... le monde entier
a les yeux braqués sur Madagascar ...

|
«
Sommes-nous tolérants ?...
»
|
L'intolérance a toujours été présente dans l'histoire humaine. Elle a déclenché la plupart des guerres, alimenté les persécutions religieuses et les confrontations idéologiques violentes.
Le 12 décembre 1996,
l’Assemblée générale des Nations Unies, proclame le 16 novembre « journée internationale de la tolérance » et définit la tolérance en ces termes : « La tolérance est le respect, l'acceptation et l'appréciation de la richesse
|
|
et de la diversité des cultures de notre monde, de nos modes d'expression et de nos manières d'exprimer notre qualité d'êtres humains. Elle est encouragée par la connaissance, l'ouverture d'esprit, la communication et la liberté de pensée, de conscience et de croyance. La tolérance est l'harmonie dans la différence »
Au vu de cette définition, et à l’aube de cette journée, posons-nous la question « sommes-nous tolérants ? »
Certainement, dirons-nous. Il suffit de constater ce qui nous arrive tous les jours soit :
- dans les transports en communs avec les retards, les bousculades, les odeurs, les injures quelque fois,
- au travail face à l’absentéisme de nos collègues, à l’irritabilité de nos chefs,
-dans la rue face à l’incivilité.
Tous ces désagréments nous « les tolérons » quotidiennement sans mot dire, mais est-ce vraiment de la tolérance ?
Ceci n’est-il pas seulement une abstention volontaire, une résignation devant des situations contre lesquelles nous n’y pouvons rien . On pourra même considérer cette attitude comme de
l’abnégation.
|
|
Qu’est-ce donc que la tolérance ?
Appliquée au quotidien, la tolérance dépend des circonstances. Elle peut être assimilée à l’indifférence car face à certaines situations ou devant certaines attitudes, que nous ne maitrisons pas, on se dit « je m’en fous » , ou tout simplement de guerre lasse, on laisse « couler ».
Nous pouvons aussi être tolérant par malice ou par politesse de peur d’être dans une position embarrassante ou pour éviter un
conflit. Souvent, nous avons tendance à confondre « supporter » et « tolérer ».
« Supporter » suppose que nous nous donnons une limite à notre tolérance, mais que penser de celui qui tolère tout ? Ce sont des faibles
dirons-nous. ...
Lire la suite
Cliquez-ici
Mondy
de VSG
|
|
|
Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina",
Mondy a
répondu à notre appel
pour publier des Edito maintenant à
qui le tour? On vous attend edito men et edito women.
Merci d'avance!
...
Pour
Envoyer un article ou Pour nous contacter
>>
...
Lister
tous les Editos
Le
Monde 17/11/2008
Musique: Théo Rakotovao, alias Mikea, lauréat du Prix Découvertes RFI
L e chanteur malgache Théo Rakotovao, alias Mikea, s'est vu décerner ce week-end le Prix Découvertes Radio France International (RFI) 2008, par le chanteur ivoirien Tiken Jah Fakoly, président du jury, au Palais des sports d'Antananarivo, a annoncé RFI dans un communiqué.
Théo Rakotovao, qui a choisi comme nom d'ariste Mikea, du nom d'une peuplade reculée habitant dans la forêt d'épineux de la région de Tuléar, a devancé les deux autres finalistes, la chanteuse congolaise Sheryl Gambo et le rappeur camerounais VBH, et succède au palmarès à la chanteuse tchadienne Mounira
Mitchala.
Originaire du Masikoro, aux environs de Tuléar à l'extrême sud-ouest de la Grande île, Mikea, qui chante en s'accompagnant à la guitare au sein d'un trio, propose un mélange de beko, un style traditionnel de cette région proche de la complainte, et de blues, qui fait de lui une sorte de Ben Harper version malgache.
Il recevra les 7.000 euros dévolus au vainqueur, une bourse d'aide au développement de carrière de 12.500 euros allouée par le ministère français des Affaires étrangères, bénéficiera d'une tournée en Afrique et d'une programmation aux Musiques Métisses à Angoulême, l'un des plus anciens festivals de musique du monde.
Créé en 1981, le Prix Découvertes RFI a déjà notamment récompensé l'Ivoirien Tiken Jah Fakoly, la Malienne Rokia Traoré, la Camerounaise Sally Nyolo, la Zimbabwéenne Chiwoniso, l'Haïtien
Belo.
