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Les Titres de MadaVôvô du 22 novembre 2008  

BigNews: Le sport est Roi...

L'Edito: « Sommes-nous tolérants ?... »

1. La Corée du Sud relance la course aux terres agricoles (lemonde)

2. MADAGASCAR • Daewoo gagne le gros lot (courrierinbternational)

3. A Roissy, les passagers d'Air Madagascar ont accès au salon d'American Airlines (quotidiendutourisme)

4. Action sociale : Le père Pedro obtient le prix Van Thuân 2008 (express)

5. Préparatifs à l'approche de la saison des cyclones (jeune afrique)

6. Huit personnes tuées dans l'effondrement d'une maison à Madagascar (xinhua)

7 Air Madagascar relooke son site Internet (voyageyouvox)

8. Santé : Des médecins risquent la radiation  (express)

*. No Comment.... No Comment... 

9. 1 million d’hectares à louer gratuitement à Madagascar (rtbf) 

10.  Les catholiques en deuil : Décès du père Rémy Ralibera (express)

11. Madagascar achève 65% des travaux de préparation du sommet de l'UA (xinhua) 

12. « Enquêtes et révélations » : Le tourisme sexuel Français à Madagascar (coulisse-tv) 

13. Accord de protection des investissements entre la Suisse et Madagascar (xinhua)

14. Transport urbain :Cinquante bus attendus pour la ligne 119 (express)

15.L’Afrique et Madagascar se regroupent pour promouvoir le café Robusta  (afriqueenligne)

16. Madagascar: Désignation de 16 magistrats (allAfrica) 

17. Jatropha: Une usine de transformation à Toliara (moov) 

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22/11/2008

COURS DES CHANGES

1 euro = 6.559570FF

cours moyens en Ariary

EURO(cmp) 2.329.53 Ar 
USD 1.857.68 Ar 
GBP 2.785.68 Ar 
CHF 1.518.12 Ar 
JPY 19.58 Ar 
ZAR 177.77 Ar 
HKD 239.63 Ar  
Date Eur/Ar Date Eur/Ar
30/09 2394 31/10 2369
13/09/08 min:2290 28/05/06 max:2771

(Revues de presse plus bas !!! ... patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


 

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MADAGASCAR EN IMAGE            extraits de Madamaki.com / Voyage-bons-plans.com / ahaona-madagascar.com


*** Ny Fomba malagasy sur  rainizafimanga.COM - Nature et Environnement >> 


« Sommes-nous tolérants ?... »

      L'intolérance a toujours été présente dans l'histoire humaine. Elle a déclenché la plupart des guerres, alimenté les persécutions religieuses et les confrontations idéologiques violentes.
     
 Le 12 décembre 1996, l’Assemblée générale des Nations Unies, proclame le 16 novembre « journée internationale de la tolérance » et définit la tolérance en ces termes : « La tolérance est le respect, l'acceptation et l'appréciation de la richesse 

et de la diversité des cultures de notre monde, de nos modes d'expression et de nos manières d'exprimer notre qualité d'êtres humains. Elle est encouragée par la connaissance, l'ouverture d'esprit, la communication et la liberté de pensée, de conscience et de croyance. La tolérance est l'harmonie dans la différence »

     Au vu de cette définition, et à l’aube de cette journée, posons-nous la question « sommes-nous tolérants ? »

    Certainement, dirons-nous. Il suffit de constater ce qui nous arrive tous les jours soit : 
          - dans les transports en communs avec les retards, les bousculades, les odeurs, les injures quelque fois, 
          - au travail face à l’absentéisme de nos collègues, à l’irritabilité de nos chefs, 
          -dans la rue face à l’incivilité.

      Tous ces désagréments nous « les tolérons » quotidiennement sans mot dire, mais est-ce vraiment de la tolérance ? 

        Ceci n’est-il pas seulement une abstention volontaire, une résignation devant des situations contre lesquelles nous n’y pouvons rien . On pourra même considérer cette attitude comme de l’abnégation.

    Qu’est-ce donc que la tolérance ?

      Appliquée au quotidien, la tolérance dépend des circonstances. Elle peut être assimilée à l’indifférence car face à certaines situations ou devant certaines attitudes, que nous ne maitrisons pas, on se dit « je m’en fous » , ou tout simplement de guerre lasse, on laisse « couler ». 

        Nous pouvons aussi être tolérant par malice ou par politesse de peur d’être dans une position embarrassante ou pour éviter un conflit. Souvent, nous avons tendance à confondre « supporter » et « tolérer ».

        « Supporter » suppose que nous nous donnons une limite à notre tolérance, mais que penser de celui qui tolère tout ? Ce sont des faibles dirons-nous.  ... Lire la suite Cliquez-ici 

Mondy de VSG

Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Mondy  a  répondu à notre appel  pour publier des Edito maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women.               Merci d'avance!        ... Pour Envoyer un article ou Pour nous contacter >>         ... Lister  tous les Editos    


LE MONDE | 22.11.08 |
La Corée du Sud relance la course aux terres agricoles - AFP/JEAN-CHRISTOPHE VERHAEGEN
La chute du cours des céréales sur les marchés mondiaux n'a pas stoppé la course aux terres agricoles par les pays qui en manquent. La Corée du Sud, par le biais d'une filiale du conglomérat Daewoo, vient ainsi de conclure avec Madagascar un accord pour louer, pendant 99 ans, 1,3 million d'hectares dans la Grande Ile.

