lidec qui a quitté la Grande Ile début août. En somme, cela fera bientôt trois mois que l’ambassade de France – la plus importante représentation diplomatique étrangère à Tana - est dirigée par un Chargé d’Affaires. En attendant le nouveau maître des lieux au 3, rue Jean Jaurès à Ambatomena. Selon La Lettre du Continent n°550 du 16 octobre 2008, « Jean Marc Simon a le choix entre un poste dans un groupe français bien implanté en Afrique et une fin de carrière diplomatique à Madagascar ».
Libre. Dans une dépêche parue le lendemain, c’est-à-dire en date du 17 octobre 2008, l’ « African Press Organization » (APO) affirme pour sa part que « le diplomate français quitte le Gabon (…) pour Madagascar ». Et ce, au terme d’une mission de 5 ans au pays du président Omar Bongo auprès de qui il a fait ses adieux le 15 octobre. C’est dire que Jean Marc Simon est libre depuis une semaine. Ce gaulliste proche de Chirac est « un des derniers spécialistes de l’Afrique, un familier de ses réseaux et habitué aux situations parfois délicates ». Il était directeur de cabinet à la rue Monsieur de 1993 à 96. Depuis le ministre Michel Roussin à Jacques Godfrain en passant par Bernard Debré.
Mouvement. Le nouvel ambassadeur de France au Gabon est Jean Didier Roisin, un autre grand spécialiste de l’Afrique puisqu’il a été directeur des Affaires africaines et malgaches puis directeur Afrique et Océan Indien au Quai d’Orsay. Il était déjà ambassadeur à Madagascar de 1994 à 96. Le Conseil des ministres français avait donné son accord à la nomination de Jean Didier Roisin le 15 août 2008. Au lendemain même (un autre hasard du calendrier) du 14 juillet de « la rupture » de Gildas Le Lidec qui avait été rappelé par Paris à la demande de Tana. Tout autant que Jean Didier Roisin avait été « limogé » par le président sénégalais Abdoulaye Wade fin 2004. Bref, de nombreux concours de circonstances et similitudes dans ce mouvement pour ne pas dire permutation d’ambassadeurs de France en Afrique sauf que la nomination de Jean Marc Simon n’a pas été confirmée jusqu’ici par l’Elysée, tout autant que la partie malgache n’a pas encore reçu de demande d’agrément. La question était-elle au …menu à l’Hôtel Matignon ? Qui plus est, au lendemain de la « victoire » malgache au Québec ?
Recueillis par R. O


aerocontact.com 24/10/2008
Air Madagascar va desservir Guangzhou - Communiqué Air Madagascar
La compagnie nationale malgache s’implante en Chine 

La compagnie Air Madagascar vient d’annoncer le lancement d’une nouvelle destination : Guangzhou (ex-Canton), capitale de la Province du Guangdong et métropole de la Chine du sud, située en bordure de la Rivière des Perles.
La liaison directe d’Air Madagascar reliant Antananarivo à l’aéroport de Guangzhou-Baiyun débutera le 1er Juillet 2009. Elle sera opérée sur B767-300 bi-classe à raison de deux fréquences hebdomadaires via Bangkok. 
A l’aller, les vols partiront d’Antananarivo-Ivato les Lundis et Vendredis. Les vols retour quitteront Guangzhou les Mardis et Samedis.
Guangzhou est la troisième métropole de Chine sur le plan économique après Beijing et Shanghai, et la seconde en termes de PIB par habitant après Shenzhen.
La ville de Guangzhou est fondamentalement ouverte sur le monde puisque la Province qu’elle dirige réalise à elle seule 37% du commerce extérieur chinois, et concentre un tiers de l’investissement étranger en Chine.
Pour Air Madagascar, le choix de Guangzhou est bien évidemment motivé par la nécessité pour une compagnie aérienne internationale de prendre pied sur le marché chinois, qui connaît actuellement une croissance exponentielle. 