Plusieurs Malgaches figurent au palmarès, parmi lesquels le chanteur et joueur de valiha Rajery, et le trio vocal Senge, originaire du pays
Antandroy. |

|
Tribune Mada 14/11/2008
11 novembre 2008
: Hommage aux soldats malgaches morts à Bordeaux
- Recueilli par Manjakahery Tsiresena
Le Consul de la République de Madagascar, Mme Huguette Vérin, les Associations Malgaches et la Communauté Malgache de Gironde, en présence du Maire de Bordeaux-Caudéran et des élus de la ville de Bordeaux, ont rendu hommage aux Soldats malgaches morts pour la France lors de la Première Guerre Mondiale au carré militaire des Pins-Francs. Un poème malgache a été lu lors de cette Commémoration du 90ème anniversaire de l’Armistice du 11 novembre 1918 pour le respect et le repos de ces vaillants combattants qui avaient sacrifié leur vie sur l’un des innombrables champs de bataille en France. La cérémonie fût solennelle et très émouvante selon le rapport du consul. Le Consul a ainsi incité la jeune génération à perpétuer cette mémoire comme un devoir collectif pour rappeler la grandeur de ces Militaires malgaches qui en ont été les acteurs et les victimes, et redire le sens de leur sacrifice. Le consul a ainsi rendu hommage à tous ces Tirailleurs Malgaches entre autres Rabemanantsoa, Rabemolaly, Rakoto, Ralaingilo Jean-Baptiste, Ramamonjy Marcel, Ramaromanana et Randiapatsa dont les sépultures se trouvent très loin de leur terre natale.
Clicanoo.com 13/11/2008
Agriculture : La récolte approche à grands pas à Mada
Pour la deuxième année, le letchi va faire l’objet d’une manifestation à la fois culturelle, économique et touristique : le festival « Avy letchi eh ». Ce qui signifie littéralement « Le letchi arrive ».
Ce festival prévoit, du 14 au 16 novembre, à
Toamasina, la capitale économique de Madagascar et la capitale de la Région Est, diverses manifestations culturelles et sportives, ainsi que des circuits touristiques. Il est tourné autour de la promotion, d’une part, de la filière letchi et d’autre part, du secteur touristique de l’Est de la Grande Ile. C’est de cette région de Madagascar que provient en effet la majeure partie de la production de letchis du pays. “Les techniciens annoncent un début de campagne prévu entre le 10 et le 15 novembre, indiquaient récemment nos confrères de Midi Madagasikara. Les cyclones qui ont frappé cette partie de l’île en début d’année pourraient être pour quelque chose à ce mûrissement précoce des fruits dans l’Est de Madagascar. Actuellement, tout dépend de la pluviométrie mais cependant, les professionnels se disent optimistes et espèrent cueillir d’ici quelques semaines des fruits de très bonne qualité.” Une bonne partie de la récolte est destinée à l’exportation. En 2007, Madagascar a exporté 2 700 tonnes de letchis. Le letchi de Madagascar, lui, voyage par bateau vers la métropole, après un traitement au soufre qui garantit sa longue conservation mais altère rapidement son goût et son apparence. À l’arrivée, il s’écoule autour de 3 euros le kilo, de quatre à cinq fois moins que son homologue réunionnais.
moov.mg 13/11/2008
Carlos ORGA. Nouvel ambassadeur suisse
- recueillis par Dominique Ramiandrisoa
Le nouvel ambassadeur suisse, se félicite de l'image excellente de Madagascar en Suisse, notamment grâce à la création du jardin zoologique de
Masoala, à Zurich.
Le nouvel et premier ambassadeur de Suisse à Madagascar, Carlos
Orga, a présenté officiellement au Président de la République, Marc
Ravalomanana, les lettres de créance l’accréditant auprès de la République de Madagascar, hier à
Ambohitsorohitra. Les deux personnalités ont convenu de protéger et d’améliorer les investissements bilatéraux à travers la signature d’un accord cadre dans les semaines à venir. La protection des investissements constitue la base du développement des relations entre les deux pays, selon
l’Ambassadeur Carlos Orga, qui estime que le développement rural, la décentralisation et la lutte contre la corruption constituent les piliers de cette coopération. Le diplomate se félicite de l’image excellente de Madagascar en Suisse, notamment grâce à la création du jardin zoologique de
Masoala, à Zurich, et qui connaît une grande affluence. Il a fait part de sa volonté de contribuer à améliorer davantage cette image en mettant à profit ses efforts pour renforcer les relations entre les deux gouvernements.
Soutien
Le Chef de l’Etat Marc Ravalomanana s’est exprimé en faveur du soutien de la Suisse pour le renforcement de capacités à Madagascar, à travers un échange d’expériences techniques eu égard à la précision et à la discipline qui font la renommée de la Confédération Helvétique. Le Président de la République a, en outre, invité le gouvernement suisse à aligner ses actions pour Madagascar au
MAP, insistant sur la nécessité de bâtir une nouvelle coopération privilégiant le renforcement des relations diplomatiques et économiques, sans pour autant interférer dans les affaires internes de la nation. Le nouvel |

SEM Carlos
ORGA, ambassadeur de Suisse à Madagascar
© Présidence de La République de Madagascar - Photo R.Voara |
ambassadeur de Suisse a 58 ans, est licencié en sciences politiques de l'université de Berne.