 Situées dans deux zones distinctes (l'ouest et le nord-est), les terres – actuellement des zones de savane où pâturent les troupeaux –, équivalant à près de la moitié de la superficie de la Belgique. C'est la première fois qu'un accord d'une telle importance est conclu, de l'avis des spécialistes.

Les terres louées seront mises en valeur par de la main-d'œuvre locale formée par des ingénieurs agricoles sud-africains et sud-coréens, avait indiqué, en juillet, Yong Nam-ahn, le président de Daewoo Logistics, la filiale agroalimentaire du conglomérat sud-coréen.
Selon les déclarations du directeur financier de Daewoo Logistics, Shin Dong-hyun, faites lundi 17 novembre à la presse sud-coréenne, la firme, déjà présente dans la Grande Ile, prévoit de produire 500 000 tonnes par an d'huile de palme dans la partie est de Madagascar, et 4millions de tonnes par an de maïs dans la zone ouest où la location porte sur un million d'hectares. La Corée du Sud achète chaque année sur le marché international près de 11 millions de tonnes de maïs, ce qui fait d'elle le quatrième importateur mondial.
Conclu en juillet mais révélé mercredi par le Financial Times, l'accord ne prévoit pas le versement d'argent à l'Etat malgache au titre de la location. Daewoo, en revanche, financera leur mise en valeur. Selon Shin Dong-hyun, la firme sud-coréenne a prévu d'investir 6 milliards de dollars (4,8 milliards d'euros) au cours des vingt-cinq prochaines années, et d'assurer la mise en place des infrastructures nécessaires. Les semences de palmiers seront importées d'Indonésie et du Costa Rica, celle de maïs des Etats-Unis.
L'accord conclu entre Madagascar et la firme sud-coréenne va dans le sens du projet du chef de l'Etat, Marc Ravalomanana qui, lors de la campagne présidentielle de 2006, avait fait de la filière agro-alimentaire l'axe privilégié du développement de la Grande Ile. Les experts estiment que 35 millions d'hectares pourraient être exploités dans le pays alors que les terres effectivement cultivées dépassent à peine 2 millions d'hectares.
Madagascar n'est pas le seul pays africain doté d'un potentiel agricole qui intéresse les groupes agroalimentaires. C'est aussi le cas de l'Angola.
L'ANGOLA EN NÉGOCIATION 
Il y a une trentaine d'années, l'ancienne colonie portugaise exportait des denrées agricoles. Aujourd'hui, elle importe près de la moitié de ses besoins alimentaires, et à peine 10 % des terres arables sont effectivement cultivées.
Pour relancer la production, le gouvernement angolais a lancé un plan de développement de cinq ans qui fait une place importante aux opérateurs étrangers. Des investisseurs du Brésil, du Canada, des Etats-Unis et du Portugal ont été sollicités.
C'est avec le groupe britannique Lonrho, très présent en Afrique, que les discussions sont le plus avancées. Elles portent sur la location de 20 000 hectares de terres et s'intègrent dans la stratégie de cette firme qui, selon son président, Dave Lenigas, vise à louer en Afrique 2 millions d'hectares. Au printemps, c'est la firme américaine Chiquita Brands, le premier producteur mondial de bananes, qui annonçait son intention de s'implanter massivement en Angola. Il s'agit pour le groupe de contourner par ce biais les obstacles mis par l'Union européenne pour freiner l'importation des bananes d'Amérique latine.

Les firmes privées ne sont pas les seules qui cherchent à louer des terres en Afrique pour sécuriser leurs approvisionnements agricoles. Des Etats du Golfe – le Koweït, les Emirats arabes unis… – veulent eux aussi investir sur le continent noir. C'est également la stratégie de l'Arabie saoudite qui a renoncé, pour des raisons de coûts, à produire sur son territoire des céréales dont elle était devenue exportatrice sur le marché mondial.
Face à cette recherche effrénée de terres arables l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) a publié récemment un document mettant en garde contre les risques de "néocolonialisme". Sa mise en garde n'a guère été écoutée.
Jean-Pierre Tuquoi avec Philippe Messmer à Tokyo et Sébastien Hervieu à Johannesburg


courrierinternational.com 21/11/2008
MADAGASCAR • Daewoo gagne le gros lot 
Le sud-coréen Daewoo va se lancer dans la culture de maïs et la production d'huile de palme à Madagascar, où le groupe bénéficie d'une licence d'exploitation de terres immenses pour une durée de quatre-vingt-dix-neuf ans. Un accord signé avec le gouvernement malgache en juillet 2008 lui accorde 1,3 million d'hectares de terres, soit l'équivalent de la moitié des terres arables de la Grande Ile, rapporte le Financial Times. Les Sud-Coréens comptent de ce fait renforcer la sécurité alimentaire de leur pays, quatrième plus gros importateur de maïs. 
Le plus remarquable est que Daewoo ne devrait rien payer pour ce privilège, selon le quotidien financier britannique. En contrepartie, Madagascar, où plus de 70 % de la population vit au-dessous du seuil de pauvreté, se contentera des emplois créés par l'exploitation des terres ainsi que des investissements réalisés par l'entreprise dans les routes, l'irrigation et les infrastructures de stockage des récoltes. La production de maïs devrait débuter dès 2009 sur 2 000 hectares. Au final, 1 million d'hectares de terres y seront consacrés, contre 300 000 hectares pour les palmiers à huile. "Daewoo entend développer la culture de ces terres arables pendant quinze ans et espère fournir la moitié des importations de maïs de la Corée du Sud." Le Financial Times note que de plus en plus d'entreprises asiatiques investissent dans des projets à Madagascar, des mines de nickel en passant par les centrales énergétiques. 