Il est également justifié par le très fort développement des échanges économiques entre Madagascar et la Chine, lié notamment à l’expansion des industries minières et du BTP sur la grande Ile.
Air Madagascar est déjà présent sur le continent asiatique puisque la compagnie nationale malgache relie son hub d’Antananarivo à l’aéroport international de Bangkok à raison de deux fréquences hebdomadaires sur B767-300, avec un stop à la Réunion. 
Cette liaison connaît d’ailleurs un succès croissant, ce qui ne peut qu’encourager Air Madagascar à développer à terme sa présence sur le continent asiatique.
Pour mémoire, la compagnie nationale malgache a également signé un accord de partage de codes aériens avec la compagnie Thaï Airways. Dans le cadre de cet accord, Thaï Airways commercialise sous numéro de vol et code TG la liaison bi-hebdomadaire d’Air Madagascar entre Bangkok et Antananarivo.
L’accord de partage de codes aériens permet également à Air Madagascar de commercialiser les liaisons de Thaï Airways entre Bangkok et Singapour, Kuala Lumpur et Hong Kong.
Air Madagascar a également signé des accords tarifaires avec la compagnie Thaï Airways permettant à la compagnie nationale malgache de proposer à ses clients des tarifs de bout en bout à destination de 30 autres villes en Asie et en Australie : Jakarta, Taipei, Denpasar, Beijing, Shanghai, Xiamen, Chengdu, Kunming, Hô Chi Minh-ville , Kolkata, Hanoi, Auckland, Melbourne, Brisbane, Perth, Séoul, Osaka, Tokyo, Nagoya, Fukuoka, Kaohsiung, Delhi, Chennai, Mumbai, Bangalore, Hyderabad, Karachi, Lahore, Vientiane et Phnom Penh.
A propos d’Air Madagascar 
Sur les vols Air Madagascar, que ce soit à bord de la Classe Affaires, où tout a été étudié dans les moindres détails pour garantir un confort absolu, ou en Classe Economique, les passagers sont plongés dans l’ambiance de Madagascar dès l’embarquement. Le personnel, chaleureux et trilingue français, anglais, malagasy, est formé pour offrir un service sur-mesure. 
A noter : Air Madagascar offre des réductions sur le réseau intérieur en continuation d’un vol long courrier sur la compagnie si le billet est acheté en France. La Compagnie propose également des tarifs réduits pour les enfants.
La sécurité et le bien-être de ses clients sont les priorités d’Air Madagascar, qui applique des mesures très rigoureuses pour la maintenance de ses avions. Fidèle à cette politique de fiabilité, la compagnie malgache est titulaire de la certification de maintenance aéronautique PART-145 délivrée par les autorités européennes de l’aviation civile. En outre, l’IATA a accordé la certification IOSA (IATA Operational Safety Audit) à Air Madagascar depuis le 16 décembre 2007.
Informations / Réservations : - Professionnels : 01 53 27 68 27     /  - Grand Public : 0 892 70 18 19  ou sur www.airmadagascar.com 

Agence Casa Del Sol : Bernadette PY   /   Tel : 01 40 41 67 00    E-mail : bernadette"at"casadelsol-rp.com 


Les Nouvelles 24/10/2008
DIPLOMATIE : L'Arabie Saoudite coopère avec notre pays  - Manohisoa
La République de Madagascar et le royaume de l'Arabie Saoudite ont établi des relations diplomatiques. Cette coopération a pour but de renforcer les partenariats dans les domaines politique, économique, commercial, technique et culturel. Le protocole y afférant a été, en effet, signé le 22 octobre à New York par l'ambassadeur Zina Andrianarivelo du côté malgache et par Abdullatef Sallam, chargé d'affaires ad intérim du côté saoudien. 
Lors de cette cérémonie, la partie saoudienne a souhaité la participation de Madagascar à la réunion de haut niveau des Nations Unies consacrée au dialogue interculturel et interreligieux pour la paix, qui se tiendra à New York les 12 et 13 novembre prochains. 


Xinhuanet.com 23/10/2008
Madagascar va élaborer une stratégie pour promouvoir ses exportations - Xinhua

Des responsables gouvernementaux et des experts économiques du Madagascar ont commencé un atelier de 3 jours à Antananarivo mardi pour élaborer une stratégie visant à promouvoir les exportations de la grande île de l'océan Indien vers les pays européens et ailleurs. 
Ouvrant l'atelier, parraîné conjointement par le Conseil économique et de développelent de Madagascar (Economic and Development Board of Madagascar) et l'ambassade de Madagascar à Bruxelles, le secrétaire général du ministère de l'Economie, du Commerce et de l'Industrie Randrianarison Jean Gabriel a exhorté les participants à identifier les secteurs spécifiques pour la promotion des exportations. 
Le responsable a indiqué à cette occasion que le gouvernement voudrait faire de son mieux pour soutenir le secteur de l'exportation en vue d'atteindre ses objectifs, ajoutant que les producteurs malgaches devraient améliorer la qualité de leurs produits suivant les normes internationales afin de répondre aux besoins mondiaux et d'être les bienvenus sur le marché international. 
L'atelier devrait aussi trouver les opportunités des produits de Madagascar sur le marché international ainsi que les possibilités à Madagascar que les opérateurs étrangers pourraient ne pas savoir. 
Les exportations de café, de vanille, de fruits de mer, de fruits et légumes frais transformés, de textiles, d'huiles essentielles, de fleurs et de produits biologiques constituent les principales sources de devises de Madagascar, rapportant chaque année à ce pays près d'un milliard de dollars américains. 
Le gouvernement malgache a, ces dernières années, fait de grands efforts pour promouvoir le pays dans le monde en organisant une tournée de présentation dans d'autres pays, en envoyant de fonctionnaires pour trouver les besoins internationaux, en invitant les opérateurs internationaux pour découvrir Madagascar et en organisant la table ronde avec les partenaires et les bailleurs de fonds. 