Il a déjà occupé plusieurs postes de part le monde, notamment aux Etats-Unis où il a été en 2002, ministre à l'ambassade à Washington. Avant de rejoindre la Grande île, Carlos Orga était Chargé
d’Affaires a. i. à Asuncion.
exprimanoo.com 13/11/2008
Madagascar : Orange préfère les malgaches aux réunionnais
- Azrael
Orange s'attaque au très haut débit à Madagascar en voulant concurrencer l'opérateur
Telma, seul sur le marché de la fibre optique à l'heure actuelle sur la Grande île. Alors qu'à la Réunion on attend toujours un "geste" d'Orange pour soit baisser les tarifs, soit offrir un meilleur débit, voilà que le groupe national préfère offrir aux malgaches ce dont les réunionnais rêves depuis bien longtemps.
A Madagascar, on aurait pu penser que les infrastructures internet étaient pour le moins à la traîne. Que nenni ! Grâce à l’opérateur
Telma, cela fait quelques temps déjà que des axes comme
Tolagnaro, Manakara et Mananjary, Tsiroanomandidy, Ambatondrazaka et Sainte-Marie, le tout centralisé à Antananarivo, bénéficient de la fibre optique, et par conséquent du très haut débit
A la Réunion, on aurait pu pensé que ce type d’infrastructure en fibre optique était déjà opérationnelles. Et bien non, elles commencent tout juste à sortir de terre grâce à
Zeop, opérateur privé, et non France Telécom
Et qu’est-ce qu’on apprend aujourd’hui ? Que France Télécom, via Orange, va s’attaquer au marché de la fibre optique à Madagascar, histoire de concurrencer
Telma. Orange projette de relier Antananarivo dès que le câble lion (futur successeur du câble
SAFE) sera opérationnel. Orange indique déjà le tarif : pour environ 20
euros, les malgaches pourront bénéficier du très haut débit |

|
Pour rappel, à la Réunion Orange facture le 8méga (qui n’est pas du très haut débit, et qui de toute façon fournit à peine dans la réalité 2,5 mégas) à 70 euros par mois ! De même, il faut savoir que les tarifs pratiqués par Orange à Maurice par exemple sont inférieurs de ceux pratiqués à la Réunion. C’est tout simplement scandaleux et frustrant de voir Orange offrir des conditions très avantageuses à d’autres pays de
l’Océan Indien plutôt qu’à la Réunion, territoire de nationalité française, tout comme elle. Voilà encore un bel exemple qui prouve une fois de plus qu’on prend ni plus ni moins les réunionnais pour des cons et des vaches à lait.
web.worldbank.org 13/11/2008
Nutrition communautaire : Une « success story » à Madagascar
- Soanierana (Maroantsetra)
- 35% des décès chez les enfants malgaches de moins de cinq ans sont liés à la malnutrition
- La Banque mondiale a fourni 10 millions de dollars pour lutter contre la malnutrition dans l'île
- 5.550 sites de nutrition communautaires ont été établis sur l’étendue du territoire malgache
Un programme de nutrition communautaire cofinancé par la Banque mondiale connaît du succès à Madagascar, où le taux de malnutrition—42% chez les enfants de moins de 5 ans en 2003/2004— reste préoccupant.
Chaque année, ce sont près de 60.000 enfants qui meurent avant leur cinquième anniversaire, dont 35% des causes liées à la malnutrition, selon Sofia
Bettencourt, Chef-pays par intérim de la Banque mondiale dans la Grande Île. « A l'aube du troisième millénaire, cette situation est inacceptable, d'autant plus qu'elle est facilement évitable », soutient-elle.
Fort de cette observation, le gouvernement malgache a fait de la lutte contre la malnutrition l’un des piliers du Madagascar Action Plan, qui trace la feuille de route du pays pour la période 2007-2012. La lutte contre la malnutrition est également l’un des Objectifs du Millénaire pour le Développement, dont
l’Etat s’est inspiré pour la formulation d’une Politique Nationale de Nutrition, avec pour but d’en réduire le taux de moitié d’ici 2015.
C’est ainsi que 5.550 sites de nutrition communautaires ont été établis sur l’étendue du territoire malgache, appuyés par le Programme National de la Nutrition Communautaire
(PNNC). La Banque mondiale figure parmi les principaux partenaires du Gouvernement malgache dans la mise en place du
PNNC, à travers un financement de 10 millions de dollars.
« A travers le Programme national de nutrition communautaire, le gouvernement malgache avec l'appui de la Banque mondiale met en œuvre des activités destinées à sensibiliser la population malagasy sur les problèmes de malnutrition », explique Maryanne Sharp, Chargée du projet pour le compte de la Banque mondiale. |

Le centre nutritionnel de Soanierana couvre 238 enfants âgés de 0 à 59 mois. |
« En effet, l'amélioration de la connaissance de la population sur les mesures permettant d'éviter les effets néfastes de la malnutrition est vitale afin d'assurer une meilleure croissance des enfants », précise-t-elle.