quotidiendutourisme.com 21/11/2008
A Roissy, les passagers d'Air Madagascar ont accès au salon d'American Airlines 

Depuis le 1er novembre 2008, les passagers d’Air Madagascar voyageant en classe affaires au départ de Paris bénéficient de l’accès au salon privé Admirals Club d’American Airlines.
Le salon d’American Airlines est situé au sous-sol du satellite du terminal 2A, à proximité de la zone d’enregistrement et d’embarquement de la compagnie nationale malgache. Il peut accueillir plus de 170 passagers sur une superficie de 670 m2. Il est composé d’une partie centrale réservée à l’accueil, ainsi que de deux salons avec fauteuils, bars en libre-service et espaces de travail. Le décor, conçu dans un style typiquement parisien, est agrémenté d’une collection de 124 photographies représentant des vues originales de Paris, avec notamment des clichés de Lartigue, Doisneau, Willy Ronis,... A noter qu'en ce moment Air Madagascar propose un tarif promotionnel en classe affaires à 2.101,78 euros TTC entre Paris et Antananarivo. 

Express Mada 20/11/2008
Action sociale : Le père Pedro obtient le prix Van Thuân 2008 - Noro Haingo Rakotoseheno
Le père Pedro Opeka, fondateur de l'association Akamasoa, fait partie des lauréats du Prix cardinal Van Thuân 2008, « Solidarité et développement », pour ses actions qui donnent refuge aux sans-abri d'Antananarivo. Ces distinctions seront décernées par la Fondation Saint Mathieu le 10 décembre dans la salle Paul VI, au Vatican, en présence du pape Benoît XVI. Ce sera dans le cadre de la célébration du 60e anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l'Homme. 
Les festivités seront précédées d'un concert de musique classique donné par le Brandenburgisches Staatsorchester de Francfort, dirigé pour l’occasion par le compositeur et directeur maître Inma Shara. 
D'autres compagnons de route du père Pedro seront aussi sur le podium, dont le père José Raul Matte, prêtre camillien et médecin, qui soigne des lépreux en Amazonie, à l’Hôpital São Camilo e São Luis. L'ancien président du Comité international de la Croix rouge, Cornelio Sommaruga, sera aussi honoré.