Lutteouvrierejournal.org 23/10/2008
Dans le monde : Madagascar : le pillage par Rio Tinto - René CYRILLE
La population de Madagascar, île de l'océan Indien, est l'une des plus pauvres d'Afrique. Cependant, elle recèle de l'ilménite, un minerai de titane utilisé principalement dans la peinture et la sidérurgie. Cela attise la convoitise du trust minier, Rio Tinto, l'un des plus puissants qui n'a pas lésiné sur les moyens pour exploiter l'ilménite. 
Via l'une de ses filiales malgaches, Qit Madagascar Minerals (QMM), cette compagnie minière anglo-australienne, a investi près de 850 millions de dollars pour extraire le minerai, ce qui ferait de Fort-Dauphin un pôle industriel important. Pour arriver à ses fins, la compagnie a dû mettre dans sa poche le gouvernement malgache et bien des politiciens locaux.
Le procédé a été fort simple, banal même. Le trust, ayant trouvé un gisement à exploiter, a mis en place une filiale qui doit assurer l'exploitation du minerai, pendant plus de quarante ans. Pour sauver les apparences, la multinationale a accordé au gouvernement malgache la possibilité de devenir actionnaire symbolique de sa filiale à hauteur de 20 %, se gardant pour elle 80 % du capital. L'État malgache s'est chargé de financer toutes les dépenses d'infrastructure, s'endettant au passage, tandis que le trust extraira le minerai, le transformera ailleurs, le revendra sur le marché mondial et empochera le pactole.
Aujourd'hui, l'État malgache, déjà fortement endetté, risque de ne pas pouvoir faire face à ses engagements financiers dans la construction du port nécessaire pour l'exportation du minerai. Mais qu'importe, dans cette opération financière, les dirigeants de l'île sont surtout préoccupés de savoir quelle part, quelles miettes ils pourront récupérer pour eux et leur clique. Quant à Rio Tinto, il augmentera ses bénéfices déjà considérables.
Ainsi, le pillage du minerai de Madagascar est en marche avec la complicité du gouvernement malgache. La population pauvre en fait d'ores et déjà les frais. Des villageois ont été chassés par la force de la zone de production. Les maigres indemnités consenties par le trust minier ne leur ont même pas permis d'acheter un nouveau lopin de terre à cultiver. Les pêcheurs ont été priés manu militari de déguerpir et de trouver d'autres zones de pêche. À cela s'ajoute la destruction de tous les écosystèmes uniques, comme la forêt tropicale, le littoral, et la mangrove qui se trouvent dans la zone d'extraction du minerai.
Les profits et les richesses pour la multinationale et pour les autorités corrompues, les coups et la misère pour les masses pauvres malgaches, advienne que pourra, pourvu que l'impérialisme s'enrichisse. Voilà la réalité du pillage de Madagascar.


Les Nouvelles 22/10/2008

LUTTE CONTRE LA PAUVRETE : Le Pnud se focalise sur l'Atsimo Andrefana - Loïc Henintsoa 
Dorénavant tous les projets du programme des Nations unies pour le développement (Pnud) se feront directement dans deux régions, Atsimo Andrefana et Vatovavy Fitovinany, à partir de cette année. La signature de convention pour cette nouvelle approche pour la région Atsimo Andrefana a eu lieu lors de la journée internationale pour l'élimination de la pauvreté à Toliara. Ce projet durera trois ans et devrait réduire le taux de chômage et d'analphabétisme et donner un coup de pouce au développement du secteur privé à partir de l'année prochaine.
La journée internationale pour l'élimination de la pauvreté a été célébrée à Toliara cette année. C'est une journée à marquer d'une pierre blanche pour l'Atsimo Andrefana, l'une des heureuses élues par le Pnud pour recevoir tous les projets de développement initiés par cette institution onusienne.
Un partenariat entre le Programme des Nations unies pour le développement (Pnud) et la région Asimo Andrefana a ainsi été signé vendredi à Toliara dans les locaux de la région. Le Pnud a décidé dorénavant de concentrer ses actions dans deux régions : Atsimo Andrefana et Vatovavy Fitovinany, pour voir si les impacts de leur intervention sont plus conséquents grâce à la concentration des projets.
Une enveloppe de plus 450 000 USD
Des enveloppes de plus de 450 000 USD seront allouées à la région. Elles serviront à soutenir les structures de la décentralisation dans la réalisation du programme national de plein emploi. Le but est de permettre de travailler et d'être productifs aux jeunes et aux handicapés qui se sont écartés du système scolaire. Une autre enveloppe concerne le renforcement de capacité de la région Atsimo Andrefana pour cette année. 
Corneille Agossou, représentant résident adjoint du Pnud, précise que «la concentration des projets du Pnud dans seulement deux régions a débuté cette année et plusieurs points seront abordés dont le développement, l'alphabétisation et la microfinance pour ouvrir aux pauvres l'accès aux services financiers.» 
Pour le ministre coach, il est temps de se préparer à des changements économiques et mentaux fondamentaux en raison de la crise financière mondiale. «Il est temps d'agir en se basant sur ses propres forces» souligne Rolland Randriamampionona, et la région Atsimo Andrefana a des atouts indéniables en matière de mine, d'agriculture, d'élevage, de pêche et de tourisme qu'il faut mettre plus en valeur. 
Cette journée est célébrée dans plusieurs pays depuis 1993 et cette année, elle a pris pour thème «droit de l'homme et dignité des personnes vivant dans la pauvreté». Une exposition s'est tenue sur ce thème à Toliara. 