Dans le district de Maroantsetra, au Nord-Est de la Grande Île, 91 sites sont actifs pour s’attaquer à un taux de malnutrition de 17%. Parmi les sites de ce district figure celui de
Soanierana, à 8 kilomètres du centre-ville. Il couvre deux fokontany (quartiers) d’une population totale de 2.645 personnes, dont 238 enfants âgés de 0 à 59 mois.
Une fois par mois, suivant un système de rotation en fonction de cinq tranches d’âge prédéfinies, les mères de famille amènent les enfants au site pour les pesées et suivre les activités d’éducation nutritionnelle. Le site de Soanierana est géré grâce à une collaboration étroite entre le PNNC, l’ONG Fagnanko et la communauté dans son ensemble.
Un pilier exceptionnel, l’agent communautaire de nutrition
Le site de nutrition communautaire de Soanierana bénéficie des services d’une animatrice exceptionnelle, en la personne de Benary. Cette mère de famille âgée d’environ 40 ans a été élue par ses pairs pour devenir l’agent communautaire de nutrition. Elle a la responsabilité de la gestion du site, qui ouvre ses portes trois fois par semaine. « Je réalise des activités avec les mères des enfants de moins de 5 ans, mais aussi pour les autres groupes-cibles du programme : les adolescentes de 13 à 20 ans, les femmes enceintes et les femmes qui allaitent », explique-t-elle. C’est elle qui préside aux pesées, donne des conseils aux mères et réalise des visites à domicile pour assurer le suivi de la croissance des enfants. C’est encore elle qui dirige les démonstrations culinaires.
Les recettes qui y sont présentées sont simples et économiquement à la portée du pouvoir d’achat des ménages, tout en étant respectueuses des principes de nutrition. Et quand certaines mères manquent d’assiduité aux séances, René, le Chef du Fokontany, n’hésite pas à faire du porte à porte pour sensibiliser les mères de famille à la fréquentation du site. Selon lui, « il est de mon devoir de le faire car il y va de l’avenir de nos enfants ».
Grâce à la synergie entre les différents acteurs, les résultats de ce site de Soanierana sont édifiants. Depuis l’ouverture du site en Novembre 2001, le nombre d’enfants dans une situation critique en matière de malnutrition a été réduit de moitié. « J’avais déjà eu trois enfants avant l’ouverture de ce site de nutrition communautaire. Ils n’ont donc pas pu bénéficier d’un suivi nutritionnel. Mon quatrième enfant a eu cette chance, et je constate vraiment qu’il est plus vigoureux et plus éveillé que ses ainés », raconte Laurence qui fréquente le centre depuis quelques mois.
Toute la communauté s’unit pour le fonctionnement du site
Le dynamisme et l’efficacité du site dépasse la responsabilité de Benary et des mères. L’association Baban’ny zaza regroupe les pères de famille, qui se chargent des travaux d’entretien de l’endroit. Le bâtiment a été construit par les habitants du fokontany, avec du matériel récupéré d’une école détruite par un cyclone.
Les familles contribuent également dans les ingrédients utilisés lors des démonstrations culinaires, et dans l’achat de certains ustensiles. Toutefois, pour éviter de mettre trop de pression sur le budget des ménages, un potager communautaire est cultivé. Les légumes qui y sont produits sont utilisés pour les démonstrations culinaires, et le surplus non utilisé est vendu pour renflouer les caisses du site de nutrition.
Cependant, si une mère de famille est en situation de difficulté pour nourrir sa famille, elle peut demander à bénéficier de légumes de ce champ communautaire. « Ce site est performant parce qu’il bénéficie d’une mobilisation exceptionnelle de la communauté, qui malgré ses conditions de vie très modestes, a réuni les énergies pour le faire fonctionner », souligne Lubna Bhayani, Economiste de santé au sein de la Banque mondiale.
En route vers les Objectifs du Millénaire
Le Premier ministre Charles Rabemananjara préside le Conseil national de nutrition. Il souligne : « Les acquis du projet de nutrition soutenus auparavant par la Banque Mondiale ont fait de Madagascar l’un des rares pays d’Afrique qui peut prétendre atteindre les Objectifs de Développement du Millénaire en matière de lutte contre la malnutrition. C’est la raison pour laquelle il a été érigé en un programme à part entière, financé par le Budget de l’Etat et intégré au sein de l’Office National de Nutrition, la nouvelle structure chargée de la coordination de la lutte contre la malnutrition à Madagascar ». Le PNNC est une composante de l’Office National de Nutrition.
Même si le challenge est immense, chaque enfant qui sort des zones de malnutrition sévère ou modérée sur les graphiques de suivi est un petit pas pour les familles, mais un pas qui compte.
Mutuelle
de Madagascar 12/11/2008
Communiqué
: appel à la solidarité pour décès d'une Malgache
- Déra RAMANDRAIVONONA
Miarahaba anareo Tompoko,
Indro alefako aty aminareo ny vaovao mampalahelo mikasika an’I Nadia Kamaria Alia, izay maty irery tao antranony niaraka @ zanany 5 taona.