Jeune Afrique 20/11/2008
Préparatifs à l'approche de la saison des cyclones - MADAGASCAR -  IRIN 
Cette année, tous yeux rivés sur l’écran du radar, en prévision de la saison des cyclones à Madagascar, les autorités et leurs partenaires humanitaires espèrent bien ne pas être pris au dépourvu. 
« Nous nous préparons pour la saison des cyclones », a indiqué à IRIN Xavier Leus, Coordinateur résident du Système des Nations Unies à Madagascar. « Donc, la préparation est importante, non seulement pour la prochaine saison des cyclones, mais aussi parce qu’à Madagascar, la question n’est pas de savoir si des cyclones vont s’abattre, mais quand. Ici, les catastrophes sont prévisibles : chaque année, le pays est frappé par des crues et des cyclones ». 
La saison des cyclones commence généralement en décembre et se poursuit jusqu’en avril, période à laquelle certaines régions parmi les plus pauvres de cette île de l’Océan Indien sont balayées par des tempêtes. Environ 70 pour cent de la population de Madagascar vit avec moins d’un dollar par jour. Les crues sont également monnaie courante et provoquent le déplacement de milliers de personnes chaque année dans l’ensemble de l’île, y compris dans de vastes zones urbaines telles que Tananarive, la capitale. 
Dans le courant de l’année 2008, les cyclones Fame, Jokwe et Ivan se sont abattus sur le pays, faisant plus d’une centaine de morts. Des vents violents, de fortes averses et d’abondantes crues ont touché plus de 340 000 personnes, dont 190 000 se sont trouvées sans abri. En 2007, l’année la plus grave jamais enregistrée, six cyclones ont touché près d’un demi-million d’habitants, essentiellement dans les régions du centre et du nord de l’île ; dans le sud, brûlé par le soleil, la sécheresse persiste depuis plusieurs années. 
Investir dans la préparation et la pratique 
Madagascar est déjà touché plus fréquemment et plus gravement par les catastrophes naturelles que tout autre pays d’Afrique, et les prévisions ne sont pas bonnes. 
« Il est clair que dans le contexte du changement climatique, Madagascar doit se préparer. Les risques importants sont tous liés au climat : les cyclones, les crues et la sécheresse », a indiqué M. Leus. 
« Nous devons créer un lien entre la gestion des catastrophes et le changement climatique [...] pour pouvoir nous adapter, et mieux gérer l’accroissement du risque ; pour le nord et le centre du pays, cela se traduirait par une augmentation de l’intensité et de la fréquence des cyclones », et pour le sud, par l’aggravation d’une situation de sécheresse chronique déjà préoccupante, a-t-il averti. 
S’il est vrai que les événements climatiques extrêmes font depuis toujours partie de l’histoire malgache, les experts de la gestion des catastrophes commencent aujourd’hui à adopter une nouvelle approche pour y faire face. Prenant conscience des lourdes conséquences qu’ont les catastrophes naturelles sur les programmes de développement, ils ont mis de côté leur approche réactive, limitée aux interventions et au rétablissement post-catastrophe, au profit d’une vision plus globale, axée sur la préparation. 
« Nous savons quels types d’événements doivent se produire, et où se trouvent les populations vulnérables », a expliqué M. Leus. « Nous pouvons élaborer des scénarios des conséquences possibles [des catastrophes] et nous y préparer, non seulement avant l’événement, mais aussi, pour mieux préparer les opérations de secours, et nous assurer ainsi que les plus vulnérables sont protégés ». 
Dans le courant du mois de novembre 2008, sous les auspices du Bureau national de gestion des risques et des catastrophes (BNGRC), une centaine de participants rattachés aux ministères nationaux, aux agences des Nations Unies, et à des organisations non-gouvernementales (ONG) nationales et internationales, ainsi que des représentants des autorités régionales et provinciales, et des membres du secteur privé et de la société civile se sont réunis pour commencer à organiser la saison prochaine. 
À l’occasion de cet événement, le colonel Jean Rakotomalala, secrétaire exécutif du BNGRC, a souligné dans son discours d’ouverture le rôle essentiel des mesures de préparation, notamment du plan de contingence, dans les interventions en situation de catastrophe. Le Plan de contingence national et les exercices annuels de simulation de catastrophe ont été reconnus comme essentiels au cours de récentes catastrophes, et sont devenus autant d’exemples de bonnes pratiques à adopter pour minimiser les conséquences des risques liés au climat. 
« La force du Plan de contingence malgache repose sur le fait qu’il est testé par des simulations », a indiqué Mateusz Tuniewicz, responsable du plaidoyer et de la communication au Bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA) à Madagascar. 
« La première version a fait l’objet d’une simulation en 2007, pour permettre d’apporter des secours d’urgence aux populations des régions de l’est du pays, frappées par les cyclones ; la simulation de cette année [2008], co-organisée par le Corps de protection civile de Madagascar, le BNGRC et les partenaires humanitaires (et qui doit avoir lieu du 24 au 26 novembre) permettra de simuler l’intervention d’urgence menée en cas de crues, à Mampikony, dans la région de Sophia [dans le nord] », a noté M. Tuniewicz. 
M. Leus a également fait remarquer que d’importants progrès avaient été réalisés, en particulier en termes de gestion des conséquences des cyclones, mais qu’il restait « beaucoup à faire pour faire face aux inondations, et encore plus pour ce qui est de la sécheresse ». 
Plaider en faveur de la préparation 
Si les avantages d’une bonne préparation sont déjà clairs dans les sphères politiques et chez les experts de la gestion des catastrophes, le prochain défi à relever consistera à « intégrer » ces concepts dans tous les ministères, et à sensibiliser les communautés. 
Une analyse de rentabilité visant à démontrer les avantages d’un investissement en faveur de la préparation aux catastrophes permettrait, selon M. Leus, de défendre cette approche, les coûts des opérations de rétablissement étant déjà connus : dans une évaluation conjointe des dégâts, des pertes et des besoins, menée par le gouvernement, les agences des Nations Unies et la Banque mondiale après la saison des cyclones 2007-08, les pertes causées par les cyclones avaient été estimées à 334,9 millions de dollars. 
Les secteurs de l’agriculture, de la pêche et de l’élevage avaient subi les plus graves dégâts, suivis des habitations, de l’administration publique et des transports, pouvait-on lire dans le rapport, selon lequel « ces secteurs sont particulièrement importants pour les moyens de subsistance des populations pauvres de Madagascar, et les répercussions des tempêtes ont augmenté la vulnérabilité de vastes segments de la population ». 
Les communautés malgaches « sont frappées par des événements successifs et continuels (cyclones, crues et sécheresse) », a indiqué M. Leus. Cela a gravement réduit leur capacité de survie, ainsi que leurs ressources et les a rendues dépendantes de l’aide externe. « Cela devient une lutte constante et [des communautés entières] sombrent de nouveau dans la pauvreté ».


xinhuanet.com 19/1/2008
Huit personnes tuées dans l'effondrement d'une maison à Madagascar - Xinhua

Huit personnes d'une même famille ont été tuées en un seul coup dans l'effondrement de leur maison à Antananarivo, lundi soir, quand la pluie tombait sans cesse vers 21h00 heure locale (19:00 GMT). 
Razanatsimba Olga Jocelyne Gabrielle, une femme de 37 ans et ses enfants, dont l'aîné a 18 ans et le benjamin venait de naître, jeudi dernier, ont été tués au cours de l'effondrement de leur maison en bois, selon l'Express, un journal en langue française publié mercredi. 
La maison des victimes s'est effondrée après l'éboulement d'un mur de 7 mètres en béton tout proche d'elle. 
Les voisins ont fait leur premier sauvetage et les éléments de sapeurs-pompiers sont venus peu de temps après la tragédie pour sortir trois personnes, dont une respirait encore à leur arrivée mais est décédée sur le chemin vers un hôpital à proximité. 
Selon des témoins oculaires, la construction de ce mur, à peine il y a un mois, ne répond pas aux normes et la partie orientale du mur s'est effondrée sur deux autres maisons, mardi vers 09h00 heure locale (06h00 GMT). 
Le Premier ministre malgache Charles Rabemananjara, à la tête d'une délégation, s'est rendu à l'hôpital mardi après-midi pour présenter ses condoléances aux familles des victimes au nom du président malgache Marc Ravalomanana


voyage.youvox.fr 18/11/2008
Air Madagascar relooke son site Internet

Air Madagascar dessert Antananarivo trois fois par semaine en basse saison depuis Paris et une fois par semaine depuis Marseille.