Express Mada 22/10/2008
Crise financière : Le secteur privé s’inquiète - Lantoniaina Razafindramiadana

Madagascar n’est pas à l’abri de la crise financière. C’est l’avis des membres du secteur privé étant donné que les États-Unis et l’Europe constituent les principaux clients des opérateurs malgaches.

Les industriels dans l'embarras. La baisse du pouvoir d'achat de la population des pays touchés par la crise financière, notamment européens et américains, se répercute sur les activités des industries malgaches. Le secteur crevettier a été l'une des premières victimes.
De par leur prix élevé, les crevettes malgaches mises en vente sur le marché européen ont perdu leur compétitivité. «Le pouvoir d'achat s'effrite en Europe à cause de la crise, si bien que la population se soucie peu de la qualité et se rue surtout sur les produits qui sont les moins chers», déclare Hery Ranaivosoa, président du Syndicat des industries de Madagascar (SIM). 
Le textile dans le collimateur
Selon ce responsable, il y a un surstockage de ce produit qui est de 7 500 tonnes en Europe. Cette situation a conduit, récemment, à un licenciement massif à Besalampy au sein de la société Aqualma. 
Les entreprises franches du secteur textile subissent aussi le même sort. Bon nombre d'entre elles ont recours au chômage technique depuis des mois. La réduction des commandes provenant des États-Unis en est la raison principale. 
«Les commandes pour la nouvelle saison sont en cours, et avec la crise, il se pourrait qu'elles enregistrent une baisse», avance toujours le président du SIM. «Les entreprises choisissent alors de licencier ou de mettre leur personnel en chômage technique», continue-t-il. 
Cette affirmation est partagée par un opérateur œuvrant dans les PME. «Si les entreprises trouvent qu'elles ne sont plus rentables, il faut qu'elles prennent les décisions qui s’imposent pour leur survie», déclare cet opérateur. 
«Toutefois, ces dernières ne sont pas prises à la hâte, elles doivent tenir compte des employés», poursuit-il. En principe, le budget affecté au personnel dépend de la rentabilité de l'industrie. 
«Les charges de personnel s'établissent au maximum à 12 % du chiffre d'affaires annuel de la société. Si cette part est dépassée, des licenciements s'effectuent au niveau des entreprises», explique Roger Ralison, un économiste.
Les industries importatrices d'intrants des pays européens et américains se voient confrontées à des problèmes dûs au système bancaire de ces derniers. Ce n'est pas le cas pour celles qui importent des matières premières provenant, par 

Le président du syndicat des industriels de Madagascar, Hery Ranaivosoa, ne cache pas ses préocupations.

exemple, de la Chine ou de l'Inde.
Encadré : Débouchés uniques
Les États- Unis et l'Europe sont les principaux débouchés des produits malgaches. 71% de nos exportations sont acheminées vers l'Union Européenne, contre 17% pour les USA. En ce qui concerne l'Inde et le Singapour, leurs parts respectives sont de 3,6 % et 2,3%. En terme de quantité, la crevette représente 12% de nos exportations en 2006 contre 35% pour les pierres précieuses et semi-précieuses. Un atelier sur la promotion des exportations se tient, actuellement, à l’hôtel Colbert. Il vise l'identification de nouveaux marchés et de nouveaux produits.


rfi.fr 18/10/2008

Rejoignez le jury du Prix Découvertes RFI 2008

Radio France Internationale organise depuis 1981 le prix Découvertes RFI. Ce prix constitue pour les artistes et les groupes d'Afrique, des Caraïbes et de l'Océan Indien un appui déterminant au développement de leur carrière sur le marché du disque et du spectacle vivant.    ... Cliquez-ici 

 Le Prix Découvertes RFI a contribué au lancement de nombreux artistes : Tiken Jah Fakoly (Côte d'Ivoire), Rokia Traoré (Mali), Didier Awadi (Sénégal), Sally Nyolo (Cameroun), Rajery (Madagascar), Habib Koité (Mali), Beethova Obas (Haïti), Régis Gizavo (Madagascar), Idrissa Soumaoro (Mali), Tchéka (Cap Vert), Bélo (Haïti) et Mounira Mitchala (Tchad)… Le Prix Découvertes RFI est organisé en partenariat avec l’Organisation Internationale de la Francophonie, le Ministère des Affaires étrangères, CulturesFrance, la SACEM et l'Alliance Globale pour la Diversité Culturelle de l'UNESCO.
Le lauréat 2008 recevra un prix de 7000 euros et une bourse d’aide au développement de carrière de 12 500 euros allouée par le Ministère français des Affaires étrangères. Il bénéficiera également d’une tournée en Afrique avec Culturesfrance, d’une programmation au Festival Musiques Métisses 2009 octroyée par la SACEM et d’une campagne de promotion internationale sur les antennes de RFI et de ses radios partenaires dans le monde.
Lancée au mois d’avril, l’édition du concours « Découvertes RFI 2008 » a clôturé le 1er juillet dernier la date de réception des dossiers de candidature. 