Mangataka vonjy sy fanampiana ny fianakaviana mba hampodiana ny razana any Diego (tsy ao @ Mutuelle de Madagascar izy)
Voin-kava mahatratra, ny erikerika mahatondra drano fa dia manao antso avo amintsika.
Misaotra indrindra
Bonjour, Tendons leur la main.
Nom : NADIA KAMARIA ALI / Age : 26 ans / Nationalité :
Malgache ...Lire
MadaVçovço 12
nov 08 >>
( ...
)
|
|
Salama ! Manana olana arak'asa ve
ianao, sa mitady vadin'asa , afaka mamaha oalana anao ny izahay ka manorata amin'ny
eurojob1976@yahoo.fr / Miandry anao izahay !!!
Contact:Kintana
cherche maison
d'hotes pas cher a tamatave. Contactez moi par mail
Contact: Stivelle
Bonjour je me prenome frederic j'ai travaillé à la colas en janvier 2005,je cherche à rentrer en contact
mail/telephone avec une personne de la famille justin elie
riviere(instituteur retraité) habitant à kalandy-mandritsara se prenomant marie eliane.merci de pouvoir
... Contact: frederic
Art Malagasy
/ MIANJAIKALANDY L'ElEGANCE AU QUOTIDIEN / Découvrez les talents et la nature malagasy à travers nos produits
: - Sacs / Echarpes / Scandales / Bijoux /
Panier / en soie sauvage, en raphia, en corne de boeuf.
/ PRIX INTERESSANT /
Contact: Razafindrainibe Marin
|
Prix
Découverte RFI 2008

La finale du Prix Découvertes RFI aura lieu ce soir au Palais des Sports
(
...
)
|
*
|
|
Tribune Mada 17/11/2008
Parc national : Angap devient Madagascar National Parks
- par Léa Ratsiazo
A partir de ce 14 novembre, Angap ( association nationale de la gestion des aires protégées) devient Madagascar National Parks et va inaugurer un nouveau look. « For life » le nouveau solgan se veut être plus marketing et s’accompagnera d’une nouvelle marque de service, de logo, de design. Le nouveau look illustrera la volonté de Madagascar de renforcer sa sensibilité, ses capacités et ses compétences à contenir ses engagements. Cette nouvelle marque permet au public de reconnaître Madagascar National Parks et de différencier de ses concurrents. De ce fait, Madagascar National Parks se munit d’un nouveau type de gouvernance, d’une rénovation au sein de l’équipe du conseil d’administration, composée de 9 membres.
Objectifs
« Affirmer et développer une identité distinctive », cela entre aussi dans les objectifs de cette nouvelle image. Des perspectives d’installation d’hôtels et restauration dans les parcs, pour que les touristes y restent plus longtemps. Il y aura aussi des nouveaux parcs gérés par des nouvelles associations ou des communautés voire des privés, si actuellement, Madagascar possèdent 47 aires protégées, environ 2 millions d’ha. Des campagnes de communication : des projections dans les avions, par exemple, avec Air Madagascar et Air France comme partenaires.
Sommet Africain
Lors d’un point de ce presse, le ministre du Tourisme du Forêt et de l’Environnement avise qu’actuellement, l’inventaire des hôtels et gîtes sur Tana urbaine commence et continuera sur Grande Tana, et lancé après Antsirabe et Tamatave. Le nombre de participants à ce sommet est estimé à 4000.
allAfrica.com
14/11/2008
Madagascar: Lutte contre la malnutrition infantile
- L'Express de Madagascar - Mahefa Rakotomalala
Inondations fréquentes et enclavement sont les principaux ennemis du district de Maroantsetra. Avant l'année 2000, avec un taux de mal-nutrition qui atteignait 76%, cette circonscripton était la plus gravement touchée dans toute l'ex-province de
Toamasina.
Aujourd'hui, ce taux est descendu à 20% et Maroantsatra est en phase de devenir le district le mieux organisé pour éradiquer la malnutrition des enfants de moins de cinq ans. « Nos familles, nos mères et nos enfants peuvent maintenant aspirer à une meilleure santé pour travailler en toute sérénité », estime René, chef du fokontany de
Soanierana, un des 91 sites d'implantation du Centre de nutrition communautaire appellé ausi « Toby ».
Derrière cette réussite, il y a une vaste organisation qui mobilise plusieurs entités comme la Banque mondiale qui apporte son appui financier, l'État qui a élaboré une stratégie nationale de lutte contre la malnutrition et mis en place un organisme de coordonation des actions (l'Office nationale de nutrition, rattaché à la primature).
C'est dans les « Toby PNNC » (Programme national de nutrition communautaire) que les véritables actions sont menées. Chaque mois, plus de 200 mères y amènent leurs enfants de 0 à 5 ans pour les faire vacciner, les peser et pour recevoir les conseils des Agents de nutrition communautaires. Ces dernières, encadrées par des organisations non-gouvernementales sont les véritables chevilles ouvrières de la lutte.