La compagnie aérienne Air Madagascar vient de procéder à une refonte complète de son site Internet www.airmadagascar.com.
Parmi les améliorations majeures apportées au site : 
Une navigation plus simple et plus attrayante avec : plus de visuels, notamment sur la page d’accueil mais aussi sur les autres pages, qui changeront selon les périodes et pourront se décliner en animations, la mise en avant des promotions et des offres exceptionnelles , l’accès au moteur de réservation dès la page d’accueil et un lien « Réservation » sur toutes les pages du site pour pouvoir y revenir à tout moment.
Une nouvelle ergonomie
Plus d’interactivité avec la possibilité de réserver à tout moment et de saisir les offres exceptionnelles, un moteur de recherche par mots clés, une rubrique « Informations » dès la page d’accueil, pour tenir le visiteur informé des actualités d’Air Madagascar

Entrez dans l'ambiance conviviale,
un service unique sur mesure vous attend à bord. 
Notre équipage vous fera profiter d'un accueil chaleureux dans la pure tradition de l'hospitalité malgache.
Savourez la Gastronomie malgache.
Nous vous offrons des menus traditionnels malgaches issus des quatre coins de la Grande Ile.

Commencez vos vacances à bord.
Pour que le voyage vous paraisse plus court, nous vous proposons une gamme de divertissements à à bord 
Faites vos emplettes à bord.
Arrivez à bon port, sans oublier vos proches les bras chargés de souvenirs.
Pour vos cadeaux, nous vous proposons une gamme de produits de luxe


Express mada 18/11/2008
Santé : Des médecins risquent la radiation 
L'Ordre national des médecins mène la chasse aux praticiens marginaux. Ils risquent de perdre leur titre sans régularisation de leur situation.

Une décision ferme. Les dirigeants de l'Ordre national des médecins (ONM) malgaches lancent un avertissement aux cabinets, cliniques et formations sanitaires employant des médecins non inscrits au tableau de l'ordre. Cette décision fait suite à l'assemblée générale tenue par les dirigeants de l'ONM à Antaninandro, la semaine dernière.
« Toutes les actions de sensibilisation ont été effectuées. Nous allons maintenant entrer en action en relevant tous les médecins en exercice illégal. Les récalcitrants qui ne veulent pas régulariser leur situation après les inspections, risquent la radiation », soutient le docteur Kalory Rakotovao-Ravahatra, présidente de l'ONM. Elle rajoute que les docteurs en exercice n'ayant pas fait leur réinscription annuelle, sont aussi considérés comme irréguliers. 
La tâche s'avère ardue pour les responsables de l'ordre face à la prolifération de petits cabinets à tous les coins de rues. Plus de cinq mille médecins sur les six mille recensés sont en exercice illégal actuellement.
Traduction en justice
Diverses raisons empêchent certains praticiens d’effectuer leur inscription au tableau de l'ordre. « Je préfère attendre d’avoir un poste avant de régulariser ma situation. Si je reste à ne rien faire, avec quoi pourrais-je payer 

Le président de l’Ordre des médecins, Kalory Rakotovao-Ravahatra (à dr.) lors de la conférence de presse au Motel de Tana 

ma cotisation », explique un médecin qui attend sa nomination. Ce cas est fréquent dans les rangs des nouveaux diplômés d'Ankatso qui espèrent approfondir leurs études à l'étranger.
D'autres médecins émettent des raisons pragmatiques. « Ce n'est pas une question d'argent puisque payer 15.000 ariary par an semble minime. C'est plutôt au niveau de la constitution du dossier que l'inscription pose problème pour les collègues », fait remarquer un interne à Toamasina. La non-appartenance au tableau de l'ordre est passible de traduction en justice après la radiation du nom d'un récidiviste, selon la sanction ordinale.
Noro Haingo Rakotoseheno 

 

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Prix Découverte RFI 2008

La finale du Prix Découvertes RFI aura lieu ce soir au Palais des Sports ( ... )

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rtbf.be 22/11/2008

1 million d’hectares à louer gratuitement à Madagascar
L'offre peut paraitre surréaliste mais elle est bien réelle. Le géant sud-coréen Daewoo Logistics vient de signer un bail de 99 ans avec la République de Madagascar (Afrique de l'est) portant sur la location de 1,3 million d'hectares de terres potentiellement arables, soit près de la moitié de la superficie de la Belgique. 
Conclu en juillet mais révélé ce mercredi par le Financial Times, cet accord a été conclu dans le but de cultiver du maïs et de l’huile de palmes, et ce, afin de couvrir à terme plus de la moitié des importations sud-coréennes de maïs venant des Etats-Unis. L'envolée des cours des denrées alimentaires en début d'année dans le monde et une pénurie de terres arables dans certains pays ont incité plusieurs nations, dont l'Arabie saoudite, la Malaisie, le Koweït, et la Corée du Sud, à chercher des terres agricoles dans des pays tiers pour cultiver des produits vivriers. Le plus incroyable dans l’histoire est que la Corée ne paiera aucun loyer pour la location de ces terres. Daewoo, en revanche, financera leur mise en valeur. Selon Shin Dong-hyun, le directeur financier de Daewoo Logistics, la firme sud-coréenne a prévu un investissement de près de 4,8 milliards d'euros pour les vingt-cinq prochaines années, et la firme promet d'assurer la mise en place des infrastructures nécessaires. Les semences de palmiers seront importées d'Indonésie et du Costa Rica, celle de maïs des Etats-Unis. Les terres louées vont être mises en valeur par de la main-d’œuvre locale a indiqué Yong Nam-ahn, le président de Daewoo Logistics.Un tel accord paraît répondre aux intérêts des deux parties : d'une part, Madagascar donnerait un coup d'accélérateur à la filiale agroalimentaire, d'autre part, la Corée- 4e importateur mondial de maïs-pourrait à terme en produire jusqu'à 4 millions de tonnes sur place. Alors, idée pragmatique ou scandale néocolonial? Le débat est ouvert. M. D.