Le lauréat de cette année sera désigné par les membres du jury, présidé par TIKEN JAH FAKOLY, qui se réuniront, à Antananarivo (Madagascar), le 13 novembre prochain.

Votez pour votre finaliste :       ... Votez-ici 
« Le résultat du vote des internautes qui durera un mois et qui s’arrêtera le 5 novembre, c'est-à-dire une semaine avant le concert des finalistes du 13 novembre, sera comptabilisé comme une voix qui s’ajoutera aux voix du jury (cf. Article 6 du règlement)».

Votez pour votre finaliste:

Prix Découvertes RFI 2008 ( ... )

Mikea (Madagascar) 
MIKEA, alias Théo RAKOTOVAO, est un natif du Masikoro, au sud de Madagascar. Il mélange Beko (complainte du sud de Madagascar) et Blues pour créer des chansons simples qui véhiculent toutes un message généreux. Sa voix chaude et puissante n’hésite pas à monter dans les aigus pour dramatiser certains passages profonds. Il crée ainsi un mélange subtil plein de feeling et d’émotion. MIKEA a su habiller sa musique en y incorporant des éléments du blues et du folk, tout en gardant les spécificités de ses racines malgaches. 

Cet univers acoustique particulier confère à sa musique un caractère universel qui le démarque de l’ensemble des productions malgaches.

 

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Les Voeux  Rainizafimanga

2008 2008

Tribune Mada 25/10/2008
Crise financière : Ravalomanana répond à Radavidson - par Manjaka Hery

 « La crise financière qui secoue actuellement le monde occidental est une aubaine pour les pays pauvres comme Madagascar », selon le Président de la République, Marc Ravalomanana à son arrivée à l’aéroport d’Ivato dans la nuit de mercredi dernier. Une affirmation qui répond et contredit l’affirmation de l’ancien ministre de l’économie du régime actuel, Radavidson Andriamparany, à la Radio Don Bosco, il y a quelques jours. Selon Radavidson Andriaparany, la crise financière aura des impacts dans les pays pauvres. Les investisseurs ont fait des emprunts dans les banques étrangères pour investir dans les pays pauvres. Donc ces investisseurs seront victimes de la crise financière également, explique Radavidson Andriamparany. Il y a aussi les filiales des banques-mères dans les pays pauvres. Ces filiales seront affectées par la crise subie par la banque-mère, selon l’ancien ministre de l’Economie, du Budget, et des Finances publiques. Ce dernier a quand même tempéré ses propos en diéclarant que ce n’est pas la même crise que celle des années 1929 et 1930.
Le cas de Sheritt

Pour la première fois, on a entendu que la crise financière mondiale est bénéfique. 

Pour le Président de la République Marc Ravalomanana par contre, cette crise profite au pays pauvre. Pour cela, il a pris le cas de Sherrit. Si cette dernière a eu l’intention de faire appel à 4 000 expatriés pour ses investissements à Madagascar. Après cette crise, les dirigeants de Sherrit sont revenus sur leurs décisions et se sont tournés vers les mains d’œuvres malgaches, faute de budget suffisant, selon les explications fournies par le chef de l’Etat à Ivato mercredi dernier. Cette crise financière a aussi entraîné la baisse du prix du pétrole vers 70 dollars du baril, selon toujours le chef de l’Etat. Cette baisse de prix est due au ralentissement de l’économie des pays gros consommateurs de pétrole. Ainsi, nous devons au contraire profiter de cette occasion, toujours selon lui.
Ainsi, sans faire une déclaration directe, Marc Ravalomanana a répondu à Radavidson Andriamparany, sans le dire ouvertement. Pour l’ancien ministre de l’Economie, du Budget et des Finances publiques, il a rappelé à tout le monde qu’il a été l’économiste du régime actuel, avant d’être transféré vers le département ministériel de l’Education nationale, pour être remercié par la suite. Le chef de l’Etat a expliqué à l’époque que ce ministre allait occuper un autre poste, qui n’a pas encore vu le jour aujourd’hui.