« Nous surveillons l'évolution du poids de chaque enfant. S'il se trouve dans la zone d'alerte, nous faisons des visites à domicile pour apprendre aux mères quels sont les aliments à haute valeur nutritive. Si le poids est dans la zone rouge, nous envoyons l'enfant à l'hôpital pour détecter les vrais problèmes », explique Benasaina
Benary, agent de nutrition communautaire au « Toby » du fokontany de
Soanierana, dans la périphérie de la commune urbaine de Maroantsetra.
Les
Nouvelles 14/11/2008
DECOUVERTES RFI 2008
: Mikea, le triomphe - Vavah Rakotoarivonjy
Le groupe Mikea réalise son plus grand rêve. Il a remporté le prix Découvertes RFI 2008, lors de la finale qui s'est tenue au palais des Sports et de la culture à Mahamasina hier. Il a donc rallongé la liste des artistes malgaches ayant décroché cet important trophée, après Rajery (2002), Erick Manana (1994), Njava (1992), Regis Gizavo (1990), Beriziky et Mamy.
Le groupe Mikea marque l'histoire du concours Découvertes RFI. Théo Rakotovao et son équipe ont remporté le premier prix de ce concours. Et ce, face à Sheryl Gambo de Congo Brazzaville et Vise Bien Haut (
VBH) du Cameroun.
Un spectacle haut en couleur. C'est ce que les trois finalistes du prix Découvertes RFI 2008, -VBH, Sheryl Gambo et
Mikea- ont offert au palais des Sports et de la culture à Mahamasina hier. Un voyage musical à travers les mélodies et la voix, allant du Congo Brazzaville à l'extrême Sud de la Grande île, en passant par le Cameroun de Roger
Mila. A cette ambiance déjà chaude, s'ajoute la prestation hors du commun de
Rossy.
Agissant en véritable créateur d'ambiance, le groupe VBH a entraîné l'affluence dans un rythme dansant du hip hop, du ragga et du hip
Makossa. Peu loquace et timide, Sheryl Gambo a peint avec sa belle voix chaleureuse et en poésie les mélodies bien structurées et envoûtantes de ses musiciens. Pour sa part,
Mikea, le représentant de la Grande île, a su créer de la joie dans la salle à travers son blues mélancolique. Et ce, malgré les incidents sonores qui ont failli faire tourner sa chance. |
 |
«C'était très difficile de choisir le lauréat entre ces trois finalistes», témoigne la star ivoirienne du reggæ, Tiken Jah Fakoly, qui a endossé cette année la lourde responsabilité de présider le jury. Mais comme il fallait un lauréat, les membres du jury ont dû trancher en tenant compte de nombreux critères dont la prestation des concurrents, leur assurance sur scène. Ils se sont surtout servis de l'applaudimètre, autrement dit, ils ont renvoyé la balle dans le camp des spectateurs venus nombreux.
Enfin, après environ trois heures de suspense et de spectacles émouvants, le verdict a été rendu. Mikea succède à Mounira Mitchala, la tchadienne lauréate du prix Découvertes en 2007, déclare Tiken Jah Fakoly. Et d'ajouter que les deux autres malheureux finalistes n'ont pas démérité. Tous les candidats ont montré qu'ils ont bien travaillé, conclut-t-il. Théo Rakotovao, le leader du groupe Mikea, ému, a pu à peine s'exprimer face à cette surprise que Radio France Internationale et ses partenaires lui ont offerte.
Mikéa, le lauréat de la 27ème édition du prix Découvertes Rfi recevra donc 7000 euros et une bourse d'aide au développement de sa carrière d'une valeur de 12 500 euros allouée par le Ministère des Affaires étrangères. L'OIf et la Sacem lui offriront également un concert dans un pays d'Afrique et à Paris. En outre, il bénéficiera d'une tournée organisée par Culturefrance ainsi que d'une programmation au festival musiques métisses 2009. L'artiste obtiendra aussi des opportunités de communication auprès des médias français et internationaux et une campagne de promotion internationale sur les antennes de Rfi et des radios partenaires dans le monde.
Express
Mada 13/11/2008
Nouveau decret -
Mouvement sportif
: Cinq présidents de fédération disqualifiés - Andry Ratovo
L'adoption d'un nouveau décret régissant le sport à Madagascar n'autorise plus à cinq présidents de fédérations de briguer un nouveau mandat.
Jean Louis Robinson, ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Culture ferme le verrou. Dans le cadre de la promotion des activités physiques et sportives, le gouvernement, par le biais du portefeuille
d'Ambohijatovo, a sorti le décret n° 2008-1061 du 10 novembre 2008 à la place du 2004-567 relatif à l'application de la loi n°97-014 qui stipule l'organisation et la promotion des activités physiques et sportives.