Express Mada 22/11/2008
Les catholiques en deuil : Décès du père Rémy Ralibera  - Lova Rabary-Rakotondravony et Iloniaina Alain
Le père jésuite Rémy Ralibera s’est éteint, hier, à l’âge de 82 ans. Il n’a pas survécu à une opération pour éviter une péritonite.

Une voix s’est tue. Définitivement. Celle du père Rémy Ralibera, empreinte de tolérance et de compréhension et qui ne connaissait ni langue de bois ni démagogie. 
Ancien animateur d’émissions religieuses à la radio nationale, acteur et témoin incontournable de l’histoire politique malgache, il a rendu l’âme hier matin, vers 9h30 à la Clinique des sœurs à Ankadifotsy. Il y avait subi une intervention chirurgicale pour prévenir une péritonite, le 19 novembre. 
C’était à la suite d’une chute dans sa chambre à la Maison Saint Joseph d’Analamahitsy. L’opération s’était bien passée, mais «il était trop fatigué pour bien récupérer après l’opération», précise un de ses collaborateurs.
Avec cette disparition, c’est un activiste de la liberté qui tire sa révérence. Le père Rémy Ralibera n’était pas seulement un prêtre. C’était aussi un journaliste engagé, non au service d’une quelconque idéologie, mais plutôt au service de son pays et de sa jeunesse. 
Forte personnalité

Rémy Ralibera était à la fois prêtre, journaliste, politicien. 

Il exprimait son patriotisme et militait contre la censure au sein des journaux catholiques, «Lumière» et «Lakroa». Cofondateur de l’Ordre des journalistes, il en avait été le premier président en 1974. Son activisme lui vaudra un court séjour au bagne de Nosy Lava avec les grévistes de mai 1972. 
Il était un prêtre engagé, mais on ne lui connaissait aucune accointance particulière dans le monde politique. Il tutoyait Didier Ratsiraka, fréquentait la famille Ratsimandrava, animait les salons de la haute société au début des années 1970, mais ces relations ne l’avaient jamais lié. Jusqu’à la fin, il avait toujours résisté aux sirènes de la politique.
L’année 2005 l’avait vu adhérer au mouvement du Rassemblement des forces nationales. Mais le virage politique pris par l’association l’avait conduit à se mettre à l’écart d’une manière discrète. Depuis, on ne l’entendait plus que rarement, commentant les actualités ou signant des communiqués réclamant plus de liberté. 
Doté d’une forte personnalité, le prêtre jésuite exécrait la langue de bois et gardait rarement la sienne dans la poche. Sa franchise avait été à l’origine de quelques échanges «musclés» avec le cardinal Armand Gaëtan Razafindratandra, à l’époque où ce dernier était archevêque d’Antananarivo. 
Le 15 août 2008, Rémy Ralibera, ordonné le 5 juillet 1958, fêtait ses cinquante ans de prêtrise. Un sacerdoce au service de la jeunesse catholique et de l’œcuménisme. Outre son travail d’animateur d’émissions pour la jeunesse à la radio nationale, il était aumônier des scouts catholiques. Son ouverture d’esprit avait conduit plusieurs jeunes couples de confession différente à le solliciter pour les préparer au mariage «mixte». 
Educateur dans l’âme, il avait aussi transmis ses connaissances et ses expériences du milieu journalistique aux apprenants de l’Unité de formation et de recherche en journalisme à l’université d’Antananarivo. Il avait d’ailleurs parrainé la cinquième promotion qui porte son nom. 
L’inhumation du père Rémy Ralibera se fera lundi au cimetière des Jésuites à Ambohipanja-Ilafy après une messe d’action de grâce à la paroisse d’Analamahitsy. La veillée mortuaire se déroule à la Chapelle Saint Joseph d’Analamahitsy. 
Encadré : Un témoin de l’histoire
Né le 1er octobre 1926, le père Rémy Ralibera avait passé sa jeunesse dans un pays colonisé, exercé sa vocation dans une jeune République qui se cherche, à la fin d’études supérieures à Rome et en France. Après son départ de son poste de secrétaire général du FFKM en 2005, le prêtre jésuite s’était attelé à l’écriture de ses mémoires, publié en décembre 2007 aux éditions Foi et Justice. 
Plus qu’une autobiographie, l’ouvrage, «Souvenirs et témoignages malgaches, de la colonisation à la troisième République», retrace la vie politique et sociale de Madagascar à travers les yeux du «religieux le plus médiatisé de Madagascar». L’ancien curé, puis vicaire dominical de la paroisse Saint Jean Baptiste de Faravohitra, y évoque l’éducation catholique à l’époque de la colonisation, le «nationalisme rentré» du clergé catholique des années 1950, «les ombres au tableau de la première République» et l’échec de la malgachisation.


xinhuanet.com 22/11/2008
Madagascar achève 65% des travaux de préparation du sommet de l'UA - Xinhua