Midi Mada 25/10/2008
Deux femmes malgaches meurent au Liban  - Aina R.
Deux femmes malgaches ont trouvé la mort au Liban, a-t-on appris. La première aurait été tuée dans un accident survenu le 3 octobre dernier. La circonstance exacte de cet accident reste inexpliquée. Qui plus est, aucune information n’a été communiquée à la famille de la victime. La dépouille mortelle a été rapatriée et son enterrement s’est déroulé samedi dernier dans son village natal. 
Idem pour la seconde, elle a trouvé la mort mardi dernier dans une circonstance nébuleuse. Ce qui laisse penser aux membres de sa famille à une mort suspecte. Le corps sans vie de cette travailleuse malgache n’est pas encore rapatrié dans la Grande Ile. En attendant, les membres de sa famille se demandent si elle a été victime de mauvais traitement.
Effectivement, la plupart des femmes travailleuses malgaches au Pays des Cèdres sont placées comme « gens de maison » chez des employeurs Libanais aux quatre coins du pays, et elles subissent des mauvais traitements. La preuve, dès leur arrivée, leurs billets de retour, leurs contrats de travail ainsi que leurs papiers d’identités son confisqués. Elles sont interdites de tout contact à l’extérieur du domicile des employeurs, sans parler des violences physiques, de la discrimination raciale et de la malnutrition. Une situation qui inquiète plus d’un. 
Le sort de ces employés malgaches « disparus » au Liban reste inconnu. Et ce, malgré les innombrables plaintes déposées par les victimes et leurs familles auprès de l’administration malgache. Des questions se posent actuellement : combien de Malgaches restent toujours bloqués au Liban ? Combien sont rentrés au pays? Jusqu’à présent, aucun chiffre n’existe.


lavoixdunord.fr 24/10/2008
Actualité Montreuil : Le Père Pedro est venu parler de ce qu'il a entrepris à Madagascar - La Voix du Nord 

Le père Pedro est venu en France pour parler de l'oeuvre extraordinaire qu'il poursuit à Madagascar depuis quinze ans. Samedi soir, il animait une messe émouvante à l'église Jeanne d'Arc. 
L'homélie du père Pedro a touché les coeurs, et a provoqué en final des applaudissements spontanés. Il était entouré de l'abbé Leprêtre, de l'abbé Léonce et du Père André-Marie. Bien connu dans la station, celui-ci, avec son équipe de La Demeure basée à Croixrault, soutient depuis des années le Père Pedro par la fabrication et la vente d'objets.
A Madagascar, le Père Pedro, en vrai disciple de saint Vincent de Paul a soutenu et soutient des dizaines de milliers de personnes parmi les plus pauvres du monde, qui végétaient sur la décharge de Tananarive. Avec lui, dix-sept villages ont été construits. L'urbanisme, l'hygiène, l'enseignement et l'agriculture ont trouvé une place de premier choix dans le pays et 420 collaborateurs malgaches l'entourent. 
Après la messe, la municipalité, représentée par Madeleine Deramecourt, proposait le pot de l'amitié dans l'annexe pour que les paroissiens puissent approcher ce prophète d'aujourd'hui. • 

Le père Pedro (ici en compagnie de l'adjointe au maire, Madeleine Deramecourt) a su captiver son auditoire. | LE TOUQUET |


lepetitjournal.com 23/10/2008
Francophonie –Après le Québec, Madagascar 

Le 12e sommet de la francophonie organisé ce week-end à Québec a abouti à deux grandes décisions. Les chefs d'Etats et de gouvernements de la Francophonie se sont engagés à contribuer à une réduction de moitié d'ici 2050 des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Par ailleurs, ils se sont unis contre la crise mondiale en décidant de convoquer un sommet élargi qui réunira d’abord le G8, plus le G5 (Chine, Inde, Afrique du Sud, Mexique et Brésil), Banque mondiale et le FMI. Mais pour la suite," il faudra bien impliquer les pays en voie de développement" a estimé Stephen Harper, le Premier ministre canadien lors de son discours de clôture puisque l’idée est de refonder intégralement les institutions financières. L'OIF qui compte désormais 70 pays –dont l’Arménie, nouvel entré et représente plus de 200 millions de francophones dans le monde organisera son prochain sommet en 2010 à Madagascar.. M.G


Tribune Mada 23/10/2008
Aquaculture : Les Gambas Bio de Madagascar « Oso » élu meilleur « crustacé » de l’année en France
Pour la quatrième année consécutive, la gambas Bio d’Oso, du groupe Socota de Madagascar est élue meilleur « Crustacé » de l’année par les professionnels et les consommateurs français. La cérémonie de remise de trophée, présidée par Luc Chatel, Secrétaire d’Etat à la Consommation et l’Industrie du gouvernement français, a eu lieu cette semaine à l’Olympia à Paris. Jean-Claude Zoulalian, représentant officiel d’Oso, a reçu les deux trophées des « Saveurs », pour la catégorie « Crustacés » et pour la catégorie « Libre Service Surgelés » à cette occasion. Ces trophées démontrent que les Gambas Bio de Madagascar, a une fois de plus tenu son rang de Numéro 1 du goût et de la qualité sur le marché français. Oso rentre désormais dans la légende de l’alimentaire en France comme un des rares produits récompensés pendant 4 années consécutives « un grand chelem ».
Récompense pour Maintirano et Ankarana
La récompense s’adresse surtout à Madagascar et aux équipes de production de l’Ankarana et de Maintirano, selon le représentant d’Oso. La démarche Bio de l’équipe Oso est avant tout respectueuse des hommes, de l’environnement et des animaux.