Neuf points saillants ont été évoqués par le ministre, hier, dans son bureau à
Ambohijatovo. Il s'agit, entre autres, de l'alternance à la tête d'un groupement (président), posée comme règle afin d'éviter les tentatives d'appropriation d'un groupement par un individu. «Cette alternance se manifeste par la limitation d'un mandat du président, lequel ne peut exercer que 2 mandats ( art 14 et 48)».
Une pratique qui a été vivement critiquée en juin 2007, à
Ambatomanga, par Marc Ravalomanana. Il avait même invité les parlementaires à adopter une nouvelle loi qui autorise les maires «qui travaillent bien» (selon ses dires) à prolonger leur mandat électif .
Taillé sur mesure |

Jean Louis Robinson exhibant le nouveau décret à effet rétroactif, hier, à
Ambohijatovo. |
Ce point disqualifie de fait Ahmad (football), Christian Razafimahefa (athlétisme), Jean Claude Relaha (cyclisme), Marcellin Harvel (boxe) et Solofo Barijaona Andrianavomanana (karaté), dans la mesure où cette loi a un effet rétroactif.
Concernant le cas d'Ahmad, Jean Louis Robinson a été ferme. «Il n'y a pas de mandat et demi. La période de transition est considérée comme un mandat», a-t-il martelé.
Ahmad, qui est également président délégué de la commission d'appel de la Fifa, n'a encore bénéficié que d'un mandat électif et d'une période de transition après le départ de Jacques Benony en 2003. Une décision prise après la mise en place d'un accord tripartite entre la Fifa, le ministère des Sports et la Fédération malgache de football.
«La continuité des actions est garantie par la non-limitation des mandats des membres du comité exécutif dont l'une des attributions est la réalisation du programme de la discipline», évoque le ministre qui veut rassurer ceux qui doutent d'un décret taillé sur mesure pour éliminer les candidats gênants.
On attend la réaction d'Ahmad qui devait revenir de son périple, hier soir. Quant à Christian Razafimahefa, il joue la prudence «Je n'ai, pour le moment, aucun commentaire à formuler. Personne n'est au-dessus de la loi, moi personnellement, j'accepte la décision du gouvernement si c'est bon pour notre sport».
Ce n'est pas tout, la mise en place d'un tribunal fédéral a été aussi cité dans ce nouveau décret.
Cette instance juridique constitue l'autorité chargée de statuer en dernier ressort sur les recours formulés à l'encontre des décisions prises en matière disciplinaire par les fédérations.
«La saisine de cette autorité juridique sera toutefois reservée aux personnes détentrices d'une licence sportive à jour», précise Jean Louis Robinson.
Chaque fédération peut donc désormais procéder à une assemblée générale élective pour élire son nouveau comité exécutif avec un mode de scrutin de liste et non pas individuel, comme auparavant.
Les regards se tournent aussi vers Ambohijatovo en attendant les nouveaux membres du staff du ministère des Sports, flambant neuf.
Tribune Mada 13/11/2008
Importation de voitures d’occasion
: Un métier lucratif - par Rianalazo
Combien gagnez-vous pour un voyage ? « Je ne peux pas annoncer une somme précise mais si on veut, mes bénéfices pourraient acheter une 4x4 et un minibus », répond M., un importateur de voitures d’occasion.
Filon
« Je collecte 26 voitures en Allemagne, auprès des concessionnaires ou des particuliers, voire dans des ventes en ligne, et je les ramène ensuite à Anvers. En passant par des voitures légères aux voitures lourdes comme les camions, toutes marques confondues. De cette façon c’est plus rentable », raconte encore M. « Ces derniers temps, je n’importe que des voitures ayant moins de 10 ans, à cause du règlement », ajoute-t-il. « La plupart de mes voitures sont réservées car, avant mon départ, des particuliers et/ou des transporteurs passent leurs commandes. Je complète le reste après avec des voitures que je trouve intéressantes.
Prix
« Ceux qui commandent, payent d’avance car je ne peux pas engager une somme d’argent trop conséquente. Arrivées ici, les papiers (le modèle n° 1, le connaissement, l’immatriculation) des voitures sont déjà au nom de chaque propriétaire pour éviter les lourdes démarches avec l’administration, comme la mutation ».
Rythme
« Vous savez, c’est 10 jours d’enfer que je vis là-bas. Nous (mes amis et moi) partons pour prospecter vers 4h |

L’ exploitation et la vente de vehicules d’occasion, un veritable filon |
du matin et ne revenons que tard dans la nuit. En une journée, nous faisons 12 000km, au minimum.
Nous ne prenons que des sandwiches comme collation, et pour l’hébergement (pension ou F1), on paye environ 45euros ». « Mais c’est notre gagne pain ! D’ailleurs en une année, je peux faire 2, voire 3 voyages », termine-t-il. Rianalazo
Express Mada 13/11/2008
Société civile
: Les projets miniers en question - Mahefa Rakotomalala
La Société civile remet en cause les grands projets miniers. Elle estime qu’ils ne profitent qu’à une minorité et tire la sonnette d’alarme sur la braderie des gisements faite par l’État.