Madagascar a achevé 65% des travaux de préparation du sommet de l'Union africaine (UE), prévu en été 2009, a affirmé lundi à Antananaviro l'ambassadeur de Madagascar en Ethiopie Jean Pierre Rakotoarivony lors d'une rencontre entre le gouvernement malgache et le corps diplomatique. 
Le secrétaire générale de la présidence malgache Mme Hanitra Rajaonah a informé les invités à cette rencontre que le comité de pilotage de la préparation du sommet de l'UA est dejà en action. 
Dans la domaine d'infrastructure, Rajaonah a dit que les travaux de préparation au sommet sont notamment l'extension et la rehabilitation de l'aéroport internationale de Madagascar, la livraison des derniers equipements pour le centre de conférences iternationales (CCI) et les 54 villas présidentielles prevus d'être livrés mai 2009. 
Elle a dit que le comité de pilotage prevoit également le renforcemant de l'équipe administrative vers le professionnalisme avec l'appui des consultants étrangers. 
Le ministre malgache de la Jeunesse, des Sports et de la Culture Jean Louis Robinson a affirmé pour sa part que le gouvernement malgache a également prévu une formation de jeunes des 22 régions en technique d'accueil, de conférence et d'étiqueltte. 


coulisses-tv.fr 21/11/2008
« Enquêtes et révélations » : Le tourisme sexuel Français à Madagascar
Le prochain numéro du magazine « Enquêtes et révélations », diffusé mardi 9 décembre à 22:40 sur TF1, sera consacré au tourisme sexuel Français à Madagascar.

Côté pile, une île paradisiaque, qui accueille chaque année 400.000 touristes, dont une majorité de Français, amoureux de plongée et de nature sauvage. Côté face, un pays rongé par la misère, Madagascar est devenu un haut lieu du tourisme sexuel.
« Enquêtes et révélations » démontre comment, à Nosy Be, un îlot de rêve situé au nord de Madagascar, des milliers de touristes français débarquent chaque année dans l'unique but de profiter de jeunes filles, qui n'hésitent pas à se prostituer pour quelques euros. Comment une telle situation est-elle possible, au vu et au su des autorités ? Seraient-elles tentées de fermer les yeux devant cette manne financière ?
L'équipe a recueilli le témoignage exceptionnel de ces touristes pervers et de ces jeunes filles, poussées dans leurs bras par la misère. Touristes français sans scrupules, loi du silence des autorités locales, complicité de l'industrie 

touristique : Enquêtes et Révélations dénonce le scandale du tourisme sexuel français à Madagascar. 


xinhuanet.com 21/11/2008
Accord de protection des investissements entre la Suisse et Madagascar - GENEVE, Xinhua

Le ministre de l'Economie, du Commerce et de l'Industrie de Madagascar, Ivohasina Razafimahefa, et l'ambassadeur de Suisse à Madagascar, Carlos Orga, ont signé mercredi à Antananarivo un accord de promotion et de protection réciproque des investissements entre la Suisse et Madagascar, a annoncé jeudi le Secrétariat d'Etat à l'économie suisse (SECO). 
Les principales dispositions de l'accord concernent le traitement des investissements étrangers par l'Etat hôte, le transfert du capital et des revenus de l'investissement, l'indemnisation en cas d'expropriation et les procédures de règlement des différends. 
Selon le SECO, cet accord marque "la volonté de la Suisse et de Madagascar de garantir à leurs investisseurs une sécurité juridique accrue et d'oeuvrer pour un climat favorable aux placements de capitaux étrangers". Il remplace les dispositions relatives aux investissements d'un accord que les deux pays avaient conclu en 1964, clauses qui ne répondent plus aux exigences d'aujourd'hui, notamment en matière d'accès à l'arbitrage international. 
Le nouveau texte conventionnel s'inscrit dans la ligne des efforts déployés ces dernières années par Madagascar pour attirer les investissements étrangers. En ce qui concerne la Suisse, il vient également renforcer son réseau d'accords bilatéraux de protection des investissements, qui en compte déjà plus de 120, a précise le SECO. 


Express Mada 20/11/2008
Transport urbain :Cinquante bus attendus pour la ligne 119 - Iloniaina Alain
La ligne 119 reliant les 67ha à Ankatso connaîtra un bouleversement. La commune veut réaliser son projet-pilote de bus municipal.

La CUA va recevoir 50 bus au début de l'année prochaine, a fait savoir Andry Rajoelina, maire d'Antananarivo, mardi dans la soirée, de retour d'un voyage au Viêt-Nam. 
A entendre le premier magistrat de la ville, les bus en question ont une capacité de 60 à 70 places, assises et debout. «Ils seront destinés à desservir le trajet 67ha-Ankatso», a-t-il affirmé. 
Pour l'instant, Andry Rajoelina se montre prudent concernant la concrétisation du projet. «Nous allons encore réfléchir sur la manière de gérer et d’exploiter les bus», a-t-il indiqué. 
Fluidité de la circulation
En tout cas, la mise en circulation des bus municipaux s'accompagnera de certaines mesures. Une autre ligne de financement de 557 000 euros servira à créer des infrastructures comme des aires de stationnement, des feux tricolores ou encore des abribus. 
L'objectif du projet est d'assurer une plus grande rapidité de la ligne et une meilleure fluidité de la circulation. Le voyage d’Andry Rajoelina au Viêt-Nam a servi à signer les conventions relatives à la concrétisation du programme, financé par la Région Ile-de-France. 

Le maire d’Antananarivo, Andry Rajoelina, annonçant le projet-pilote de bus municipal, mardi, à son arrivée à Ivato. 