Alors qu’il est question d’un plan de relance de la filière crevettière malagasy, Oso apporte une réponse « qualité » et sort son « antenne » du panier où crabes et autres crustacés se démènent pour retrouver une place au soleil.
Respect de la nature
Le contexte économique mondial actuel appelle à de nouvelles redistributions de cartes. Le responsable du groupe note qu’ « Oso souhaite satisfaire ses clients à 200% avec une empreinte environnementale et sociale d’exception doublée d’une innovation produit permanente ». En plus du Bio dans l’élevage de crevettes, Oso se concentre désormais dans la certification MSC « pêcherie responsable » pour ses crevettes sauvages capturées dans l’Océan Indien au large des régions du Menabe et du Melaky.
par Léa Ratsiazo 


Midi Mada 23/10/2008
Crise financière : Une menace sur nos réserves en devises - R.Edmond
La Banque Centrale est appelée à faire preuve d’énormément de prudence afin d’éviter tout risque de changes
Le crise financière constitue une réelle menace sur l’économie malgache. Le secteur privé vient de tirer la sonnette d’alarme et l’administration commence de plus en plus à prendre conscience des dangers représentent les possibles répercussions du krash sur différents secteurs économiques du pays. Un haut responsable du domaine financier nous a, par exemple, déclaré que « la crise financière qui frappe actuellement le monde est une menace sur les réserves en devises du pays ».
Risques
En effet, la Banque Centrale de Madagascar est en relation non seulement avec les autres banques centrales du monde mais également avec des banques primaires d’autres pays. Ces partenaires internationaux de la BCM étant eux-mêmes en difficulté, cette dernière s’expose également à un certain nombre de risques. « La Banque Centrale de Madagascar doit faire preuve de beaucoup de prudence dans sa politique monétaire et de gestion », selon toujours notre source. Mais l’autre facteur qui pourrait diminuer les réserves en devises, c’est la possible baisse des rentrées de devises. Baisse consécutive elle-même à la suspension de certains chantiers, ou encore aux difficultés rencontrées par les grandes entreprises exportatrices. Il en est ainsi, par exemple, de l’exportation de crevettes dont le volume baisse actuellement de moitié.
Suffisantes
En tout cas, malgré cette menace, l’on apprend de source auprès de la Banque Centrale que les réserves en devises demeurent encore relativement suffisantes pour faire face aux importations et autres échéances. « Les réserves en devises de la Banque Centrale tournent encore autour du milliard de dollars », indique-t-on. D’ailleurs, ce confortable matelas de devises constitue probablement l’un des facteurs qui favorise la stabilité de l’ariary sur le MID. En effet, malgré un euro très fort ces derniers temps, l’ariary continue d’afficher une certaine stabilité sur le MID. Au cours de la semaine dernière, par exemple, le cours le plus bas de l’euro était de 2349,46 Ar et le plus haut, de 2362,78 Ar. Le dollar, quant à lui, n’a pas dépassé les 1760 Ar.


allAfrica.com 22/10/2008
Madagascar: La RN6 désenclave quatre régions - L'Express de Madagascar- Stéphane Solofonandrasana
Quitter la ville d'Ambanja le matin pour faire ses courses à Antsohihy, puis revenir chez soi pour déjeuner. Tout est redevenu possible après la réfection de la route nationale 6, longtemps laissée dans un état de délabrement total. La durée de cinq jours, voire d'une semaine pour parcourir le trajet Ambondromamy- Ambanja, est classée comme un souvenir cauchemardesque.
Par contre, si le tronçon de 309 km, réhabilité par l'Union européenne, et reliant les villes d'Ambanja et de Port Bergé est complètement praticable, la portion de 30 km située entre Boriziny et le village de Tsarahasina inquiète encore les usagers, surtout en cette veille de la période de pluies.
«Je n'ai jamaisimaginé que le bitumage de la RN6 soit réalisable. Je transportais mes marchandises en bicyclette quand j'ai débuté mes activités commerciales, en 1999. Les véhicules motorisés se faisaient rare et le frais coûtait cher », déclare Jaomora, commerçant à Befotaka, une localité située à 60 km au nord d'Antsohihy. Il attend impatiemment le départ du taxi-brousse le conduisant vers son village.
Sur une distance d'un peu moins de 800 km, la RN 6 relie directement six chefs-lieux de districts des régions Sofia et Diana. Elle permet aussi de désenclaver quatre régions du Nord de Madagascar, dont Sofia, Diana, une partie de la région Boeny et indirectement la Sava.
Outre le transport des produits, notamment agricoles, la réhabilitation de cet axe nord a facilité l'accès de la population riveraine aux différents services sociaux de base. En effet, le flux y a triplé depuis la fin de la réfection de la route.
Avantages
Le transport de personnes n'est pas en reste. Le déplacement dans la région a de plus en plus augmenté, malgré l'état lamentable d'une partie du réseau routier dans la circonscription.
«La réhabilitation de la route est indispensable. Elle permet à la population de s'approvisionner et de satisfaire au mieux leurs besoins. L'essentiel est de permettre aux gens de communiquer entre eux», avance Jean Claude Boidin, chef de la délégation de la mission de l'Union européenne à Madagascar.
Jusqu'à présent, la sortie effective de la pauvreté reste un combat de longue haleine pour les régions directement concernées. Beaucoup d'efforts doivent être entrepris dans d'autres domaines, dont la construction de routes de nécessité vitale afin de désenclaver des dizaines de communes et quelques districts.
De même, malgré les avantages ressentis par tous les usagers de cette route nationale nouvellement réhabilitée, la pérennisation de l'infrastructure constitue un grand souci, aussi bien pour les bailleurs de fonds que le gouvernement. De nouvelles approches sont donc mises en oeuvre.