La société civile remet sur le tapis les problèmes des grands projets miniers. Dans un communiqué signé par plusieurs entités, elle réclame la renégociation des contrats passés entre l'État malgache et les grands projets comme celui de Sherritt à Ambatovy et de QMM à
Tolagnaro.
Il s'agit, entre autres, du Conseil national économique et social
(Conecs), de l'Observatoire de la vie de la nation (Sefafi) et Comité national d'observation des élections
(KMF/KNOE).
Des contrats que le communiqué qualifie de léonins, c'est-à-dire favorisant de fait les investisseurs étrangers et laissant Madagascar supporter toutes les charges et les dommages collatéraux. Une lacune qui, selon toujours la société civile, creuse de plus en plus l'écart entre les pauvres majoritaires, qui subissent la spirale inflationniste du coût de la vie, et des minorités qui profitent de la manne financière de ces grands projets.
«C'est l'intention de l'État d'attribuer l'exploitation du gisement de fer de Soalala à un investisseur étranger qui nous a poussé à réagir dans ce communiqué. Il faut arrêter ce processus et renégocier d'abord les contrats avec les compagnies minières déjà présentes comme cela a été le cas dans les autres pays africains à l'instar |

Jean Eric Rakotoarisoa et Madeleine Ramaholimihaso du
Sefafi, lors d’une conférence de presse. |
de la Guinée et du Niger. C'est juridiquement possible si
l'interêt du pays est en jeu», déclare Jean Eric Rakotoarisoa, juriste et membre du
Sefafi.
La société civile réclame ainsi l'élaboration d'une nouvelle politique minière. La tenue d'une table ronde où elle fera partie des intervenants s'avère ainsi indispensable.
Le flou qui règne autour de la véritable teneur des contrats actuels avec les compagnies minières ne donne aucune visibilité sur les véritables retombées pour Madagascar. Par ailleurs, les minerais exportés bruts ne permettent pas à Madagascar de bénéficier de leur valeur ajoutée.
Transparence nécessaire
«Il faut surtout de la transparence. Il est aujourd'hui impossible de savoir si le partage des bénéfices est équitable par rapport au prix de vente des minerais et aux investissements apportés par les compagnies minières», précise Bruno Rakotoarison, secrétaire général du KMF/KNOE. Interrogées, les compagnies minières citées dans le communiqué n'ont pas souhaité réagir et expliquent que «de telles remarques s'adressent avant tout au gouvernement».
Patrick Razakamananifidiny, secrétaire général du ministère de l'Énergie et des mines, quant à lui, soutient que ces questions ont déjà été abordées avec les membres de la société civile et que l'Initiative pour la transparence des industries extractives (EITI) constitue un cercle de dialogue efficace.
«L'essentiel est que tout le monde soit d'accord sur la nécessité de la transparence. Et puis, la société civile est toujours libre de s'exprimer», affirme-t-il. La possibilité d'une renégociation des contrats n'a pas été évoquée.
Encadré : 100 millions de dollars de redevance
Le projet d'extraction de nickel et de cobalt d'Ambatovy prévoit de verser à l'État jusqu'à 100 millions de dollars de redevance par an. Le début de l'exploitation est prévu pour le premier trimestre de l'année 2010 mais le pic de la vitesse d'extraction sera atteint progressivement. Le projet a une durée de vie prévisionnelle de 30 ans pour un volume d'investissement de 3,3 milliards de dollars. Pour l'exploitation d'ilménite de QMM à
Tolagnaro, le projet prévoit de verser jusqu'à 21 millions de dollars de taxes par an pour un volume de production de 750 000 tonnes par an. Il a une durée de vie de 27 ans et a engendré 585 millions de dollars d'investissement. La première exportation d'ilménite brut est prévue en mars 2009.
Les Nouvelles 12/11/2008
ORDRE DES MÉDECINS
: 5.249 médecins illégaux recensés - Noro Niaina
Seuls 1 611 médecins sur 6 860 recensés se sont inscrits au tableau de l'Ordre des médecins avec le paiement de la cotisation ordinale. Ainsi, 5. 249 exercent une profession illégale. L'inscription est régie par le code de la santé et de la déontologie médicale et l'Ordre national des médecins a pris des dispositions pour ceux qui n'ont pas encore rempli cette formalité.
L'inscription au tableau de l'Ordre est obligatoire tous les ans pour tout médecin en exercice sur tout le territoire national avec le paiement de la cotisation à raison de 15.000
ariary. Or, la plupart des médecins n'ont pas suivi cette directive stipulée dans le code de la santé et de la déontologie médicale. «Ils sont ainsi considérés comme en exercice illégal. Tous services de soins offerts par ces médecins ne sont pas valables comme la prescription des ordonnances et des médicaments ou la délivrance du certificat médical», a bien souligné la présidente de l'ONM,
...Lire
MadaVçovço 12
nov 08 >>
( ...
)
|