Le projet en cours fait suite à une table ronde sur la «mobilité urbaine à Antananarivo». En septembre, la CUA avait déjà convié les acteurs du secteur des transports pour évoquer plusieurs dossiers dont celui concernant le projet-pilote de la ligne 119. 
Interrogé sur le projet municipal, les exploitants de la ligne 119 n'ont pas encore réagi. «Je ne suis pas encore au courant de tout cela», a affirmé Alain Rajerisoa, président de l'association des transporteurs de la ligne en question. Mais il «espère la tenue des négociations avec la mairie lors de la concrétisation du projet, comme c'était le cas lors du choix de la ligne pour servir de projet pilote».


Afriqueenligne.fr 18/11/2008
L’Afrique et Madagascar se regroupent pour promouvoir le café Robusta - Libreville, Gabon

La capitale gabonaise, Libreville, accueille ce lundi les représentants des pays africains producteurs de café qui ont décidé de se regrouper en association pour développer et promouvoir le café de type Robusta d'Afrique et de Madagascar, a constaté sur place un journaliste de la PANA.
L'ACRAM est apparue à la suite de la dissolution de l'Organisation africaine et malgache du café (OAMCAF), à Yaoundé en 2007, à l'issue du Conseil des ministres.
Selon Mme Sylviane Nyonda, directrice générale-adjointe des Caisses de stabilisation et de péréquation, "cette structure, qui connaîtra une forte participation des acteurs privés, venus défendre les intérêts des planteurs, torréfacteurs et exportateurs, aura pour objectifs principaux, de promouvoir les cafés d'Afrique et de Madagascar, d'améliorer les revenus et les conditions de vie des producteurs, ainsi que l'organisation des filières dans les zones de production".
L'ACRAM a aussi pour objectif de défendre les intérêts des pays producteurs sur les marchés mondiaux du café, de façon réorganisée, puisque la libéralisation des filières et la suppression des systèmes de quotas avaient rendu obsolètes les missions de l'organisation.
On rappelle que début janvier, le Liberia avait été élu à la vice- présidence de la nouvelle ACRAM, mise en place lors de la 47e Assemblée générale de l'Organisation internationale du cacao (OIC), qui s'est tenue à Yaoundé, au Cameroun.
Pana


allAfrica.com 18/11/2008
Madagascar: Désignation de 16 magistrats - L'Express de Madagascar- Fano Rakotondrazaka
Le Conseil supérieur de la magistrature vient de nommer des chefs de cours et de juridictions. Il remplace ainsi le conseil des ministres. Des membres du CSM dont le ministre Bakolalao Ramanandraibe, Bertholier Razafintsalama et Nelly Rakotobe. Le Conseil supérieur de la magistrature (CSM) a du pain sur la planche. Il s'occupe entre autres de la gestion administrative de la carrière des magistrats.
Lors de sa session du 10 au 14 novembre à Tsaralalàna, le CSM a décidé la nomination de chefs de cours et de juridiction. Une attribution qui a été assurée auparavant par le conseil des ministres. La décision concerne quatre cours d'appel ainsi que douze tribunaux de première instance.
Harilisy Ralaiarisoa Ratovoarivony devient présidente de la Cour d'appel d'Antananarivo après avoir dirigé la Cour d'appel de Mahajanga depuis février 2004. La même juridiction aura comme procureur général Isabelle Solonirina-Harison. Véronique Jocelyne Danielle Ramiandrasoa, Randriamialison et Mahazaka sont respectivement nommés premiers présidents de cours d'appel de Mahajanga, de Toliara et de Toamasina.
De nouveaux responsables se mettront aussi à la tête des tribunaux de première instance d'Ambanja, d'Ambatolampy, d'Ambatondrazaka, d'Ambositra, d'Ampanihy, de Toamasina, d'Antsiranana, de Mahajanga, de Tolagnaro, d'Arivonimamo, de Miarinarivo ainsi que de Maroantsetra.
Côté procédure, la nomination de ces nouveaux chefs de juridictions par le Conseil supérieur de la Magistrature est précédée d'une stricte formalité. «Un appel doit être lancé à l'endroit de ceux qui veulent postuler. Le CSM procède par la suite à l'examen des dossiers reçus », a rappelé un responsable au sein du ministère de la Justice.


moov.mg 18/11/2008

Jatropha: Une usine de transformation à Toliara 

Un troisième opérateur se lance dans la filière Jatropha dans la région d’Atsimo Andrefana. Après les compagnies GEM (Green Energy Madagascar) et MMR (Madagascar Minerals Ressources), voilà maintenant que la société italienne TRE (Tozzi Renowable Energy) s’y met également. 

Cette dernière prévoit d’investir près de 300 millions USD dans ce secteur en plantant sur une surface à grande échelle de plus de 100 000 ha de jatropha. L’installation d’une usine de transformation des graines de jatropha en huile brute destinée à la fabrication de biodiesel n’est pas en reste. La pose de première pierre de cette infrastructure s’est tenue samedi dernier à Toliara, près du port, et ce, en présence du ministre des Travaux Publics, Rolland Randriamampionona, le coach de la région. Les travaux de construction sont prévus terminés vers mi-2009, a fait savoir le promoteur du projet. Par contre, la première production de jatropha et de ses produits dérivés ne sera attendue que dans trois ans. Par ailleurs, le ministre coach a souligné que d’autres infrastructures seront mises en place dans cette région, dont entre autres, la création d’un grand port à Soalala servant à faciliter l’expédition da la production de charbon de terre de la Sakoa et l’installation d’une cimenterie. La société civile joue un grand rôle dans le suivi de la mise en œuvre de ces projets d’envergure, a-t-il conclu. 
Bems 

Jatropha, le biodiesel de demain des pays en voie de développement.    http://futuristiktrader.daily-bourse.fr

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