Tribune Mada 22/10/2008
Marc Ravalomanana : « Si Madagascar avance, la France est fière » -  par RAW 
« Si Madagascar avance, la France est fière ». C’est Marc Ravalomanana qui répond à Christophe Boibouvier de RFI sur la place de la langue française et indirectement sur les rapports avec la France. En tout cas, le président Ravalomanana a été clair. Il parle de mieux en mieux le français et son interlocuteur l’a noté. Le président qui bégayait en 2002, a fait beaucoup de progrès et se défend de divulguer son professeur de français.
En tant qu’homme d’affaires, il sait négocier et le résultat est là. Madagascar a séduit la communauté francophone. « Je ne suis pas (Paul) Kagame, je suis Marc Ravalomanana », a-t-il poursuivi pour affirmer que Madagascar a signé le Pacte de la Francophonie. Cela n’empêche que Marc Ravalomanana veut utiliser les deux langues de communication, le français et l’anglais car à son avis, cela développe le pays et c’est le résultat qui compte.
La réponse est appropriée mais elle sème le doute au sein de la population qui s’interroge sur les objectifs du président : est-ce pour séduire les étrangers et les bailleurs de fonds et autres pays amis ou pour sortir le pays de la pauvreté ? En tout cas, une frange de l’opinion note l’imbrication sinon la dépendance totale du pays et de leurs dirigeants vis-à-vis de l’extérieur.


Moov.mg 25/10/2008
Felaniary interview
Ayant entré depuis peu sur la scène malgache, l’artiste nous raconte son parcours. Son style de musique est un peu unique, on a du mal à lui donner un nom
*Felaniary, pourriez vous vous présenter à nos lecteurs ? 
Je m’appelle Johary Felaniary, j’ai 35 ans, marié et j’ai deux enfants. Certains me connaissent chanteur mais je suis également Gérant d’une société. 
Je suis quelqu’un d’assez impatient, de timide et un peu gros :) 
*Comment avez-vous commencé la musique ? 
Je fais partie d’une chorale depuis mon enfance. Je pense que chanter est un don de Dieu. C’est pour cette raison que la musique pour moi est d’abord une passion. 
En 1991, j’ai participé à la dernière édition de TOP 16. C’était un concours musical mais qui n’a malheureusement pas continué suite aux événements politiques de l’époque. Je suis tout de même parvenu aux demi-finales du TOP 16. Les grands artistes comme Rija Ramanantoanina, Bodo et Njakatiana y sont déjà passés avant moi je pense. 
Après cela, je me suis lancé dans une carrière solo 1991 à 2001. J’écris et compose moi-même mes chansons. J’ai commencé à propager ma musique sur les médias et à faire des cabarets. En 2002, j’ai décidé de créer un groupe avec 9 membres toujours sous le nom de Felaniary. 
*Parlez-nous de Felaniary en tant que groupe ? 
Nous avons un style un peu particulier, c’est une sorte de mélange de variété, de jazz, de fusion et tout simplement de musique malgache. Nous avons sorti notre premier album « Sendra ny tiana » avec 10 titres en 2007, la même année, on a fait notre premier concert. 
Le 17 octobre dernier, le second album «Ho tia » est sorti et on fera le concert de promotion le dimanche 2 novembre au CCESCA à 15h. 

Felaniary © dts

*Le groupe a-t-il des projets en vue ? 
Jusqu’ici, j’ai écris en tout 50 chansons et nous pensons sortir un album par an. Le public pourra d’ailleurs déjà entendre quelques titres du troisième album lors de ce concert du 2 novembre. 
*Comment situeriez-vous votre musique dans le paysage culturel malgache actuel? 
C’est vrai qu’on a un peu de mal à nous classer mais on a fait exprès de ne pas suivre les tendances musicales. On a débuté en 2001, je pense qu’avant ça, tous les rythmes sont passés sur les ondes. Nous, on a décidé de faire une musique propre à nous, à notre image. 
Beaucoup de jeunes artistes envahissent la scène malgache actuellement mais notre musique est loin d’être commerciale car c’est le fruit d’une passion. C’est une bonne chose que Madagascar dispose de plus en plus d’artistes mais je crois qu’il serait très sage de demander d’abord conseils à nos aînés avant d’entamer une carrière musicale. Moi-même, j’ai demandé conseils à Henri Ratsimbazafy avant de sortir mon album. 
*Merci à Felaniary et on vous souhaite du succès dans votre carrière
© dts 

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